48 research outputs found

    ¿ Clown est-ce que ?

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    « Ah ! ça commence bien
 Elles mettent les points d’interrogation Ă  l’envers ! Espagnoles ? Non, pied de nez aux mots, aux gestes, aux figures
 Il me semble que leur nez rouge a tĂąchĂ© leurs chaussures, rouges, qu’elles ont inversĂ©es aussi
 C’est dire ! », dit le texte de prĂ©sentation. On a voulu faire un spectacle de clown diffĂ©rent de celui que l’on trouve au cirque et qui ne soit pas non plus le clown complĂštement acteur, thĂ©Ăątral, mais qui soit une forme intermĂ©diaire entre les deux. On a ..

    Association syndrome des apnées du sommeil et bronchopneumopathie chronique obstructive (overlap syndrome) (A propos d'une étude observationnelle chez 100 patients)

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    RĂ©sumĂ© : INTRODUCTION : Les caractĂ©ristiques cliniques, les paramĂštres de la ventilation Ă  domicile et le devenir des patients atteints d'overlap syndrome sont mal connus. PATIENTS ET METHODE : Les dossiers de 100 patients suivis Ă  Rouen et Ă  Edouard Rist ont Ă©tĂ© analysĂ©s de façon rĂ©trospective. Les critĂšres d'inclusion Ă©taient une BPCO avec VEMS/CVF10 en poly(somno)graphie. Les caractĂ©ristiques de la population, le contexte clinique de dĂ©couverte de la maladie et le suivi des patients ont Ă©tĂ© analysĂ©s. RESULTATS : Dans 60% des cas, le diagnostic d'overlap syndrome a Ă©tĂ© fait dans le contexte d'une insuffisance respiratoire aiguĂ« hypercapnique (IRAH). L'Ăąge moyen et l'IMC des patients Ă©taient respectivement 63 f 9,5 ans et 35,5 +- 7,4 kg/m2. Le VEMS moyen Ă©tait de 53,6 f 8,5% de la thĂ©orique avec 52% de patients catĂ©gorisĂ©s BPCO stade GOLD 2 et 42% de stade 3 ou 4. L'IAH moyen Ă©tait de 42,4 +- 25 et le pourcentage moyen de temps passĂ© avec Sp02<90% de 58 +- 32%. 45% des patients Ă©taient hypercapniques Ă  l'Ă©tat stable. 38% des patients ont Ă©tĂ© appareillĂ©s au domicile par PPC et 55% par VNI (PIP=19,1 :É 3,3 cmH2O, EPAP=7,4 +- 1,9 cmH2O) avec 02 additionnel dans 48% des cas (2,5 +- 1,4 L/min). Le traitement par VNI Ă©tait majoritairement prescrit chez les patients diagnostiquĂ©s Ă  l'occasion d'un Ă©pisode d'IRAH. Au cours d'un suivi moyen de 4,7 +- 0,9 mois, 70% des patients initialement Ă©quipĂ©s d'une PPC Ă  domicile ont vu leur traitement modifiĂ© pour une VNI. La mortalitĂ© globale Ă©tait de 17%. CONCLUSION : Une forte proportion de patients atteints d'overlap syndrome est identifiĂ©e dans le contexte d'une IRAH. La VNI est, dans notre expĂ©rience, le traitement Ă©lectif pour ces patients qui prĂ©sentent souvent un Ă©chec ou une intolĂ©rance de la PPC.ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    AcceptabilitĂ© des lipides dans les premiĂšres purĂ©es de lĂ©gumes : impact du mode d’alimentation lactĂ©e

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    rechercher affiliation manquanteAcceptabilitĂ© des lipides dans les premiĂšres purĂ©es de lĂ©gumes : impact du mode d’alimentation lactĂ©e. JournĂ©es francophones de nutrition (JFN 2016

    Evaluation de l’effet de recommandations sur l’introduction de textures dans les premiers mois de diversification alimentaire sur les pratiques parentales et l’acceptabilitĂ© des aliments par le jeune enfant

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    National audienceIntroduction et but de l’étude : Proposer des aliments texturĂ©s aux nourrissons rapidement aprĂšs l’initiation de la diversification alimentaire est essentiel pour leur apprendre Ă  bien mastiquer et dĂ©velopper un rĂ©pertoire alimentaire sain. Le comitĂ© d’experts en nutrition de l’ESPGHAN recommande d’introduire les aliments texturĂ©s entre 8 et 10 mois au plus tard. Or, des travaux ont montrĂ© qu’en France, les purĂ©es restent privilĂ©giĂ©es par de nombreux parents pendant la premiĂšre annĂ©e et que les enfants sont capables de manger des textures plus complexes d’aprĂšs une Ă©tude comportementale. La question de la texture n’étant pas abordĂ©e en dĂ©tail dans les recommandations de santĂ© publique (PNNS 0-3 ans, 2005) au moment de l’étude (2016-2018), nous avons dĂ©veloppĂ© des recommandations et des conseils pour sensibiliser, guider et inciter les parents Ă  introduire des aliments de textures plus variĂ©es, suffisamment tĂŽt, Ă  partir de 8 mois et Ă©valuer leur effet sur le comportement de nourrissage des parents et le comportement alimentaire de l’enfant par une Ă©tude interventionnelle pilote.MatĂ©riel et mĂ©thodes : Soixante familles ont participĂ© Ă  l’étude (ID RCB : 2016‐A00839‐42) : 30 ont reçu les nouvelles recommandations et des conseils en plus des informations courantes (carnet de santĂ©), 30 les informations courantes uniquement. Ces familles ont Ă©tĂ© suivies pendant 7 mois, entre les Ăąges de 8 Ă  15 mois. A l’issue de l’intervention les pratiques de nourrissage des parents (questionnaire) et l’acceptabilitĂ© par l’enfant d’aliments de textures trĂšs diffĂ©rentes (repas au laboratoire) ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es. RĂ©sultats et analyse statistiques : Les parents ayant reçu les recommandations ont introduit plus de petits morceaux mous que les parents ne les ayant pas reçues (p = 0,004), avec une diffĂ©rence dans le mĂȘme sens mais non significative pour les morceaux plus gros ou plus durs (p=0,15). Les pratiques parentales de nourrissage Ă©taient significativement associĂ©es aux comportements des enfants, quel que soit le groupe. Les enfants recevant davantage d’aliments de textures diffĂ©rentes Ă©taient ceux qui mangeaient frĂ©quemment avec les doigts (p = 0,02), et qui avaient des hauts-le-cƓur peu frĂ©quents (p = 0,02). Inversement, certains groupes d’enfants recevaient moins d’aliments de textures diffĂ©rentes : les ainĂ©s par rapport aux cadets (p = 0,03), et les enfants nourris principalement avec des produits pour bĂ©bĂ© du commerce comparativement Ă  ceux qui recevaient des aliments fait maison (p = 0,0016). Au laboratoire, les enfants qui acceptaient le mieux des aliments de diffĂ©rentes textures Ă©taient ceux Ă  qui les parents avaient proposĂ© une large variĂ©tĂ© de textures (p = 0,041), particuliĂšrement sous forme de morceaux, confirmant ainsi l’effet positif des expositions de l’enfant Ă  des textures variĂ©es sur le dĂ©veloppement de ses compĂ©tences orales et de l’acceptabilitĂ© des aliments. Conclusion : La diffusion de recommandations sur l’introduction des textures des aliments a permis de modifier les pratiques parentales d’introduction de morceaux mous dans l’alimentation de l’enfant entre 8 et 15 mois, mais pas de morceaux plus gros ou plus durs. Les recommandations dĂ©veloppĂ©es dans le cadre de cette Ă©tude ont contribuĂ© Ă  l’actualisation des nouveaux repĂšres alimentaires du PNNS pour les jeunes enfants (0-3 ans) publiĂ©s rĂ©cemment en apportant des informations pratiques sur pourquoi, quand et comment introduire des textures lors de la diversification alimentaire

    Fostering infant food texture acceptance: A pilot intervention promoting food texture introduction between 8 and 15 months

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    International audienceHealthy infant feeding practices form the basis of healthy eating behaviour later in life. The effect of providing parents with recommendations on textured food introduction between 8 and 15 months on children's experience with and acceptance of textured foods was studied. Sixty parent/child dyads were randomly assigned to a control group (CG) receiving current French recommendations and an intervention group (IG) receiving a brochure with supplementary advice, tips and monthly counselling on food texture introduction. After the intervention, parents completed self-report measures about the introduction of 188 food items, including purees, soft/small pieces, hard/large pieces and double textures. Children's acceptance of eight textured foods was assessed in a laboratory setting. Parents in the IG introduced more soft/small food pieces (P = 0.004) but not more complex textures (P = 0.15). There was no group difference in children acceptance for any of the textured foods offered in the laboratory. Independent of their study group, children's exposure to texture was associated with birth order, self-feeding with fingers, low gagging frequency and seldom use of commercial baby foods. Higher acceptance was associated with higher exposure to food pieces but not to pureed foods (either smooth or rough) and with children's eating behavioural traits (high food enjoyment, high food responsiveness and low food fussiness). This pilot intervention demonstrated that providing information can be effective in promoting the introduction of small and soft food pieces, but the most effective way to influence the introduction of more challenging textures (hard pieces and double texture) is uncertain. Further research should focus on the identification of barriers to complex texture introduction and on how building on this knowledge for a population-based public health intervention

    Securely Solving Simple Combinatorial Graph Problems

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    We investigate the problem of solving traditional combinatorial graph problems using secure multi-party computation techniques, focusing on the shortest path and the maximum flow problems. To the best of our knowledge, this is the first time these problems have been addressed in a general multi-party computation setting. Our study highlights several complexity gaps and suggests the exploration of various trade-offs, while also offering protocols that are efficient enough to solve real-world problems

    Infant fat acceptance: role of milk feeding practices and links with saliva composition

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    Infant fat acceptance: role of milk feeding practices and links with saliva composition. Annual meeting of the Society for the Study of Ingestive Behavior (SSIB
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