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    A short-term divergent selection for resistance to Teladorsagia circumcincta in Romanov sheep using natural or artificial challenge

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    This experiment was conducted to assess the efficiency of selection on the basis of response to artificial challenges in order to breed sheep resistant to natural infection. A short-term divergent selection process was designed to estimate the genetic parameters of these two traits. Two flocks, including 100 Romanov ram lambs each, were challenged in 1990 when they were 6 months old. One flock received three artificial infections with 20 000 third-stage Teladorsagia circumcincta larvae, at intervals of 7 weeks. Faecal egg counts (FEC) were performed on Days 22, 25 and 28 post infection (p.i.) and the animals were drenched on Day 28 p.i. The other flock was grazed for 5 months on a pasture contaminated with the same species. Faecal samples were taken from the lambs at similar ages. About 5 rams with the lowest FEC and 5 with the highest FEC were selected in each flock and mated with unselected ewes. Their offspring (200 animals) were challenged in 1992, half in the same way as their sires, and the other half by the other method. Because of a drought in the summer of 1990, it was necessary to repeat part of the experiment, and in 1992 the 5 and 8 rams with the lowest and highest FEC, respectively, were selected from the offspring challenged on the pasture in 1992 and were mated with unselected ewes. Their progeny (about 80 animals) were challenged in 1994, half by natural infection, half by artificial infection. The mean FEC of the flock increased from the first to the third artificial infection. The natural infection was highly variable in different years, reflecting the difficulty of assessing resistance using this mode of challenge. Genetic parameters were estimated using animal models and REML solutions. The repeatabilities of the FEC following artificial and natural infection were 0.49 and 0.70 respectively within a period of one week, and 0.22 and 0.41 respectively for periods separated by intervals of 7 weeks; the heritabilities of the single egg count were 0.22 and 0.38 respectively. The genetic correlation was 0.87: the FEC recorded under natural or artificial infection appear to depend on the same genetic potential

    Gastrointestinal strongyles of ruminants : mechanisms of anthelmintic resistance and consequences on their management

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    The management of gastrointestinal strongyle infestations in ruminants relies mostly on anthelmintics. Only three chemical families are available, and gastrointestinal strongyles resistance is increasing. The resistance mechanisms are relatively well known for benzimidazoles (involving one gene with two alleles), whereas the genetic determinism of the resistance to macrocyclic lactones or imidazothiazoles (levamisole) is still poorly understood, but probably involves multigenic regulation. A double approach (candidate genes and transcriptomic) is proposed for levamisole resistance and the first results are presented. It is very important to understand resistance mechanisms to reduce their occurrences. Examples with benzimidazoles are presented to describe interactions between the type of genetic mechanism and the speed with which resistance appears and expands, the efficacy of selective pressure by treatments, and the role of refugia.La gestion des infestations du tube digestif par les strongles chez les ruminants est essentiellement assurée par les traitements anthelminthiques. Seules trois familles chimiques sont disponibles et des phénomènes de résistance à ces produits sont apparus chez les strongles gastro-intestinaux. Les mécanismes de résistance concernant la famille des benzimidazoles sont relativement bien établis (un gène avec deux allèles est impliqué), alors que pour la famille des lactones macrocycliques ou celle des imidazothiazoles (lévamisole), les déterminismes génétiques, encore peu connus, sont sans doute multigéniques. Une double approche (« gènes candidats » et transcriptomique) est proposée pour le lévamisole et les premiers résultats sont présentés. La compréhension des mécanismes d'action est très importante pour tenter de réduire l'apparition de résistance. Des exemples concernant les benzimidazoles sont utilisés pour décrire l'interaction entre le type de mécanisme de résistance et la vitesse d'apparition et de diffusion de la résistance, l'efficacité des pressions sélectives par les traitements et le rôle des refuges

    Le syndrome d'apnées du sommeil au cours de l'acromégalie (prévalence, facteurs de risque, évolution sous traitement)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Traitement prolongé par les analogues de la somatostatine dans l'acromégalie (efficacité, effets sur le métabolisme)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge chirurgicale des adénomes corticotropes (résultats, facteurs prédictifs)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Le test au citrate de clomifène dans le syndrome des ovaires polymicrokystiques (intérêt diagnostique et apport physiopathologique)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Hyperprolactinémie secondaire à un microadénome, à un macroadénome enclos ou idiopathique traitée par agonistes dopaminergique (devenir des patients après la première fenêtre thérapeutique)

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    Objectifs : Etudier le taux de rémission de l'hyperprolactinémie après un traitement prolongé par agonistes dopaminergiques chez des patients suivis pour un microprolactinome, un macroprolactinome enclos ou une hyperprolactinémie primaire idiopathique et sélectionnés selon les critères des recommandations. Identifier des facteurs prédictifs de rémission prolongée et étudier le devenir des patients qui récidivent. Matériel et méthodes : Notre étude porte sur 81 patients pris en charge entre 1992 et 2009. Parmi ces patients, 56 ont eu une première fenêtre thérapeutique après un traitement par agonistes dopaminergiques pendant au moins deux ans. Résultats : Notre cohorte de patients est composée majoritairement de femmes (52/4), d'un âge moyen au diagnostic de 31 10 ans, traités depuis une durée médiane de 45,25 mois. Après une première fenêtre thérapeutique, 31,5% des patients sont en rémission avec un recul d'au moins un an. 37 patients ont récidivé. La récidive survient dans les trois premiers mois, dans 75% des cas. Parmi les patients qui ont récidivé, 19 ont eu au moins une 2ème fenêtre thérapeutique permettant l'évolution vers une rémission prolongée chez 6 patients. La récidive de l'hyperprolactinémie après plusieurs fenêtres thérapeutiques survient dans les mêmes délais. Le seul facteur prédictif de bonne réponse à l'arrêt du traitement est l'évolution vers la ménopause au cours de la période de traitement. Conclusion : Nos résultats en terme de rémission de 31,5% sont comparables aux données de la littérature. La récidive survient dans les trois premiers mois dans 75% des cas. L'évolution vers la ménopause au cours de la période de traitement augmente les chances de rémission.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF
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