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The Circadian Rhythm of Blood Pressure During Pregnancy
To review the literature on the circadian rhythm of blood pressure during pregnancy. Data Sources : Computerized searches on MEDLINE, CINAHL, and MIRLYN. Study Selection : Selected studies from 1969 to 1997 were evaluated. Data Extraction : Data were extracted and information was organized under the following areas: definition of and the interconnection between circadian rhythm and blood pressure; the circadian variability of blood pressure throughout the trimesters; the patterns of the circadian rhythm of blood pressure in pregnancies defined as normal and those complicated by chronic hypertension and preeclampsia; and clinical implications. Data Synthesis : The circadian rhythm of blood pressure in pregnancy is the same as in the nonpregnant state, with a nocturnal decrease, especially during sleep. In patients with chronic hypertension, the nocturnal fall in blood pressure may be steeper. Patients with mild preeclampsia may experience a less pronounced nocturnal decrease in blood pressure. Patients with severe preeclampsia may display a reversed circadian rhythm, with no decrease and/or an increase in nocturnal blood pressure. Conclusions : The patterns of the circadian rhythm of blood pressure during normal pregnancy and pregnancies complicated by chronic hypertension and preeclampsia warrant consideration when monitoring patients and implementing management plans.Peer Reviewedhttp://deepblue.lib.umich.edu/bitstream/2027.42/71412/1/j.1552-6909.2000.tb02771.x.pd
Contribution à l'étude de la glomérulonéphrite à dépots mésangiaux d'IgA chez le cirrhotique : à propos de 2 observations
L'application à la pathologie rénale de la technique d'immunofluorescence rénale a permis de mettre en évidence, dans la cirrhose hépatique d'origine alcoolique, l'existence de glomérulonéphrites à dépôts mésangiaux d'Ig A. Nous en décrivons ici deux cas qui viennent s'ajouter aux onze cas déjà décrits dans la littérature. En dehors des signes liés à l'existence de la cirrhose hépatique, la symptomatologie est soit nulle, soit peu abondante. Dans ce deuxième cas, on peut cependant note : - la survenue d'épisodes d'hématuries macroscopiques ; - l'existence d'une protéinurie modérée ou dans de rares cas d'un syndrome néphrotique ; - l'existence d'une HTA modérée ; - l'existence d'une insuffisance rénale chronique dans de rares cas. Le bilan immunologique d'orientation est peu perturbé : on note simplement l'augmentation isolée de l'Ig A sérique dans la plupart des cas. Les lésions histologiques rénales sont représentées en microscopie optique : - Au niveau du Glomérule : par la hyalinose mésangiale et par l'hyperplasie cellulaire endo-capillaire. Ces lésions sont soit diffuses, soit focales. Il n'y a pas d'hyperplasie cellulaire extra-capillaire dans la majorité des cas, pas de nécrose des basales et il y a peu de phénomènes exsudatifs. - Au niveau des Vaisseaux : par les lésions vasculaires dégénératives nettement plus marquées que ne le voudrait l'âge du sujet. - Au niveau des Tubes : par des phénomènes dégénératifs de l'épithélium tubulaire. - Au niveau du Tissu Interstitiel : par une atteinte inflammatoire ou fibreuse. En microscopie électronique, les lésions se situent presque exclusivement dans le mésangium et surtout sur la matrice mésangiale où il existe des phénomènes dégénératifs variés. L'interposition de cellules mésangiales dans les parois capillaires du floculus est rare et permet alors de porter le diagnostic de GN pariéto-proliférative. En immunofluorescence, les dépôts d'Ig A sont trouvés dans tous les cas, associés dans 9 cas sur 13 au C3, dans 8 cas sur 13 à l'Ig G, et dans 7 cas sur 13 à l'Ig M. Tous ces caractères font qu'on peut faire rentrer cette glomérulonéphrite dans le cadre des GN à dépôts mésangiaux d'Ig A. Mais nous savons que ce cadre réunit de façon artificielle un certain nombre de GN dont on ne peut expliquer, pour l'instant ni l'étiologie, ni la pathologie. Les deux cas de GN que nous décrivons représentent pour nous un moyen d’étude des GNM Ig A, puisque survenant dans un contexte très particulier, celui d'une cirrhose hépatique d'origine alcoolique. Le mécanisme de cette GN semble être lié à deux facteurs : l'Ig A et le mésangium. L'Ig A est pathologique ; elle est élevée en quantité et anormale en qualité, intermédiaire entre l'Ig A anormale et myélomateuse. Elle pourrait-alors former : - soit par l'agrégation de plusieurs molécules d'Ig A ; - soit par liaison avec un antigène, de gros complexes allant se loger en position mésangiale. Le mésangium quant à lui, voit se déposer au niveau de son tissu conjonctif intercellulaire ces complexes immuns. On peut donc évoquer soit un déficit de la fonction de « décrassage » des cellules mésangiales, soit la création de liaison de type antigène-anticorps entre ces complexes et certains composants du tissu conjonctif. Enfin, on peut supposer que l'existence de ces complexes immuns a un rôle pathogène vis à vis d'autres organes, et en particulier du foie
Les consultations pédopsychiatriques aux urgences pédiatriques du CHU de Montpellier
En France et dans le monde, les urgences pédiatriques sont confrontées à une augmentation des consultations d'enfants et adolescents se présentant pour des motifs pédopsychiatriques. Nous avons voulu quantifier ces consultations au CHU de Montpellier et connaître les caractéristiques socio démographiques et médicales de ces patients afin de mieux comprendre leurs difficultés et leurs besoins. Pour cela, nous avons inclus tous les patients âgés de moins de 15 ans et 3 mois se présentant aux urgences pédiatriques pour des motifs pédopsychiatriques entre 2008 et 2010. Nous avons focalisé une partie de notre étude sur les adolescents suicidants et sur leur devenir à 6 mois et à 1 an. Notre cohorte réunit 549 patients reçus sur 3 ans, avec une augmentation de 34%. Elle contient 65% de filles, âgés de 13 ans en moyenne. 75% des consultations ont lieu durant la période scolaire, dans 70% des cas en journée. Les patients consultent pour 4 motifs principaux: 39,3% tentative de suicide, 23,1% troubles du comportement, 13,1% intoxication alcoolique/toxiques, 10,4% angoisse. 56,3% présentent des antécédents psychiatriques personnels, 44% ont des antécédents psychiatriques familiaux, et 60% bénéficient déjà d'un suivi psychiatrique. 75% des patients sont orientés en consultation, 22% en hospitalisation. 40% des adolescents suicidants se représenteront aux urgences dans l'année suivant leur geste, malgré lm taux de suivi ambulatoire de 95%. Les consultations pour motifs pédopsychiatriques, bien que ne représentant qu'une faible partie de l'activité des urgences, mobilise des ressources importantes. Une réflexion sur la réorganisation des soins semble nécessaire afin de répondre à ces demandes croissantesMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocSudocFranceF
Fibronectin and basement membrane in cardiovascular organogenesis and disease pathogenesis
Parentalité chez les personnes souffrant d’un trouble du développement intellectuel : état de la situation en France
INFLUENCE DU SUBSTRAT SUR LA MORPHOLOGIE CELLULAIRE DE MYOCYTES DE CŒUR DE RAT ADULTE MAINTENUS EN SURVIE
International audienc
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