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2007 Discours de la présidente de la S.H.C. L’histoire publique et le mécontentement qu’elle suscite ou L’histoire à l’ère de Wikipedia
Conformément au thème du congrès, « Créer des ponts : des communautés de savoir à un savoir public », la présente communication traite des questions liées à l’histoire publique et l’impact d’Internet — le moyen de communication le plus public qui soit — sur les façons dont les historiens universitaires créent et communiquent le savoir. Elle trace l’essor de l’histoire publique en tant que profession et domaine d’études depuis trois décennies, les efforts de la Société historique du Canada (la SHC) depuis ses débuts en 1922 visant à atteindre un plus grand public et l’impact d’Internet sur le travail des historiennes et des historiens professionnels. En posant des questions sur le rôle des historiens universitaires en général et de la SHC en particulier quant à la création de ponts entre les intérêts de l’histoire universitaire et de l’histoire publique, qui paraissent diverger à première vue, elle contribue à une discussion plus générale qui préoccupera presque inévitablement les présidents de la SHC dans l’avenir prévisible : le rôle de l’histoire universitaire et des autres disciplines appartenant au groupe des arts, dans l’université postmoderne et dans le monde en rapide évolution du savoir, dont le moteur est Internet et ses technologies connexes
2007 Presidential Address of the CHA : Public History and its Discontents or History in the Age of Wikipedia
In keeping with the Congress theme of “Bridging Communities: Making Public Knowledge, Making Knowledge Public,” this paper reflects on issues relating to public history and the impact of the Internet — that most public of media — on the ways in which academic historians create and disseminate knowledge. It explores the rise of public history as a profession and field of study over the past three decades, the efforts of the Canadian Historical Association (CHA) since its founding in 1922 to reach a broader public, and the impact of the Internet on the work of professional historians. By raising questions about the role of academic historians in general and of the CHA in particular in bridging what on the surface seems to be the divergent interests of academic and public history, it contributes to a larger discussion that will almost certainly preoccupy CHA presidents for the foreseeable future: where academic history and the arts disciplines generally fit into the postmodern university and into the rapidly expanding world of knowledge fuelled by the Internet and its related technologies
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