89 research outputs found

    Verneuil-sur-Vienne – RD2000 (phase 2a)

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    Identifiant de l'opération archéologique : 122384 Date de l'opération : 2005 (EX) La phase 2a de reconnaissances archéologiques sur le tracé de la prolongation de la RD 2000 a porté sur le tronçon de « La Merlie » sur la commune de Verneuil-sur-Vienne, au sud du hameau du même nom. La mise en évidence d’une fréquentation Paléolithique ancien/moyen en Limousin est l’apport le plus important de cette opération de sondages et évaluations archéologiques, car totalement inédite et originale. Elle ..

    Saint-Priest-de-Gimel – Roc Chaumilly, Zac Montane 4

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    Cette opération de diagnostic archéologique sur l’emprise de la tranche 4 de la Zac Montane (parc photovoltaïque) a permis la reconnaissance de 7 (totalité de la parcelle) à 9 (surfaces réellement accessibles) % de l’emprise : nous le considérons ainsi comme représentatif.Aucun vestige anthropique, mobilier ou immobilier, n’a été mis au jour. La seule indication que nous avons relevée est d’ordre géomorphologique : la préservation de dépôts pléistocènes dans un vallon

    Bort-les Orgues – Le Ruisseau Perdu

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    Identifiant de l'opération archéologique : 2641 Date de l'opération : 2006 (EX) Le diagnostic mené au lieu-dit Le Ruisseau Perdu, sur le site d’un futur centre de transit d’ordures ménagères, se trouve sur une parcelle plusieurs fois remaniée par des apports et des extractions de remblais, en liaison notamment avec la plate-forme de la zone d’activité adjacente. Les quatre tranchées que nous avons réalisées sur cette parcelle de 4 000 m2 (6,5 % de taux de reconnaissance) n’ont livré aucune ..

    Verneuil-sur-Vienne – Périché

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    Identifiant de l'opération archéologique : 122390 Date de l'opération : 2005 (FP) Le gisement Paléolithique moyen de Périché a été découvert lors de la phase de sondages systématiques sur la tranche 2a du futur tracé de la prolongation de la RD 2000 jusqu’à la RN 141, près du hameau de la Merlie. Il a été fouillé durant la seconde quinzaine du mois de septembre 2005. Son étude est encore en cours au moment de la rédaction de ces lignes, le rapport ne devant être rendu qu’au début 2006. Nous n..

    Malemort-sur-Corrèze – La Rivière

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    Identifiant de l'opération archéologique : 2419 Date de l'opération : 2006 (EX) L’opération de diagnostic archéologique sur l’emprise de la zone industrielle de « La Rivière » a été scindée en deux parties : près de la moitié de son emprise est occupée par des espaces boisés denses encombrés de taillis. Seuls les espaces ouverts, à l’est près de la déchetterie et à l’ouest entre le terrain de Caces et la cimenterie, ont été traités. Cette suspension de l’opération maintient sa poursuite et la..

    Verneuil-sur-Vienne – RD2000 (phase 2a)

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    Identifiant de l'opération archéologique : 122384 Date de l'opération : 2005 (EX) La phase 2a de reconnaissances archéologiques sur le tracé de la prolongation de la RD 2000 a porté sur le tronçon de « La Merlie » sur la commune de Verneuil-sur-Vienne, au sud du hameau du même nom. La mise en évidence d’une fréquentation Paléolithique ancien/moyen en Limousin est l’apport le plus important de cette opération de sondages et évaluations archéologiques, car totalement inédite et originale. Elle ..

    La question du débitage de grands éclats à l’Acheuléen

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    Dès ses origines, peut-être plus encore que par les bifaces, l’Acheuléen africain est caractérisé par le débitage d’éclats de grands modules, pouvant atteindre plusieurs kilos et plusieurs dizaines de centimètres. Ces éclats ont été mis à profit pour la réalisation de différents outils, dont des bifaces et des hachereaux, mais ils ont également pu être exploités comme nucléus. La fréquence des grands éclats caractérise également l’Acheuléen dans la plupart des régions où il est connu, à de notables exceptions près telles que l’Europe nord-occidentale.Un intérêt inégal a été porté à la question des techniques employées pour produire de grands éclats : éludée par certains auteurs, évacuée sommairement par d’autres, elle a aussi passionné des préhistoriens tels que H. Breuil, qui a proposé des hypothèses peu réalistes faisant intervenir des systèmes complexes de trépieds et de balanciers.L’hypothèse la plus courante fait intervenir la percussion directe d’un nucléus sur un percuteur dormant immobilisé au sol. Un angle d’éclatement très ouvert (jusqu’à 170 °) et des cônes de percussion multiples sont traditionnellement considérés comme caractéristiques de cette technique, parfois qualifiée improprement de « débitage sur enclume », de « débitage bloc contre bloc » ou de « technique clactonienne ».Des données expérimentales et des exemples archéologiques fournis par différents sites acheuléens incitent à relativiser l’importance de cette technique et conduisent à proposer des techniques alternatives moins spectaculaires mais qui rendent plus fidèlement compte des caractéristiques des grands éclats de l’Acheuléen et des nucléus dont ils sont issus.As of its origins, perhaps even more than by bifaces, African Acheulean is characterized by the flaking of large flakes, which can reach several kilos and several tens of centimeters. These flakes were used for the realization of various tools, of which bifaces and cleavers, but they also could be exploited as cores. The frequency of the large flakes also characterizes Acheulean in the majority of the areas where it is known, with notable exceptions such as northwestern Europe.An unequal interest was carried to the question of the techniques employed to produce large flakes: ignored by certain authors, summarily shrugged off by others, it also impassioned scholars such as H. Breuil, which proposed not very realistic assumptions involving complex systems of tripods and pendulum. The most current assumption involves direct percussion of a core on a resting hammer immobilized on the ground. A very wide flaking angle (up to 170 °) and multiple cones of percussion are traditionally regarded as characteristics of this technique, sometimes called improperly «anvil chipping technique», « block on block» or « clactonian technique».Experimental data and archaeological examples provided by several Acheulean sites lead to revise the importance of this technique and result in proposing less spectacular alternative techniques but which more accurately account for the characteristics of the large acheulean flakes and of the cores from which they were struck

    La question du débitage de grands éclats à l’Acheuléen

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    Dès ses origines, peut-être plus encore que par les bifaces, l’Acheuléen africain est caractérisé par le débitage d’éclats de grands modules, pouvant atteindre plusieurs kilos et plusieurs dizaines de centimètres. Ces éclats ont été mis à profit pour la réalisation de différents outils, dont des bifaces et des hachereaux, mais ils ont également pu être exploités comme nucléus. La fréquence des grands éclats caractérise également l’Acheuléen dans la plupart des régions où il est connu, à de notables exceptions près telles que l’Europe nord-occidentale.Un intérêt inégal a été porté à la question des techniques employées pour produire de grands éclats : éludée par certains auteurs, évacuée sommairement par d’autres, elle a aussi passionné des préhistoriens tels que H. Breuil, qui a proposé des hypothèses peu réalistes faisant intervenir des systèmes complexes de trépieds et de balanciers.L’hypothèse la plus courante fait intervenir la percussion directe d’un nucléus sur un percuteur dormant immobilisé au sol. Un angle d’éclatement très ouvert (jusqu’à 170 °) et des cônes de percussion multiples sont traditionnellement considérés comme caractéristiques de cette technique, parfois qualifiée improprement de « débitage sur enclume », de « débitage bloc contre bloc » ou de « technique clactonienne ».Des données expérimentales et des exemples archéologiques fournis par différents sites acheuléens incitent à relativiser l’importance de cette technique et conduisent à proposer des techniques alternatives moins spectaculaires mais qui rendent plus fidèlement compte des caractéristiques des grands éclats de l’Acheuléen et des nucléus dont ils sont issus.As of its origins, perhaps even more than by bifaces, African Acheulean is characterized by the flaking of large flakes, which can reach several kilos and several tens of centimeters. These flakes were used for the realization of various tools, of which bifaces and cleavers, but they also could be exploited as cores. The frequency of the large flakes also characterizes Acheulean in the majority of the areas where it is known, with notable exceptions such as northwestern Europe.An unequal interest was carried to the question of the techniques employed to produce large flakes: ignored by certain authors, summarily shrugged off by others, it also impassioned scholars such as H. Breuil, which proposed not very realistic assumptions involving complex systems of tripods and pendulum. The most current assumption involves direct percussion of a core on a resting hammer immobilized on the ground. A very wide flaking angle (up to 170 °) and multiple cones of percussion are traditionally regarded as characteristics of this technique, sometimes called improperly «anvil chipping technique», « block on block» or « clactonian technique».Experimental data and archaeological examples provided by several Acheulean sites lead to revise the importance of this technique and result in proposing less spectacular alternative techniques but which more accurately account for the characteristics of the large acheulean flakes and of the cores from which they were struck

    First dating results for the Middle Pleistocene industries (Acheulean – Early Middle Palaeolithic) in the Pyrenees – Garonne region: a multi methods geochronological approach (TL, OSL and TT-OSL) of the Duclos and Romentères sites

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    The recent development work of the A65 highway has given the opportunity to broaden the corpus of Lower and Middle Palaeolithic open-air sites known in the southern Aquitaine basin. The sites of Duclos (Auriac, Pyrénées-Orientales) and Romentères (Le Vignau, Landes), discovered in this context, have yielded an abundant lithic record which has been attributed to the Acheulean of Iberian type for the earlier and, essentially, to the Early Middle Palaeolithic for the latter. The archaeological levels are intercalated in sequences that comprise aeolian silts and colluvial units separated by interglacial luvisols. The pedostratigraphic context of the two sites has provided a rare opportunity to propose a reliable chronostratigraphic framework in this area. To achieve this objective, a study combining several methods of luminescence dating was conducted to complete the geomorphological data. Optically Stimulated Luminescence (OSL) and Thermically Transferred OSL (TT-OSL) dating methods were applied in order to determine the ages of sedimentary quartz grains and thus, of the sampled deposits. In parallel, heated flint and quartzite samples were dated by thermoluminescence (TL). The Pyrenees-Garonne Acheulean industry of Duclos has been attributed to the boundary between Marine Isotopic Stages (MIS) 7 and 6 while the human occupations of Romentères date from MIS 6 for the most recent series (Early Middle Palaeolithic) and from MIS 9 and 8 for the older

    Économie des matières premières lithiques sur un site acheuléen du Piémont pyrénéen : Lanne-Darré à Uglas (Hautes-Pyrénées)

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    Pyrenean raw materials, namely quartzite, might come from various sample spots, even though they may appear as monotonous. They can be recognized by the external appearance of boulders and cobbles, i.e. weathering cortex of fluvial neocortex. They also paved the way for acquisition and exploitation strategies, thanks to their specific mechanical properties. Some items made of flint, indicating a drastic economy, represent the most remote imported parts. This collection is representative of a part of the territory where Acheulean artisans used to live, bordering the feet of the Pyrenees, from east to west.Bien qu’apparemment monotones, les matières premières pyrénéennes, des quartzites essentiellement, peuvent provenir de différents points de prélèvement. Ils sont reconnaissables par l’enveloppe extérieure des blocs et galets : cortex d’altération ou néocortex fluviatiles. Ce sont également eux qui ont guidé les stratégies d’acquisition et d’exploitation par leurs propriétés mécaniques spécifiques. Quelques éléments en silex, témoignant d’une économie drastique, constituent les importations les plus lointaines. L’ensemble décrit une partie du territoire fréquenté par les artisans acheuléens, allongé d’est en ouest au pied des Pyrénées.Colonge David. Économie des matières premières lithiques sur un site acheuléen du Piémont pyrénéen : Lanne-Darré à Uglas (Hautes-Pyrénées). In: Territoires, déplacements, mobilité, échanges pendant la Préhistoire : terres et hommes du Sud. Actes du 126e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Terres et hommes du Sud », Toulouse, 2001. Paris : Editions du CTHS, 2005. pp. 33-48. (Actes du Congrès national des sociétés savantes, 126
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