15 research outputs found
La fabuleuse histoire du sourire
Introduction : L’étude de l’histoire du sourire nous permet de découvrir pourquoi et comment les dents sont apparues dans le portrait moderne. Nous avons décidé de nommer ce nouveau sourire le « sourire dents blanches », en référence à l’impact social qui lui est intimement lié. Alors que certains professionnels admettent communément que l’absence des dents est liée au manque d’hygiène, l’histoire du sourire met en évidence une dimension bien plus humaine : la sexualité. Matériels et méthodes : À travers l’histoire de l’art, l’auteur retrace l’histoire du sourire. Conclusion : De la pudeur au glamour, en passant par la pornographie, le sourire a fini par marquer profondément l’espace contemporain
L'information du patient en orthopédie dento-faciale
L'information du patient est devenue une obligation imposée par l'évolution médicale. Les objectifs de bien être psychologique et social ont été ajoutés à l'objectif biotechnologique initial. La démarche de soin est désormais une démarche de santé globale conforme à la définition donnée par l'OMS en 1946.
L'information du patient devient ainsi une attitude psychopédagogique, permettant au patient de s'approprier les outils du traitement et de s'orienter vers une prise en charge préventive de sa santé. Cette information est appelée l'information objective.
D'autre part, le praticien doit lui-même s'informer des attentes du patient et de son contexte de vie pour individualiser le soin et adapter sa thérapeutique. Cette information est appelée l'information subjective.
L'auteur analyse les implications de ces deux catégories d'informations.
Ainsi, informations objective et subjective constituent la base communicante de la relation d'aide médicale
Les Ă©checs relationnels en orthodontie
Lorsqu'un patient demande à être débagué de façon urgente, c'est qu'il ne désire plus coopérer. Quelle attitude pouvons-nous lui opposer, sachant qu'il est nécessaire d'achever le traitement ?
La réponse réside dans l'analyse des causes.
Il existe des causes conscientes qui s'exercent soit au début du traitement soit en cours de traitement, et des causes inconscientes, figurées par les concepts du nocebo et du transfert négatif.
La littérature, actuellement disponible, montre que la relation psychologique entre le praticien et son patient, qui est inhérente au traitement lui-même, stimule physiologiquement l'organisme traité, en majorant ses capacités de guérison
Esthétique ou cosmétique ?
Le terme d’esthétique est galvaudé. Depuis Hegel, il répond
à l’étude des oeuvres d’art. Le praticien moderne est-il compétent
en art ? Ne doit-il pas se tenir au plus près de sa
mission de santé
De la physiognomonie à la dento-génique
Les traits du visage peuvent-ils donner lieu à des inférences sur le caractère de la personne ? Depuis les Grecs de nombreuses tentatives ont été présentées, sans cependant correspondre à des recherches scientifiques qui impliquent des biostatistiques. En revanche si les études correspondent à des représentations culturelles, historiques et sociales, il est possible de s'intéresser à ces correspondances comme étant symboliques et influençant le jugement arbitraire des sujets. Il est possible alors de construire une cartographie de la morphologie dentaire et des expressions qu'elle engendre auprès du public. Cette tentative a été dénommée la dentogénique par Frush et Fisher[13]
The clinical setting and the Doctor-Patient (therapeutic) relationship
It is commonly accepted that a good practicioner-patient relationship favours good patient co-operation with treatments. However, medical literature and our own research have led us to a more pertinent approach. The body and the mind cannot be dissociated in humans and numerous observations show that therapeutic results are favoured by the human relationship. (Given similar techniques, biological answers differ). Now concerning the environment, the question is:
“How can the clinical framework integrate this research?
Essai sur la psychologie de la canine
La canine est affectĂ©e d'une symbolique particulière. AssimilĂ©e Ă
"une dent de chien", le public la pense volontiers longue et pointue,
faite pour percer la peau et provoquer le saignement. Le mythe
qui regroupe tous ces objets métaphoriques est le mythe du vampire,
que nous nous proposons d'Ă©tudier dans cet article.
Nous envisagerons les origines du mythe, les hypothèses médicales,
les sources culturelles, puis nous tenterons de discuter les interprétations
psychanalytiques. Pouvons-nous en tirer des informations
utiles en clinique ? Ce sera le mérite de cette étude d'y aboutir. Nous
ne pouvons citer d'auteurs précis, notre recherche a été effectuée
sur le WEB
la dimension Ă©ducation dans le traitement odonto-stomatologique
L’éducation du patient devient une dimension incontournable
des thérapeutiques modernes. Elle permet une
meilleure relation de traitement, agit de façon indirecte
sur la motivation du patient et sur des facteurs biologiques
en positif. Elle vise un objectif de santé globale en
mettant en action un comportement positif de conscience
du patient sur la prise en charge autonome de sa santé.
Actuellement, la méthode pédagogique utilisée est l’explication,
méthode inefficace qui doit être remplacée par
les résultats des recherches de spécialistes en éducation
de la santé
Les risques psychologiques en O.D.F.
Les risques psychologiques sont corrélés à deux principaux facteurs :
1 - Le praticien, du fait de son attitude, peut développer ces risques à son insu.
2 - Le patient présente lui-même des sources explicites par sa personnalité, l'état de sa maturation psychologique et son contexte familial et social.
Tous ces facteurs et cofacteurs sont mis en Ă©vidence par des exemples cliniques.
La prévention du risque psychologique est sous la dépendance du praticien. Son comportement permet de créer une relation positive dans la plupart des cas. L'empathie et le transfert sont les agents principaux d'une relation thérapeutique positive
Comprendre l’adolescent pour le soutenir dans son traitement orthodontique
Introduction : L’orthodontiste reçoit régulièrement des adolescents en consultation. Il doit les convaincre d’engager un traitement long, qui leur pose un problème d’image sociale, à un âge justement essentiel dans la construction de leur personnalité pour devenir adulte. L’auteur a isolé les trois dimensions qui procèdent à l’élaboration de cette identité psychique : l’identité sexuelle, l’identité corporelle et l’identité sociale. Matériels et méthodes : L’auteur s’est appuyé sur des recherches en psychologie sur l’adolescence et sur ses investigations cliniques. Conclusion : Ces trois identités sont suffisamment pertinentes pour permettre au praticien de répondre aux exigences de compassion et d’empathie dans son travail clinique. En effet, l’écoute du patient implique l’écoute de « quelque chose », sous peine de se révéler inefficace