45 research outputs found

    Retour sur Androclès d’Amathonte (rectificatif à CCEC 39, 2009, p. 226-234)

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    Hatzopoulos Miltiade. Retour sur Androclès d’Amathonte (rectificatif à CCEC 39, 2009, p. 226-234). In: Cahiers du Centre d'Etudes Chypriotes. Volume 41, 2011. pp. 329-330

    Aigéai : la localisation de la première capitale macédonienne

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    Hatzopoulos Miltiade. Aigéai : la localisation de la première capitale macédonienne. In: Revue des Études Grecques, tome 109, Janvier-juin 1996. pp. 264-269

    Cypriote kingships in context

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    L’auteur essaie de tracer les contours spécifiques des royautés chypriotes en partant du principe que les régimes politiques de Chypre ne peuvent être étudiés en dehors du phénomène monarchique qui s’épanouit dans les marches du monde grec et qui inclut des royautés traditionnelles, des tyrannies, voire des magistratures à vie. Il soutient que le terme «cités-royaumes» rend de façon adéquate la forme poliade (et non «ethnique » ) de l’État et le caractère traditionnel de leur gouvernement monarchique. La pratique gouvernementale a pu varier selon les cités et, à l’intérieur de celles-ci, selon les circonstances historiques. Néanmoins, il s’agit fondamentalement d’un même type d’État et d’une même forme de gouvernement, au moins en ce qui concerne les royaumes grecs de Chypre car, malgré les déterminismes géographiques, les conditions économiques communes et les influences réciproques entre groupes linguistiques différents, il est impossible que le génie propre à chaque langue et l’héritage institutionnel correspondant soient restés sans influence sur la manière dont étaient conçus et pratiqués les rapports sociaux et politiques à l’intérieur des formations étatiques. En effet, les cités-États de Chypre étaient surtout les héritiers d’une double ascendance : les formations étatiques chypriotes de l’Âge du Bronze en tant que formes d’État et les régimes égéens de la période submycénienne en tant que formes de gouvernement.Hatzopoulos Miltiade. Cypriote kingships in context. In: Cahiers du Centre d'Etudes Chypriotes. Volume 44, 2014. pp. 217-233

    Le grec et le latin dans les inscriptions de BĂ©roia

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    The publication of the corpus of the inscriptions of Beroia, followed by that of the sanctuary of Leukopetra, has put at our disposal a complete documentation of the languages written in the capital of the macedonian koinon during the Roman period. The resulting impression is not much different from that which one gets from most of the cities of the Greek peninsula. The predominance of Greek is nearly absolute and the use of Latin is restricted to a few special categories of documents. Nevertheless, one should note the increase in use of Latin during the Late Empire. No less interesting is the influence of Latin on the vocabulary and syntax of Greek, a question to which I shall devote particular attention.La publication du corpus des inscriptions de Béroia, suivi du recueil des inscriptions du sanctuaire de campagne de Leukopétra, nous permet aujourd’hui de disposer d’une documentation complète sur les langues écrites dans la capitale du koinon macédonien à l’époque romaine. L’image qui s’en dégage ne diffère guère de celle que présentent la plupart des cités de la péninsule hellénique. La prédominance du grec est presque absolue et l’usage du latin est restreint en volume et limité à certaines catégories particulières de documents. Il faut, cependant, relever une relative extension du recours à cette langue sous le Bas-Empire. Non moins intéressante est l’étude de l’influence du latin dans le vocabulaire et aussi dans la syntaxe du grec, sujet auquel nous accorderons une attention particulière.Hatzopoulos Miltiade. Le grec et le latin dans les inscriptions de Béroia. In: Bilinguisme gréco-latin et épigraphie. Actes du colloque organisé à l'Université Lumière-Lyon 2, Maison de l'Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux, UMR 5189 Hisoma et JE 2409 Romanitas les 17, 18 et 19 mai 2004. Lyon : Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 2008. pp. 129-139. (Collection de la Maison de l'Orient méditerranéen. Série épigraphique, 37

    Épigraphie et philologie : récentes découvertes épigraphiques et gloses macédoniennes d'Hésychius

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    Hatzopoulos Miltiade. Épigraphie et philologie : récentes découvertes épigraphiques et gloses macédoniennes d'Hésychius. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 142ᵉ année, N. 4, 1998. pp. 1189-1218

    Le nom antique du lac Koroneia (ou d'Hagios Basileios ou de Langadas) en Macédoine (note d'information)

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    Hatzopoulos Miltiade. Le nom antique du lac Koroneia (ou d'Hagios Basileios ou de Langadas) en Macédoine (note d'information). In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 149ᵉ année, N. 1, 2005. pp. 201-212

    Philippe II fondateur de la Macédoine nouvelle

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    Philip, the third son of king Amyntas and Eurydice acceded to the throne in dramatic conditions at the age of 22 in 360. The Macedonian army was annihilated, the king, his elder brother, had been killed, and all the enemies of Macedonia threatened to invade a country torn by strife in order to pull it to pieces. A quarter of a century later Philip died assassinated, but the kingdom which he bequeathed to his son Alexander was the greatest power in South-Eastern Europe. The present paper aims at identifying the civil and military reforms at the central and local level, which not only made this king all powerful within his realm and, thanks to his military might and his prestige, undisputed leader of Greece, but also earned him the supreme honour of being venerated by his people as saviour and second founder of the kingdom for many generations.Philip, the third son of king Amyntas and Eurydice acceded to the throne in dramatic conditions at the age of 22 in 360. The Macedonian army was annihilated, the king, his elder brother, had been killed, and all the enemies of Macedonia threatened to invade a country torn by strife in order to pull it to pieces. A quarter of a century later Philip died assassinated, but the kingdom which he bequeathed to his son Alexander was the greatest power in South-Eastern Europe. The present paper aims at identifying the civil and military reforms at the central and local level, which not only made this king all powerful within his realm and, thanks to his military might and his prestige, undisputed leader of Greece, but also earned him the supreme honour of being venerated by his people as saviour and second founder of the kingdom for many generations.Hatzopoulos Miltiade. Philippe II fondateur de la Macédoine nouvelle. In: Revue des Études Grecques, tome 125, fascicule 1, Janvier-juin 2012. pp. 37-53

    Le culte des dioscures et la double royauté à Sparte

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    Hatzopoulos Miltiades. Le culte des dioscures et la double royauté à Sparte . In: École pratique des hautes études, 5e section, Sciences religieuses. Annuaire 1971-1972. Tome 79. 1970. pp. 475-476

    Le grec et le latin dans les inscriptions de BĂ©roia

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    The publication of the corpus of the inscriptions of Beroia, followed by that of the sanctuary of Leukopetra, has put at our disposal a complete documentation of the languages written in the capital of the macedonian koinon during the Roman period. The resulting impression is not much different from that which one gets from most of the cities of the Greek peninsula. The predominance of Greek is nearly absolute and the use of Latin is restricted to a few special categories of documents. Nevertheless, one should note the increase in use of Latin during the Late Empire. No less interesting is the influence of Latin on the vocabulary and syntax of Greek, a question to which I shall devote particular attention.La publication du corpus des inscriptions de Béroia, suivi du recueil des inscriptions du sanctuaire de campagne de Leukopétra, nous permet aujourd’hui de disposer d’une documentation complète sur les langues écrites dans la capitale du koinon macédonien à l’époque romaine. L’image qui s’en dégage ne diffère guère de celle que présentent la plupart des cités de la péninsule hellénique. La prédominance du grec est presque absolue et l’usage du latin est restreint en volume et limité à certaines catégories particulières de documents. Il faut, cependant, relever une relative extension du recours à cette langue sous le Bas-Empire. Non moins intéressante est l’étude de l’influence du latin dans le vocabulaire et aussi dans la syntaxe du grec, sujet auquel nous accorderons une attention particulière.Hatzopoulos Miltiade. Le grec et le latin dans les inscriptions de Béroia. In: Bilinguisme gréco-latin et épigraphie. Actes du colloque organisé à l'Université Lumière-Lyon 2, Maison de l'Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux, UMR 5189 Hisoma et JE 2409 Romanitas les 17, 18 et 19 mai 2004. Lyon : Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, 2008. pp. 129-139. (Collection de la Maison de l'Orient méditerranéen. Série épigraphique, 37

    Vies parallèles : Philippe V d’après Polybe et d’après ses propres écrits

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    Until a few decades ago all our information concerning Philip V and his reign in Macedonia (221-179 B. C.) derived, directly or indirectly, from the work of the Achaean historian Polybius. The king was depicted there as a man of great qualities but who underwent a radical change becoming a sanguinary tyrant and the involuntary instrument of Fortune for the subjugation of the Hellenistic world to Rome. The recent discovery and publication of a series of royal letters and decrees reveal Philip V as a great king who had the misfortune to enter into collision with Roman expansionism, and Polybius as a biased historian determined to justify the political choices of his country and of his Roman patrons.Il y a encore quelques décennies, presque toutes nos informations sur Philippe V et sur son règne en Macédoine (221-179 av. J.-C.) dérivaient, directement ou indirectement, de l’oeuvre de l’historien achéen Polybe. Le roi y était décrit comme un homme initialement doué de toutes les qualités, mais qui avait subi un changement radical, était devenu un tyran sanguinaire et par ses crimes avait permis à la déesse Fortune de faire de Rome la maîtresse du monde hellénistique. Récemment, la découverte et la publication d’une série de lettres et décrets royaux ont fait apparaître Philippe V comme un grand roi qui eut le malheur de se heurter à l’expansionnisme romain. Polybe, en revanche, apparaît comme un historien partisan, attaché à justifier les choix politiques de sa patrie et de ses patrons romains.Hatzopoulos Miltiade B. Vies parallèles : Philippe V d’après Polybe et d’après ses propres écrits. In: Journal des savants, 2014, n°1. pp. 99-120
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