7 research outputs found

    Co-construction de systèmes céréaliers favorables aux insectes pollinisateurs dans un réseau d'agriculteurs expérimentateurs : 1ère année d'expérimentation DEPHY-Abeille

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    Co-construction de systèmes céréaliers favorables aux insectes pollinisateurs dans un réseau d'agriculteurs expérimentateurs : 1ère année d'expérimentation DEPHY-Abeille. 4. Journées de la Recherche Apicol

    Co-construction de systèmes céréaliers favorables aux insectes pollinisateurs dans un réseau d'agriculteurs expérimentateurs : 1ère année d'expérimentation DEPHY-Abeille

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    Co-construction de systèmes céréaliers favorables aux insectes pollinisateurs dans un réseau d'agriculteurs expérimentateurs : 1ère année d'expérimentation DEPHY-Abeille. 4. Journées de la Recherche Apicol

    Conception et évaluation de systèmes de culture innovants conciliant les enjeux de protection des abeilles et de durabilité de l'agriculture

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    The aims of POLINOV project are the conception and assessment of innovative cropping systems to reconcile the agricultural sustainability with the conservation of bees. Moreover, we analyze the impact of the current cropping systems on the bees' populations in an intensively managed cereal agro-ecosystem of western France. This communication presents the methodology and first results.Notre projet de recherche (acronyme POLINOV) a pour but d’une part de concevoir et d’évaluer les performances des systèmes de culture prometteurs par rapport aux enjeux de la préservation des abeilles et de la durabilité de l’agriculture, et d’autre part, d’étudier l’impact des systèmes de cultures actuels sur les populations d’abeilles sur la zone atelier de Plaine et Val de Sèvre. Cette communication présente la démarche de travail et les premiers résultats obtenus

    Concevoir des systèmes de cultures innovants favorables aux abeilles

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    We identified nearly 200 species of bees in the workshop area of Val de Sèvre in Poitou-Charentes. Wild bees collect their diet from wild plants present in the prairies, the edges of roads and fields. Between flowering rapeseed and sunflowers, bees focus on rare flower surfaces. Pollen resources are not sufficiently abundant to maintain the size of populations at their peak and the sustainability of the apiculture activities. In the cereal plain, the honey bee and beekeeping depend today on two crops, rapeseed and sunflower, including nectar and pollen which can be furthermore contaminated with pesticides. Agro-ecological measures for bees are to reduce the use of pesticides to ensure the quality of these food resources, while regulating the intake of nectar and pollen in time.The cultivation of plants, such as alfalfa or other legumes, installed more permanently in agricultural systems, presents the triple advantage to be suitable for many species of bees, to require little fertilizer and pesticides, and to allow production of fodder or seeds. Our proposals are to diversify the rotation of crops by farmers and to form a flower network in the landscape in which the quality of nectar and pollen supply must be protected by suitable farming practices (pesticide use reduction, late mowing). The proposed measures induce a reduction in the economic margin for the farmer compared to current technical managements.Nous avons recensé près de 200 espèces d'abeilles dans la zone atelier Plaine et Val de Sèvre en Poitou-Charentes. Les abeilles sauvages tirent leur alimentation des plantes sauvages présentes dans les prairies, les bordures de routes et de champs. Entre la floraison du colza et du tournesol, les abeilles mellifères se concentrent sur de rares surfaces en fleurs. Les ressources en pollen sont alors insuffisamment abondantes pour maintenir la taille des populations à leur pic et assurer la durabilité des activités apicoles. Dans la plaine céréalière, l'abeille mellifère et l'apiculture sont aujourd'hui tributaires des deux cultures oléagineuses, colza et tournesol, dont le nectar et le pollen peuvent être de surcroît contaminés par des pesticides. Les mesures agro-écologiques en faveur des abeilles consistent à réduire l'usage des pesticides pour assurer la qualité de ces ressources alimentaires, tout en régularisant l'apport en nectar et en pollen dans le temps. La culture de plantes, telles que la luzerne ou d'autres légumineuses, installées plus durablement dans les systèmes agricoles, présente le triple avantage de convenir à de nombreuses espèces d'abeilles, de nécessiter peu de fertilisants et de pesticides, et de permettre une commercialisation de fourrages ou de graines. Nos propositions consistent à diversifier la rotation des cultures des agriculteurs et à constituer un maillage fleuri dans le paysage dont la qualité de l'offre en nectar et pollen doit être protégée par des pratiques agricoles adaptées (réduction de l'usage de pesticides, fauches tardives). Les mesures proposées induisent une réduction de la marge économique chez l'agriculteur comparée à celle des itinéraires techniques actuels

    Associations céréale-légumineuse multi-services

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    Depuis plusieurs décennies, l’évolution de l’agriculture en France est, dans un certain nombre de régions de grande culture et d’élevage marquée fortement par la simplification des assolements accompagnée d’un usage accru des intrants et la standardisation des itinéraires techniques. Le challenge est maintenant de concevoir des agroécosystèmes plus diversifiés dans l’objectif d’une gestion écologique des parcelles cultivées devant se traduire par une amélioration de la productivité et la stabilité des systèmes face à divers aléas et la fourniture de différents services éco-systémiques. Ce projet a exploré l’augmentation de la diversité cultivée au sein de la parcelle via des associations céréale-légumineuse. Il a montré la diversité des services que l’on peut en attendre en agriculture biologique et en agriculture conventionnelle, en système céréalier et en système d’élevage. Ces associations permettent de répondre à la fois à des enjeux de production, de réduction des intrants, de réduction des impacts environnementaux des cultures, de stabilité face à des aléas biotiques et abiotiques. Le coeur du projet a consisté a testé différents leviers d’actions pour aider à l’orientation des performances de ces associations pour différents objectifs. Les atouts et contraintes ’adoption à l’échelle des filières (notamment pour les collecteurs) ont été aussi mis en évidence et quantifiés

    Characterisation of a high-risk profile for maternal thrombotic and severe haemorrhagic complications in pregnant women with antiphospholipid syndrome in France (GR2): a multicentre, prospective, observational study

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    International audienceBackgroundProspective data about the risks of thrombotic and severe haemorrhagic complications during pregnancy and post partum are unavailable for women with antiphospholipid syndrome. We aimed to assess thrombotic and haemorrhagic events in a prospective cohort of pregnant women with antiphospholipid syndrome.MethodsThis multicentre, prospective, observational study was done at 76 centres in France. To be eligible for this study, women had to have diagnosis of antiphospholipid syndrome; have conceived before April 17, 2020; have an ongoing pregnancy that had reached 12 weeks of gestation; and be included in the study before 18 weeks of gestation. Exclusion criteria were active systemic lupus erythematosus nephropathy, or a multifetal pregnancy. Severe haemorrhage was defined as the need for red blood cell transfusion or maternal intensive care unit admission because of bleeding or invasive procedures, defined as interventional radiology or surgery, to control bleeding. The GR2 study is registered with ClinicalTrials.gov, NCT02450396.FindingsBetween May 26, 2014, and April 17, 2020, 168 pregnancies in 27 centres met the inclusion criteria for the study. 89 (53%) of 168 women had a history of thrombosis. The median term at inclusion was 8 weeks gestation. 16 (10%) of 168 women (95%CI 5–15) had a thrombotic (six [4%] women; 95% CI 1–8) or severe haemorrhagic event (12 [7%] women; 95% CI 4–12). There were no deaths during the study. The main risk factors for thrombotic events were lupus anticoagulant positivity at inclusion (six [100%] of six women with thrombosis vs 78 [51%] of 152 of those with no thrombosis; p=0·030) and placental insufficiency (four [67%] of six women vs 28 [17%] of 162 women; p=0·013). The main risk factors for severe haemorrhagic events were pre-existing maternal hypertension (four [33%] of 12 women vs 11 [7%] of 156 women; p=0·014), lupus anticoagulant positivity at inclusion (12 [100%] of 12 women vs 72 [49%] of 146 women; p<0·0001) and during antiphospholipid history (12 [100%] of 12 women vs 104 [67%] of 156 women; p=0·019), triple antiphospholipid antibody positivity (eight [67%] of 12 women vs 36 [24%] of 147 women; p=0·0040), placental insufficiency (five [42%] of 12 women vs 27 [17%] of 156 women; p=0·038), and preterm delivery at 34 weeks or earlier (five [45%] of 11 women vs 12 [8%] of 145 women; p=0·0030).InterpretationDespite treatment adhering to international recommendations, a proportion of women with antiphospholipid syndrome developed a thrombotic or severe haemorrhagic complication related to pregnancy, most frequently in the post-partum period. Lupus anticoagulant and placental insufficiency were risk factors for these life-threatening complications. These complications are difficult to prevent, but knowledge of the antenatal characteristics associated with them should increase awareness and help physicians manage these high-risk pregnancies

    Pregnancy outcomes in women with primary Sjögren's syndrome: an analysis of data from the multicentre, prospective, GR2 study

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