9 research outputs found

    RÎle des nouveaux acteurs dans l'évolution de la presse tunisienne: le cas des journaux d'informations générales

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    La prĂ©sente contribution, basĂ©e sur une Ă©tude empirique en sciences de l'information et de la communication entend questionner les stratĂ©gies des nouveaux acteurs et leur Implication dans la presse nationale d'informations gĂ©nĂ©rales, en particulier la presse quotidienne et hebdomadaire. L'analyse de l'activitĂ© journalistique permet de constater l'arrivĂ©e des nouveaux acteurs (des amateurs, des spĂ©cialistes d'un domaine d'activitĂ©, des sources d'informations) et leur participation active dans l'Ă©volution des pratiques professionnelles ainsi que de leurs mĂ©dias. Elle permet aussi de concevoir le rĂŽle de l'État comme un acteur principal et actif intervenant dans le champ mĂ©diatique et contribuant Ă  son dĂ©veloppement.Chabbeh Sameh. RĂŽle des nouveaux acteurs dans l'Ă©volution de la presse tunisienne: le cas des journaux d'informations gĂ©nĂ©rales. In: Horizons MaghrĂ©bins - Le droit Ă  la mĂ©moire, N°62, 2010. MĂ©dias au Maghreb et en milieu migratoire. pp. 23-29

    AndrĂ© VITALIS (2016), L’incertaine rĂ©volution numĂ©rique. 1

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    « Quand on ne sait pas oĂč l’on va, il vaut mieux savoir d’oĂč l’on vient. » C’est par ce proverbe qu’AndrĂ© Vitalis entame sa rĂ©flexion sur la question de l’informatique et du numĂ©rique, sur les libertĂ©s individuelles, la vie privĂ©e et la surveillance. L’ouvrage prĂ©sente une idĂ©e cruciale qui consiste Ă  montrer les relations complexes et les interdĂ©pendances du numĂ©rique et des techniques d’information et de communication (Tic) dans la sociĂ©tĂ©, ainsi que les enjeux sous-jacents. C’est autour de..

    JOUX Alexandre et PELISSIER Maud (dir.), 2018. L’information d’actualitĂ© au prisme des fake news

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    « Le meilleur ami du journaliste, c’est la bibliothĂšque, et l’art d’aller directement Ă  la source appropriĂ©e pour trouver l’information recherchĂ©e est l’une des compĂ©tences les plus utiles qu’un journaliste puisse acquĂ©rir » Joseph Pulitzer (1904) « Je vous laisse le choix du mensonge qui vous paraĂźtra le plus digne d’ĂȘtre la vĂ©rité » (Paul ValĂ©ry, Mon Faust. « Lust », acte I, scĂšne 1) 1946. C’est par cette cĂ©lĂšbre phrase de l’homme de presse et inventeur du « journalisme jaune », Joseph Puli..

    Frùre Marie-Soleil (2020). Journalismes d’Afrique

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    Dans son nouvel ouvrage, intitulĂ©, Journalismes d’Afrique, Marie-Soleil FrĂšre, MaĂźtre de recherches au Fonds national de la recherche scientifique et professeur de journalisme Ă  l’UniversitĂ© libre de Bruxelles (ULB), prĂ©fĂšre parler des « journalismes » et des systĂšmes mĂ©diatiques en mettant en Ă©vidence qu’au sein du continent africain, « le journalisme » est pluriel, contrastĂ© et dĂ©pendant des contextes locaux et des environnements mĂ©diatiques. Dans ce livre qui est le fruit d’une longue rĂ©fl..

    Bertrand CABEDOCHE (2016), « “Communication Internationale” et enjeux scientifiques : un Ă©tat de la recherche Ă  la naissance des sciences de l’information-communication en France »

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    C’est Ă  l’occasion des 15 ans de la revue Les Enjeux de l’information et de la communication et pour rĂ©pondre aux sollicitations que le professeur Ă©mĂ©rite Bernard MiĂšge avait faites Ă  une vingtaine de chercheurs experts et engagĂ©s dans le domaine de la communication internationale qu’est paru ce dossier spĂ©cial sur L’internationalisation de la culture, de l’information et de la communication : quels enjeux contemporains ? Dans son introduction, MiĂšge contribue Ă  sa maniĂšre Ă  la comprĂ©hension ..

    AndrĂ© VITALIS (2016), L’incertaine rĂ©volution numĂ©rique. 1, Londres, ISTE Édition.

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    International audienceL’ouvrage d'AndrĂ© Vitalis prĂ©sente une idĂ©e cruciale qui consiste Ă  montrer les relations complexes et les interdĂ©pendances du numĂ©rique et des techniques d’information et de communication (Tic) dans la sociĂ©tĂ©, ainsi que les enjeux sous-jacents. C’est autour de ces couples-oppositions Tic et surveillance, libertĂ© et sĂ©curitĂ© que l’auteur fonde son analyse, en s’inscrivant dans une approche pluridisciplinaire (sciences politiques, sciences de l’information et de la communication, la socioĂ©conomique, la sociohistorique, la socioinformatique). Dans les cinq chapitres intrinsĂšquement liĂ©s de cet ouvrage, Vitalis questionne la problĂ©matique de l'informatique, de la « rĂ©volution numĂ©rique » (toujours « incertaine »), de l’hyperconnectivitĂ©, de la cybersurveillance dans son rapport aux libertĂ©s individuelles, Ă  la vie privĂ©e et Ă  la sĂ©curitĂ©

    L’animation comme industrie culturelle ? Concevoir et produire le dessin animĂ©

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    L’animation, entendue ici dans toute la diversitĂ© de ses formats (longs et courts mĂ©trages de fiction, documentaires, publicitĂ©s, etc.) et de ses techniques (celluloĂŻd, images de synthĂšse, stop-motion, etc.), a longtemps Ă©tĂ© une niche scientifique, surtout en comparaison de l’intĂ©rĂȘt exprimĂ© pour d’autres mĂ©dias ou industries culturelles. Certes, l’état de l’art s’est considĂ©rablement Ă©toffĂ© avec l’affirmation des « animation studies » dans le contexte anglo-saxon (Crafton, 1982 ; Pilling, 1997 ; Lamarre, 2008 ; Wells, 2012). De simple dĂ©nomination employĂ©e pour dĂ©signer certaines formations, dĂ©partements d’universitĂ©s ou encore cours au sein des Ă©coles d’animation, l’expression est aujourd’hui devenue un label commode pour rassembler toutes les discussions et analyses engagĂ©es par des universitaires (et/ou certains praticiens) autour de l’animation
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    Vol. 34/2

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