50 research outputs found

    Fiches touristiques, Recueil – Volume 1.

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    editorial reviewedCe recueil de fiches consiste en une caractérisation des équipements touristiques parmi les plus importants en termes de territoire dédié en Wallonie. Le premier volume est principalement consacré aux attractions touristiques. Après un premier chapitre expliquant comment a été conçu le modèle de fiche, quatre types d'attractions sont caractérisées : « Attractions du pôle d'intérêt culturel », « Attractions du pôle d'intérêt naturel », « Attractions du pôle d'intérêt récréatif » et « Golfs ». Une dernière fiche s’intéresse aux « Infrastructures pour foires, salons et congrès ». La description proposée aborde notamment la répartition spatiale de ces différents types d’infrastructures (dont l'emprise au sol pour les équipements de grande taille), leurs caractéristiques touristiques (capacité d'accueil ou fréquentation, reconnaissance officielle et des utilisateurs), leur rapport au territoire (accessibilité, contraintes physiques et légales…) et leur dynamique spatio-temporelle. Avec ces fiches, le premier objectif de la recherche « Tourisme et Territoire : gérer le passé et préparer l'avenir (2020-2022) » était de mobiliser les données disponibles, voire de les créer, afin d’acquérir une meilleure connaissance territoriale du tourisme wallon. Les traitements ont également abouti à des recommandations quant à des améliorations possibles dans la gestion des données touristiques et à des pistes pour approfondir les liens entre les infrastructures touristiques et l’aménagement du territoire.Tourisme et territoire: gérer le passé et préparer l'aveni

    Fiches touristiques, Recueil – Volume 2.

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    editorial reviewedCe recueil de fiches consiste en une caractérisation des équipements touristiques parmi les plus importants en termes de superficies consommées en Wallonie. Ce deuxième volume est dédié aux hébergements utilisés par les touristes. Onze types d’hébergement y sont caractérisés : « Aires d'accueil pour motor-homes », « Campings touristiques », « Centres de tourisme social », « Endroits de camp », « Hébergements issus de plateformes d'échanges (Airbnb, Vrbo / HomeAway) », « Hébergements touristiques de terroir et meublés de vacances », « Hôtels », « Parcs résidentiels de week-end », « Résidences secondaires cadastrales », « Terrains de caravanage », « Villages de vacances ». La description de ces différentes infrastructures aborde notamment leur répartition spatiale (dont l’emprise au sol pour les équipements de grande taille), leurs caractéristiques touristiques (capacité d’accueil ou fréquentation, reconnaissance officielle et par les utilisateurs), leur rapport au territoire (accessibilité, contraintes physiques et légales…) et leur dynamique spatio-temporelle. Avec ces fiches, le premier objectif de la recherche « Tourisme et Territoire : gérer le passé et préparer l'avenir (2020-2022) » était de mobiliser les données disponibles, voire de les créer, afin d’acquérir une meilleure connaissance territoriale du tourisme wallon. Les traitements ont également abouti à des recommandations quant à des améliorations possibles dans la gestion des données touristiques et à des pistes pour approfondir les liens entre les infrastructures touristiques et l’aménagement du territoire. Le premier volume de ce recueil est quant à lui principalement consacré aux attractions touristiques et explique comment a été conçu le modèle de fiche.Tourisme et territoire: gérer le passé et préparer l'aveni

    Expertise - Quelles perspectives pour les territoires wallons dans l'ère post-covid? (E.1)

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    Dans sa DPR 2019-2024, le Gouvernement wallon affiche sa volonté de faire de la Wallonie une terre de transition écologique sociale, économique et démocratique. Cette transition doit ainsi permettre d’aboutir à un nouveau modèle de société dans lequel les Wallonnes et les Wallons vivent mieux et plus heureux. Cette problématique des transitions fait également partie des priorités européennes comme le Green Deal qui dresse notamment les orientations à conduire pour faire face aux changements climatiques. À l’autre bout de l’échelle, l’évolution des comportements des acteurs, tant au niveau des citoyens qu’au niveau des entreprises, et la numérisation croissante de la société impactent toujours davantage les modes de vie et différents projets concrets se mettent en place. La convergence entre les mutations sectorielles apparait comme un élément critique de réussite des transitions. Or le développement territorial peut jouer un rôle majeur pour favoriser ces convergences. Néanmoins, l’apparition en début d’année 2020 d’une crise sanitaire face à laquelle nous luttons toujours aujourd’hui agit comme un catalyseur des mutations sociétales et amplifie les défis socio-économiques et territoriaux. Des évolutions radicales sont déjà perceptibles, telles que la désertion des centres villes et des commerces de détail, et une forte expansion de la demande pour les immeubles de toute nature en milieu rural et péri-urbain « vert ». L’ampleur de la crise attendue est telle que les territoires pourraient être fortement impactés et déstructurés. Un diagnostic pluridisciplinaire sera effectué (janvier-février 2021), mobilisant les compétences économiques, sociales et environnementales disponibles, et les acteurs représentatifs. Sur base de celui-ci, des perspectives d’actions et de mise en place de dispositifs correctifs seront dégagés au travers de trois séminaires à tenir avant fin juin 2021, sur trois thèmes : - Quelles perspectives pour l’attractivité des centres-villes et leurs activités commerciales ? - Quelles tendances observées et attendues sur les marchés foncier et immobilier (principalement à vocation résidentielle) ? - Quelles évolutions en matière de répartition modale, notamment en regard de la vision FAST et de la progression du télétravail

    Etude des facteurs de contrĂ´le de la floraison et de la fructification chez le sarrasin commun, Fagopyrum esculentum Moench (cv. La Harpe)

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    Buckwheat (Fagopyrum esculentum Moench, Polygonaceae) is widely cultivated but the floral biology of this auto-incompatible distylous species was poorly studied. Compared with other cereals, it has a relatively low reproductive success. In the present study, its reproductive biology was investigated in growth rooms in order to study the reproductive structures (morphogenenesis, morph comparisons and nectar production) and their development under different light irradiances, photoperiods, resource supplying (by source and/or sink organ removals) and water stress. We also observed the behaviour of pollinators in the field and attempted to determine which events may affect its reproductive success. The activity of the reproductive meristems is potentially endless but abortion process stop the morphogenesis. Resource availability and photoperiod for a photensensible variety affect the meristematic activity and therefore the number of flowers. When the plant has one unfolded leaf, the morphogenesis of the reproductive structures occurs at many nodes and this stage was highly sensible to a water deficit. Diptera (Apis mellifera L.) and Hymenoptera (syrphid flies) were the principal visitors. A variation in the visitor guild occurred at the beginning and at the end of summer. Honeybee appeared to be an effective pollinator and the most numerous visitors. The nectar, hexoses-dominant, was secreted when the anthesis occurred by unicellular secretory hairs during all the light period even after fertilization. Its secretion was light dependent. Except for the morphology of the reproductive organs, both morphs differed only in the nectar production. Thrum flowers secreted more nectar than pin flowers and were preferentially visited by honeybee. No pollen limitation transfer was found but the seed set was very low because many flowers did not set a seed. Some flowers had an undersized gynoecium and were infertile but majority looked correctly formed. Within the inflorescence, the flower position had an influence on its fate. The percentage of seeds decreased whereas the percentage of normal flowers which did not set a seed increased from the base to the top. Last abortions appeared to be limited in comparison to losses caused by the early failure phenomena.Le sarrasin (Fagopyrum esculentum Moench, Polygonaceae) est largement cultivé dans certaines régions du monde mais la biologie florale de cette espèce distyle et auto-incompatible a été peu étudiée. Comparé aux autres céréales, il a un faible succès reproducteur. Dans cette étude, sa biologie reproductive a été investiguée en chambres de culture afin d'étudier les structures reproductrices (morphogenèse, comparaisons entre les morphes et production de nectar) et leur développement sous différents approvisionnements en ressources (en éliminant des organes sources et/ou puits), intensités lumineuses, photopériodes et stress hydriques. Le comportement des pollinisateurs en champ a été observé et nous avons tenté de déterminer quels évènements peuvent affecter son succès reproducteur. L'activité des méristèmes reproducteurs est potentiellement sans fin mais des phénomènes d'avortement arrêtent la morphogenèse. La disponibilité des ressources et la photopériode dans le cas d'une variété photosensible influencent l'activité méristèmatique et donc la production de fleurs. Lorsque les plantes ont une feuille étalée, la morphogenèse des structures reproductrice a lieu à de nombreux noeuds et ce stade est très sensible à un déficit hydrique. Les Diptera (Apis mellifera L.) et les Hymenoptera (syrphes) sont les principaux visiteurs. Une variation dans la gilde des pollinisateurs s'observe au début et à la fin de l'été. L'abeille apparait comme un pollinisateur efficace et comme le visiteur le plus fréquent. Le nectar, hexoses-dominant, est secrété lors de l'anthèse par des poils sécréteurs unicellulaires durant toute la période lumineuse même après fécondation. A l'exception de la morphologie des organes reproducteurs, les deux morphes diffèrent seulement dans leur production de nectar. Les fleurs brévistyles secrètent plus de nectar que les fleurs longistyles et sont préférentiellement visitées par les abeilles. Aucune limitation de transfert de pollen n'a été observée mais le rendement est très faible car beaucoup de fleurs ne fructifient pas. Une partie de ces fleurs ont un pistil de taille réduite et sont infertiles mais la majorité d'entre-elles paraissent correctement formées. A l'intérieur de l'inflorescence, la position de la fleur influence son devenir. Le pourcentage de graines diminue tandis que le pourcentage de fleurs d'apparence « normale » qui ne fructifient pas augmente de la base vers le sommet. Les avortements tardifs apparaissent peu importants en regard des pertes dues aux phénomènes d'échecs précoces de fécondation.Doctorat en sciences (sciences biologiques) (BIOL 3)--UCL, 200

    Les plantes envahissantes, une menace méconnue pour la biodiversité en Afrique centrale :le cas de Sâo Tomé.

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    Les invasions biologiques constituent la seconde cause de perte de biodiversité au niveau mondial, après la destruction et la fragmentation des habitats. Les îles et les montagnes sont particulièrement sensibles à ces phénomènes qui mettent en danger leur flore et leur faune endémiques.Bien que la vulnérabilité de ces écosystèmes insulaires soit connue, à São Tomé, la conscience de la perte de biodiversité encourue en raison de la présence de plantes envahissantes est récente. Jusqu’il y a peu, personne n’avait pris en compte cette problématique dansles plans de développement de l’archipel. Il n’existe d’ailleurs pas de données publiées sur cette thématique et l’expertise locale en la matière est inexistante. De même, les préoccupations environnementales en Afrique centrale sont fortement centrées sur la filière du bois. Au Gabon, par exemple, les plantes envahissantes, bien que très présentes, n’ont pas été prises en compte dans la mise en place des plans de gestion des aires protégées. Pourtant une étude récente a mis en évidence la présence d’environ 80 espèces végétales envahissantes dans le pays. A São Tomé des résultats préliminaires indiquent une forte présence de plantes envahissantes et un grand nombre d’écosystèmes montagnards, que l’on croyait intacts, sont déjà fortement dégradés. De plus, ces plantes sont liées aux milieux ouverts et touchent bien évidemment, en plus des zones montagneuses, les zones agricoles.L’une des caractéristiques majeures de la flore de l’archipel de São Tomé et Principe est son taux d’endémisme élevé (près de 15,5 % d’après Stévart 2003). Des deux îles, São Tomé a le taux d’endémisme le plus élevé. Ceci s’explique par la taille de l’île, son isolement et la diversité des habitats qu’elle présente. L’endémisme concerne également la faune, ainsi on observe un taux d’endémisme de 38 % pour les papillons et supérieur à 30 % pour les oiseaux, ce qui explique les fréquentes visites dans l’île de « bird watchers ». A São Tomé, des espèces introduites se sont dispersées à partir des zones de culture où elles avaient été implantées et deviennent envahissantes. Des inventaires réalisés en 2008-2009 ont permis d’identifier quelques-unes des plantes supposées envahissantes :Cinchona spp. (quinquina), Rubus rosifolius, Tithonia diversifolia, Bambusa sp. Parmi celles-ci, le quinquina est l’une des 100 espèces végétales les plus envahissantes au niveau mondial et son atteinte à la biodiversité des sites envahis est reconnue (ISSG database). Originaire d’Amérique latine, il a été planté à partir du milieu du 19ème siècle pour traiter les cas de malaria dans de nombreuses îles (Galápagos, Hawaii, São Tomé, etc.). Se naturalisant rapidement, le quinquina forme des peuplements denses, empêchant toute régénération naturelle des forêts. A São Tomé, sa présence pose des problèmes liés à la réduction de la biodiversité locale, la perturbation des activités écotouristiques et la dégradation des écosystèmes d’altitude où il s’est préférentiellement établi. Son succès peut s’expliquer par ses modes de reproduction végétative et sexuée, et par son mode de dissémination via le vent. Aux Galápagos il semble être extrêmement difficile à éradiquer. Par ailleurs, on estime qu’environ un tiers de la flore locale est naturalisée, et qu’elle abrite un grand nombre d’espèces potentiellement envahissantes non détectées à ce jour.Le secteur de l’écotourisme est de loin le plus prometteur et a dès lors été défini récemment comme une priorité par l’état Sãotoméen. Même si ce secteur commence à peine à se développer, le gouvernement soutenu par l’Union Européenne via son programme ECOFAC IV, a classé en aire protégée une partie de son territoire (300 km2): les Parcs Naturels de l’Obô de São Tomé et Príncipe. Ces parcs constituent l’une des principales attractions touristiques, tout en protégeant la majorité des écosystèmes les plus riches en espèces endémiques et les mieux conservés.Si des préjudices irrémédiables liés à une perte de biodiversité, y compris au niveau des espèces endémiques, ont probablement déjà été causés par les plantes envahissantes, des actions peuvent encore être menées pour préserver les écosystèmes les plus remarquables. Une évaluation précise de la situation actuelle, une prédiction de l’occupation future, la mise au point de techniques d’éradication et de contrôle des populations, une sensibilisation et une éducation au niveau local permettront de contrôler la perte de la biodiversité dans le Parc National Obô et sa zone tampon, et de préserver ses écosystèmes.info:eu-repo/semantics/publishe

    Analyses territoriales et touristiques de la zone de loisirs au plan de secteur – Outil à destination des acteurs publics actifs dans le développement territorial et le secteur touristique

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    En Wallonie, une zone est juridiquement dédiée à la fonction touristique au sein du plan de secteur :« la zone de loisirs ». La présente note de recherche synthétise les résultats acquis au terme de la recherche « Tourisme et territoire :gérer le passé et préparer l’avenir » au niveau de la connaissance des zones de loisirs – à savoir leur répartition, emprise spatiale, dynamique et principales caractéristiques – et du gisement potentiel de zones de loisirs disponibles pour le tourisme. Les méthodologies utilisées pour caractériser les zones de loisirs et qualifier ce gisement foncier potentiel, les outils développés ainsi que la façon de les prendre en main sont détaillés. Ce travail de caractérisation identifie une inadéquation partielle entre la destination de cette zone du plan de secteur et son utilisation. Telle que répartie et définie actuellement, la zone de loisirs ne semble plus être en mesure de répondre aux besoins territoriaux structurels du tourisme wallon.La note propose également des recommandations en lien avec cette affectation du sol. Elles traitent de l’amélioration et du partage des connaissances sur les zones de loisirs encore disponibles pour le tourisme ;de l’opportunité lors de la création d’une nouvelle zone de loisirs d’utiliser comme compensation planologique des zones de loisirs résiduelles ayant peu d’intérêt touristique ou récréatif ;de la possibilité d’encadrer le développement des hébergements touristiques en zone de loisirs.info:eu-repo/semantics/publishe

    Comparative study of the reproductive ecology of two co-occurring related plant species: The invasive Senecio inaequidens and the native Jacobaea vulgaris

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    Background and aims - A previous study showed that the visitation rate by pollinators and the seed set of the exotic invasive Senecio inaequidens (Asteraceae) were higher compared to the native relative, Jacobaea vulgaris. The first aim of the present study was to assess if these results could be explained by differences in self-fertility, nectar rewards or floral display between the two species. Moreover, in a second step, we examined if the higher visitation rate on S. inaequidens has a negative effect on the reproductive success of J. vulgaris. Methods - Self-fertility was estimated after self- and cross-hand pollinations. Nectar volume, total sugar concentration and sugar composition were analysed on plants cultivated under controlled conditions. In the field, in order to assess the effect of floral display and impact of the invasive on the pollination success of the native, insect behaviour was assessed by comparing visitation rates, number of visitors per 10 min observation and individual censuses. Floral display (density of capitula per unit area) was artificially modified by clipping or grouping inflorescences in both species. Key results - In terms of self-fertility, seed sets were similarly low after self-pollination (11-12%) for both species. S. inaequidens produced lower amounts of nectar with lower sugar concentration compared to J. vulgaris. No influence of floral display was detected on insect visitation rates. The presence of S. inaequidens did not alter pollinator visits and seed set of J. vulgaris. Conclusions - Other traits need to be investigated to explain the different visitation rates and reproductive success between the two species. The higher seed set of S. inaequidens could be due to a higher outcrossing rate, or more frequent pollinator movements between individuals. © 2011 National Botanic Garden of Belgium and Royal Botanical Society of Belgium.info:eu-repo/semantics/publishe

    Les forêt d'Afrique centrale :synthèse régionale sur les indicateurs de suivi: Conservation et gestion de la biodiversité

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    Depuis la première édition de l'État des Forêts, l'état et la conservation de la biodiversité sont une préoccupation constante. Les éditions successives ont chaque fois fait le point sur les menaces qui pèsent sur la faune et la flore de la sous-région. En 2010, un focus était fait sur le sujet dans un chapitre intitulé « Biodiversité dans les forêts d'Afrique centrale :panorama des connaissances, principaux, enjeux et mesures de conservation ». En consacrant un nouveau chapitre à cette thématique, l'EDF 2013 réaffirme l'importance de la biodiversité et de la protection des espèces pour le développement durable des forêts d'Afrique centrale. Le présent chapitre n'est pas une monographie de la situation actuelle ;il ne se veut pas exhaustif sur la diversité biologique de l'Afrique centrale. Il s'inscrit plutôt dans la continuité du panorama dressé précédemment tout en apportant un éclairage sur certaines connaissances acquises et sur les outils disponibles pour suivre l'évolution de la biodiversité et en faciliter la gestion. Il traite aussi de quelques points d'actualité et d'expériences récentes de gestion/conservation de la biodiversité animale et végétale. La première partie de ce chapitre, particulièrement innovante, traite des méthodes disponibles pour estimer la biodiversité dans les forêts d'Afrique centrale. Un premier volet concerne la grande faune mammalienne dont la plupart des espèces emblématiques ;il présente ensuite des méthodologies pour l'évaluation de la diversité végétale. La deuxième partie fait le point sur le statut de quelques espèces emblématiques. Il fournit les derniers chiffres sur la situation critique des populations d'éléphants et de grands singes. Après un bilan des connaissances sur la diversité spécifique des différents groupes de plantes, cette section aborde également la problématique des invasions biologiques à travers les exemples de la petite fourmi de feu au Gabon et au Cameroun et des plantes envahissantes à Sao Tomé. Étonnamment, cette menace pour les écosystèmes d'Afrique centrale a, jusqu'à présent, été peu prise en compte par les acteurs de la conservation.0info:eu-repo/semantics/publishe
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