21 research outputs found
Spanish and Latin American women writers in the literary canon: a paratextual study of anthologies of fantastic literature (1946-2016)
While it is evident that there are outstanding women authors of the fantastic in Spain and Latin America since the nineteenth century, it is not as clear whether these writers are fairly represented in the corpus available to readers. To what extent are women authors part of the fantastic canon? Are there female reference points for new generations of women writers? To explore processes of canon formation in the literature of the fantastic from a feminist perspective, this article gathers paratexts from 110 anthologies. Employing a quantitative approach with regard to indexed authors, the first section addresses specific questions related to gender and the fantastic in the Hispanic context by analysing statistical data. The empirical study is complemented by an analysis of how the female author is presented and constructed through the discourse in introductions, forewords and other paratextual materials of these anthologies
Villiers de l'Isle- Adam, historien de sa Maison
Castex Pierre-Georges. Villiers de l'Isle- Adam, historien de sa Maison. In: Revue du Nord, tome 36, n°142, Avril-juin 1954. Mélanges offerts à Louis Jacob à l'occasion de son 70e anniversaire. pp. 377-389
Lamartine et Talleyrand Ă l'hĂ´tel de La Mole
Castex Pierre-Georges. Lamartine et Talleyrand à l'hôtel de La Mole. In: Romantisme, 1971, n°1-2. L'impossible unité? pp. 164-176
Hunt (Herbert J.). Balzac's Comédie humaine
Castex Pierre-Georges. Hunt (Herbert J.). Balzac's Comédie humaine. In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 39, fasc. 2, 1961. Histoire (depuis la fin de l'Antiquité) — Geschiedenis (sedert de Oudheid) pp. 486-487
Un homme, une critique
J’ai envie de dire au lecteur : prenez bien vite le plaisir de lire les pages qui vont suivre. Elles n’ont pas besoin d’être commentées, ni même présentées. Elles coulent de source. Ceux qui, d’aventure, ne connaîtraient pas leur auteur le connaîtront d’emblée. Ils découvriront eux-mêmes ce ton qui n’appartient qu’à lui, cette liberté d’ allure qui toujours entraîne, ces jeux de miroir qui tantôt dissimulent et tantôt révèlent, ce détachement apparent, cette ironie, cet humour qui voilent par..
Un inédit de Charles Nodier : Ferry Barbis
Castex Pierre-Georges, Nodier Charles. Un inédit de Charles Nodier : Ferry Barbis. In: Littératures 4, janvier 1956. pp. 7-19
Manuel des études littéraires françaises
Contén: T. I, Moyen age; T. II, XVI/pe/s siècle; T. III, XVII/pe/s siècle; T. IV, XVIII/pe/s siècle; T. V, XIX/pe/s siècle; T. VI, XX/pe/s siècl
Errements littéraires et historiques
Lorsque Pierre Reboul a demandé à faire valoir prématurément ses droits à la retraite, l’héritière de la Faculté des Lettres dont il avait été onze ans le remarquable Doyen, l’Université de Lille III, qui n’avait pas perdu la mémoire de son règne et continuait de bénéficier de sa dévouée collaboration et de ses nombreuses interventions – souvent malicieuses, toujours précieuses – fut frappée d’une sorte de stupeur qu’il fallait exorciser. Le présent recueil est cet exorcisme que nous avons voulu solennel et auquel nous étions prêts à "mettre le prix" comme si le Doyen Reboul, dont la générosité est célèbre, avait pu accepter qu’on lui rende la pareille ! Le projet à peine voté et lancé, les cohortes de ses amis accouraient pour souscrire, au point qu’on vient à se demander si notre offrande lyrique ne deviendra pas le "best-seller" – que Pierre Reboul me pardonne une fois de plus un de ces anglicismes qu’il exècre ! – de nos presses.C’est sans doute qu’on ne saurait se changer, même au soir de sa carrière. L’ami que nous honorons ne fut probablement jamais riche : il fut toujours, pour l’institution à laquelle il consacra le plus clair de sa vie, source de richesse et de rayonnement.Les lignes que peut écrire le Président en exercice – quelque sincérité qu’il y apporte – n’ajoutent rien à l’hommage ébloui d’un Pierre Georges Castex ni aux textes éblouissants qui suivent. Ces textes, par contre, qui cernent une évolution, révèlent une sensibilité, explorent dans le langage devenu rare de l’honnête homme des zones d’intérêt universel, font rejaillir leur gloire sur l’université entière qui a su, malgré tout, se conserver de tels êtres, géants d’hier dont on souhaite qu’ils aient été prolifiques et qu’ils découragent, demain, les nains. Pierre Reboul voudra nous dire merci pour ce recueil mais c’est nous qui sommes ses débiteurs, une fois encore, et qui le remercions de ce qu’il a fait, certes, mais surtout de ce qu’il est et d’être des nôtres