8 research outputs found

    What the council of economic advisors need to know about sustainable development

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    The decision by Alex Salmond to appoint a Council of Economic Advisors to move economic decision making away from purely political rationale is particularly welcome given the new administration’s commitment to sustainable economic growth as the overarching priority. From the first Minister’s statement to parliament4 is clear that as an economist he recognises that sustainable economic growth is not (just) economic growth that continues but economic growth that is environmentally and socially sustainable. In the Scottish Environment Protection Agency we have wrestled with just what sustainable economic growth might mean and here we offer some of our own thoughts to help the new council of economic advisors in their work

    Genetically modified organisms in agriculture: social and economic implications

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    This paper argues that whether genetic modification of crops is seen as radically different or simply a further step of ‘traditional’ breeding techniques affects the perception of the associated benefits and risks of their commercialisation and the wider context scrutinised to assess potential consequences. Current risk regulation and GM legislation is narrowly defined, and largely concerned with scientific evidence of harm to human health and the environment. This contrasts with the public disquiet and a greater concern for overarching issues such as institutional and power structures (and the way political decisions are made), the role of science in society and the social and economic impacts of new technologies in the UK and abroad. The paper shows how the debate over GM technology has been framed and reflects the broader tensions within society. First, broadly political factors are discussed, followed by economic considerations to show how socio-economic factors influence and are influenced by novel technologies. Finally, welfare impacts and issues relating to less industrially developed economies are considered

    Genetically modified organisms in agriculture: social and economic implications

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    This paper argues that whether genetic modification of crops is seen as radically different or simply a further step of ‘traditional’ breeding techniques affects the perception of the associated benefits and risks of their commercialisation and the wider context scrutinised to assess potential consequences. Current risk regulation and GM legislation is narrowly defined, and largely concerned with scientific evidence of harm to human health and the environment. This contrasts with the public disquiet and a greater concern for overarching issues such as institutional and power structures (and the way political decisions are made), the role of science in society and the social and economic impacts of new technologies in the UK and abroad. The paper shows how the debate over GM technology has been framed and reflects the broader tensions within society. First, broadly political factors are discussed, followed by economic considerations to show how socio-economic factors influence and are influenced by novel technologies. Finally, welfare impacts and issues relating to less industrially developed economies are considered

    Information technology and rural development in the Scottish highlands and islands : A preliminary review of the issues and evidence. / Technologies de l'Information et développement rural dans les Highlands et Islands d'Ecosse.

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    This paper addresses several key questions relating to the relationship between Information and Communications Technology and rural development in the context of the Highlands and Islands of Scotland. Specifically, it assesses the perceived development problems of the Highlands and Islands of Scotland and the role which Information and Communications Technology is expected to play in addressing these problems. It further examines the logic of public intervention and the role of public policy in this respect. It assesses the evidence that investment in Information and Communications technology has positive impacts on development in this region. Finally, it asks what new research is needed to improve our understanding of the relationships and processes involved.Les "Highlands and Islands" s'étendent sur près de 40 000 km2, soit la moitié de la superficie totale de l'Ecosse. Les 373 000 habitants de la région habitent pour la plupart des villages de moins de mille habitants (seule Inverness, la ville principale, dépasse 12 000 habitants). La densité moyenne est de 9 h/km2, la plus faible des régions européennes. Suède et Finlande exceptées. De plus, 30 % de la population vivent sur des îles. Le PIB régional par habitant atteint 78% de la moyenne européenne, ce qui désigne la région pour être eligible aux fonds structuraux européens au titre de l'objectif 1. La région est dotée d'un riche patrimoine naturel et historique, ce qui procure des ressources économiques appréciables, mais est éloignée des marchés et souffre d'un climat difficile ; 40% du territoire est montagneux. Le secteur primaire emploie 13% des actifs (24% sur les îles) principalement dans l'élevage extensif et surtout la pêche. Le secteur manufacturier est restreint, dominé par les entreprises moyennes et surtout petites. L'économie locale reste dominée par le secteur tertiaire, qui représente 73% de l'emploi total, dans les services publics (éducation, santé), et surtout dans le tourisme, dont dépendent directement 30 000 emplois. Le programme public de développement des Highlands and Islands identifie quatre grandes problématiques : l'isolement géographique périphérique et insulaire ; la fragilité du tissu économique et social ; la vulnérabilité des secteurs économiques aux facteurs extérieurs ; la préservation et la mise en valeur du patrimoine naturel et culturel. La région possède une longue tradition d'interventionnisme public, avec l'office de développement des Highlands and Islands (HIDB), fondé en 1965, devenu aujourd'hui le HIE (Highlands and Islands Enterprise). Si le problème principal de la région est sa situation périphérique et ses faibles densités, alors la "révolution des TIC" semble apporter la solution idéale à ces difficultés, comme l'illustrent certains discours publicitaires qui tendraient à faire croire que les espaces ruraux sont la terre promise des TIC. Certes, il y a des raisons objectives pour penser que les TIC peuvent être une réponse adaptée aux problèmes contemporains des espaces ruraux. Si le travail est de moins en moins dépendant des facteurs de localisation géographique, les traits caractéristiques des espaces ruraux ne seront plus perçus comme des handicaps. L'espace rural n'est pas le premier ni le seul type d'espace à relever d'une problématique de développement liée aux TIC. Les premières discussions sur le télétravail sont nées de la crise de l'énergie des années 1970. Aujourd'hui, les principaux débats se focalisent sur la gestion spatiale et temporelle du travail. L'introduction des TIC dans les espaces ruraux s'adapte à différentes sortes de problèmes, économiques - une meilleure efficacité des entreprises - ou sociaux - réduire les contraintes de l'isolement dans des régions de très faibles densités. Tout projet de développement des télécommunications dans les espaces ruraux se heurte à l'importance des coûts générés par l'éloignement et la dispersion de la clientèle solvable. L'usager rural bénéficie donc de services moins nombreux et de moins bonne qualité que le citadin. La réponse à ce fait, dans de nombreux pays, a été la mise en place d'un "service universel" de télécommunications, pour garantir une égalité de desserte entre les territoires. Mais ce service universel ne correspond pas aux exigences d'un usage performant des TIC. Jusqu'en 1989, British Télécom (ВТ) n'avait aucun projet pour mettre à niveau ses infrastructures dans la région des Highlands and Islands. Aussi, HIE a pris la décision de négocier avec ВТ la modernisation du réseau, en prenant un quart du financement à sa charge. Cette opération de 20 millions de £ a été considérée comme un investissement clé pour le futur de la région. L'évaluation de l'impact sur la région s'est faite principalement sur le nombre d'emplois directement créés. Ceci, comme le fait observer J. Bryden en 1997, n'est peut- être pas la meilleure solution, car de nombreux effets sont diffus, indirects et ne sont pas quantifiables. Par ailleurs, pour étayer cette notion d'emplois créés par l'usage des TIC, on ne dispose pas, a contrario, de données sur l'impact pour l'emploi du non-usage des TIC. Dans une enquête de 1995, Black, Bryden et Spoull montrent que s'il peut effectivement y avoir création d'emploi dans les secteurs liés aux nouvelles technologies, d'autres emplois peuvent être supprimés par la rationalisation du travail dans les métiers traditionnels, privés ou publics. Si l'enquête montre une augmentation globale de l'emploi dans les entreprises interrogées, il serait bien hasardeux de lier cet accroissement aux nouvelles technologies de communication. De fait, il est difficile d'isoler ce facteur des autres facteurs d'évolution. Dans le même ordre d'idée, il est difficile de savoir si les entreprises rurales font des TIC un usage différent, plus ou moins intensif, que celles des autres régions, urbaines notamment. Il serait hâtif d'en conclure, comme certains, que les politiques de développement des TIC dans la région n'ont eu aucun effet tangible. Dans l'avenir, de telles comparaisons à base géographique seront de moins en moins pertinentes, avec la complexité croissante de l'offre de télécommunication, la multiplication des services hautement spécialises. Il est sans doute plus pertinent de s'intéresser à l'usage des TIC que font les habitants pour atteindre leurs propres objectifs, plutôt que de s'enfermer dans des comparaisons statistiques avec l'espace urbain qui restent sans grandes significations. Bryden et Sproull (1998) suggèrent la distinction entre deux catégories d'entreprises, celles dont la clientèle est locale, et celles dont le marché est national ou international. Il faudrait particulièrement encourager l'implantation de ces dernières, qui représentent un potentiel de développement supérieur. Deux exemples sont particulièrement intéressants. Une entreprise spécialisée dans la taille de bijoux et d'objets décoratifs en pierre locale a pu élargir son marché et diminuer ses coûts grâce à Internet. Un traducteur freelance utilise intégralement le courrier électronique pour correspondre avec ses clients en Allemagne, en France, en Belgique et aux Pays-Bas. Les TIC ont donc des effets bénéfiques, qui demandent à être mieux connus. Il reste pour cela à conduire une étude plus approfondie de l'appropriation des TIC par les habitants des "Highlands and Islands".Bryden John, Richards Caspian. Information technology and rural development in the Scottish highlands and islands : A preliminary review of the issues and evidence. / Technologies de l'Information et développement rural dans les Highlands et Islands d'Ecosse.. In: Géocarrefour, vol. 75, n°1, 2000. Espaces ruraux et technologie de l'information. pp. 71-77

    conference report: think local, act local

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    Towards sustainable land use: identifying and managing the conflicts between human activities and biodiversity conservation in Europe

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    Conflicts between biodiversity conservation and human activities are becoming increasingly apparent in all European landscapes. The intensification of agricultural and silvicultural practices, land abandonment and other land uses such as recreation and hunting are all potential threats to biodiversity that can lead to conflicts between stakeholder livelihoods and biodiversity conservation. To address the global decline in biodiversity there is, therefore, a need to identify the drivers responsible for conflicts between human activities and the conservation of European biodiversity and to promote the management of these conflicts. Here, the drivers of biodiversity conflicts are analysed in a European context for five habitat types: agricultural landscapes, forests, grasslands, uplands and freshwater habitats. A multi- disciplinary approach to conflict management is described, with active stakeholder involvement at every stage of conflict identification and management as well as a range of other approaches including stakeholder dialogue and education, consumer education, improvement of political and legislative frameworks, financial incentives, and planning infrastructur
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