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    L'IMPACT POLITIQUE DE L'AUDIT DE DEBUT DE MANDAT : UNE ETUDE EMPIRIQUE DES VILLES DE PLUS DE 20 000 HABITANTS

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    Dans un contexte marqué par le développement des audits de début de mandat, cette étude empirique s'intéresse à l'influence politique de ce moyen de contrôle et d'information, escomptée au moment de son engagement, sur la réélection du maire à la prochaine échéance municipale. Cet impact politique est analysé dans le cadre des théories des choix publics, de l'agence et du vote, où l'audit externe constitue une source d'information crédible et compréhensible destinée aux électeurs. Cette influence théorique sur la décision de vote des électeurs est appréciée sur la base des résultats aux dernières élections municipales de 2001 pour 141 villes de plus de 20 000 habitants. Les résultats mettent en évidence l'absence d'influence des politiques de communication financière et d'audit de début de mandat sur la réélection du maire et sur la continuité politique.Audit de début de mandat; communication légale et volontaire; impact politique; élections municipales; processus de vote électoral

    Governance of Public Enterprise: An International Comparative Analysis

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    Peut-on contractualiser avec l’Etat ?

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    Transformations et innovations managériales

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    Entretiens de l’innovation territoriale : des pistes pour faire mieux avec moins"

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    Valeur, vous avez dit valeurs ? [édito]

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    National audienceEdito RGP, avril 2018 Valeur, vous avez dit valeurs ? L'évaluation des politiques publiques se développe actuellement de manière importante dans des dimensions pratique et opérationnelle. Ainsi, à l'échelle locale, de nombreuses collectivités ont recours à des dispositifs internes ou externes pour évaluer leurs politiques. A l'échelle nationale, différentes évolutions légales ou institutionnelles, en particulier la LOLF, la Modernisation de l'Action publique ou encore actuellement Action Publique 2022, mettent aussi au premier plan la question évaluative. A l'échelle européenne, de nombreux appels à projets (FEDER, Label de bonne gouvernance du Conseil de l'Europe, etc.) imposent enfin l'évaluation comme outil de projection et de reddition des comptes dans la relation entre financeur, gestionnaires et opérateurs. Si l'évaluation des politiques publiques relevait du discours et d'une approche théorique ou conceptuelle depuis le début des années 1990 en France, elle semble alors actuellement devenir une réalité. En effet, face à la difficulté d'accroitre leurs ressources (fiscalité, dette, dotation, etc.), les organisations publiques privilégient ainsi sur des solutions internes, en essayant notamment de mieux dépenser. L'évaluation des politiques publiques devient dans ce sens un enjeu majeur. Pourtant, si l'évaluation se développe dans les pratiques publiques, elle n'en reste pas moins peu maîtrisée et insuffisante. En effet, l'importance de la question financière conduit souvent à assimiler valeur d'une politique à sa seule valeur financière. Ainsi, des dispositifs comme la LOLF ou la RGPP deviennent, à l'expérience, inutiles d'un point de vue des politiques publiques engagées, tant la focale budgétaire est forte. Pour éviter ce type de limite, il semble alors nécessaire de mieux clarifier la notion de valeur des politiques publiques, essentielle à une démarche d'évaluation. Evaluer une politique publique, en effet, « c'est porter un jugement sur la valeur de cette action » (VIVERET, 1989 1). Or, comme l'indique BOUGUIGNON (2005) 2 , les définitions de la valeur peuvent être recherchées dans plusieurs champs scientifiques dont les sciences et les arts, l'économie et la philosophie. Dans ce sens, dès 1776, SMITH 3 propose deux approches de la valeur. La première concerne la valeur d'échange, qui s'exprime en termes monétaires et financiers et peut s'assimiler au prix. La seconde concerne, elle, la valeur d'usage. Cette dernière reflète alors l'utilité qu'un individu retire d'un objet, et se distingue de la vision des économistes classiques qui la considère comme égale aux coûts nécessaires à la production du bien. Comme SIMON (2000) 4 l'évoque, la valeur-utilité conduit ainsi « à considérer la valeur non pas comme une réalité objective reposant sur des entités […]. La valeur devient ainsi une donnée subjective et contingente ». Dans la lignée de cette valeur-utilité qui considère la valeur comme n'étant pas seulement lié aux coûts et à une dimension économique, LORINO (1999) fait une distinction entre l'utilisation du mot valeur au singulier ou au pluriel. Le singulier conduit ainsi, pour l'auteur, à l'assimilation de la valeur 1 VIVERET Patrick (1989), « L'évaluation des politiques et des actions publiques-Propositions en vue de l'évaluation du revenu minimum d'insertion », La Documentation Française. 2 BOURGUIGNON Annick (2005), « Management accounting and value creation: the profit and loss of reification », Critical Perspectives on Accounting, Vol. 16, nᵒ 4. 3 SMITH Adam (1776), « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations ». 4 SIMON Claude (2000), « Valeur et comptabilité », Encyclopédie de Comptabilité, Contrôle de Gestion et Audit

    Le développement numérique / TIC : comment développer les outils collaboratifs en interne et dans la relation aux usagers / citoyens ?

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