27 research outputs found

    Galanin evokes a cytosolic calcium bursting mode and hormone release in GH3/B6 pituitary cells

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    AbstractThe effects of galanin on secretion and cytosolic free Ca2+ concentration ([Ca2+i) have been studied in GH3/B6 pituitary cells. Prolactin (PRL) and growth hormone (GH) release was measured in column Perifusion experiments; [Ca2+]i was monitored in single cells by dual emission microspectrofluorimetry using indo-1 as intracellular Ca2+ probe. Galanin (0.1–1 nM) caused PRL and GH release coincident with a modest rise in [Ca2+]i The increase in [Ca2+]i comprises the establishment of characteristic long-lasting bursts of [Ca2+]i transients. Galanin acts on Ca2+ entry through voltage-gated Ca2+ channels since there was no response to the peptide when Cd2+ - a Ca2+ channel blocker - was added to the bath solution. The stimulation of bursting activity by galanin may provide a fine Ca2+ -signalling mechanism which maximally stimulates hormone release while avoiding refractory periods

    Memory deficits in a juvenile rat model of type 1 diabetes are due to excess 11β-HSD1 activity, which is upregulated by high glucose concentrations rather than insulin deficiency

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    Aims/hypothesis: Children with diabetes may display cognitive alterations although vascular disorders have not yet appeared. Variations in glucose levels together with relative insulin deficiency in treated type 1 diabetes have been reported to impact brain function indirectly through dysregulation of the hypothalamus-pituitary-adrenal axis. We have recently shown that enhancement of glucocorticoid levels in children with type 1 diabetes is dependent not only on glucocorticoid secretion but also on glucocorticoid tissue concentrations, which is linked to 11β-hydroxysteroid dehydrogenase type 1 (11β-HSD1) activity. Hypothalamus-pituitary-adrenal axis dysfunction and memory alteration were further dissected in a juvenile rat model of diabetes showing that excess 11β-HSD1 activity within the hippocampus is associated with hippocampal-dependent memory deficits. Here, to investigate the causal relationships between diabetes, 11β-HSD1 activity and hippocampus-dependent memory deficits, we evaluated the beneficial effect of 11β-HSD1 inhibition on hippocampal-related memory in juvenile diabetic rats. We also examined whether diabetes-associated enhancement of hippocampal 11β-HSD1 activity is due to an increase in brain glucose concentrations and/or a decrease in insulin signalling. Methods: Diabetes was induced in juvenile rats by daily i.p. injection of streptozotocin for 2 consecutive days. Inhibition of 11β-HSD1 was obtained by administrating the compound UE2316 twice daily by gavage for 3 weeks, after which hippocampal-dependent object location memory was assessed. Hippocampal 11β-HSD1 activity was estimated by the ratio of corticosterone/dehydrocorticosterone measured by LC/MS. Regulation of 11β-HSD1 activity in response to changes in glucose or insulin levels was determined ex vivo on acute brain hippocampal slices. The insulin regulation of 11β-HSD1 was further examined in vivo using virally mediated knockdown of insulin receptor expression specifically in the hippocampus. Results: Our data show that inhibiting 11β-HSD1 activity prevents hippocampal-related memory deficits in diabetic juvenile rats. A significant increase (53.0±9.9%) in hippocampal 11β-HSD1 activity was found in hippocampal slices incubated in high glucose conditions (13.9 mmol/l) vs normal glucose conditions (2.8 mmol/l) without insulin. However, 11β-HSD1 activity was not affected by variations in insulin concentration either in the hippocampal slices or after a decrease in hippocampal insulin receptor expression. Conclusions/interpretation: Together, these data demonstrate that an increase in 11β-HSD1 activity contributes to memory deficits observed in juvenile diabetic rats and that an excess of hippocampal 11β-HSD1 activity stems from high glucose levels rather than insulin deficiency. 11β-HSD1 might be a therapeutic target for treating cognitive impairments associated with diabetes

    Evaluation d'un automate multiparamètrique (l'UniCel DxI 800®)

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    Dans le cadre de l évaluation d un automate, l UniCel DxI 800®, nous avons étudié l autoimmunité gastrique, par le dosage des anticorps anti-facteur intrinsèque, chez des patients présentant des dysthyroïdies autoimmunes. Au plan analytique, les résultats du bilan thyroïdien ont été comparés à ceux obtenus avec les techniques radioimmunologiques du laboratoire et les résultats du dosage des anticorps anti-facteur intrinsèque à ceux obtenus avec trois techniques ELISA. Pour l ensemble du bilan thyroïdien, des discordances ont été observées entre les techniques pouvant affecter le diagnostic et le suivi thérapeutique des thyréopathies autoimmunes. Les discordances sont de 4,6% pour la TSH, 78% pour la T4l, 44% pour la T3l, 4% pour les anticorps anti-thyropéroxydase et 11% pour les anticorps anti-thyroglobuline, elles ne semblent pas liées à un problème analytique mais à des normes inadaptées pour le DxI®. L interprétation du dosage des anticorps anti-facteur intrinsèque diffère chez un tiers des patients suivant la technique de dosage, remettant en cause la place privilégiée, depuis la disparition du test de Schilling, de cet examen dans le diagnostic de la maladie de Biermer. Le type d anticorps détecté ainsi que la différence de sensibilité entre les techniques pouvant expliquer ces résultats. Au plan épidémiologique, la prévalence des anticorps anti-facteur intrinsèque déterminée sur le DxI® est statistiquement plus importante chez les patients dysthyroïdiens autoimmuns (3,5%) que chez les patients dysthyroïdiens non autoimmuns justifiant chez ces derniers le dépistage de la maladie de Biermer à condition de définir au préalable une démarche diagnostique consensuelle jusqu à présent absente.LIMOGES-BU Médecine pharmacie (870852108) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Evaluation du dosage de l'ACTH par une technique de chimiluminescence automatisée

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    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Test à la Desmopressine et maladie de Cushing

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    La maladie de Cushing (MC, adénome corticotrope) est l'étiologie la plus fréquente des syndromes de Cushing ; elle pose des problèmes de diagnostic et de prise en charge. Certains adénomes corticotropes sont stimulables par la desmopressine, analogue de la vasopressine. Le test à la desmopressine a donc été proposé comme outil de diagnostic différentiel de la MC et de dépistage précoce des récidives. Nous avons réalisé une étude rétrospective de patients atteints de MC et suivis dans le service d'endocrinologie de l'hôpital Haut-Lévêque de Bordeaux. Trois cohortes ont été définies : - Une cohorte "diagnostique pour analyser le profil de réponses au test à la desmopressine de MC au moment du diagnostic afin d'essayer de trouver un seuil de positivité plus performant que ceux proposés dans la littérature, de définir la prévalence de réponse au test dans notre population et d'envisager un allègement du protocole de réalisation du test. - Une cohorte "suivi" pour comparer la performance du test à la desmopressine dans l'évaluation du risque de récidive en post-opératoire immédiat et au cours du suivi. - Une cohorte "radiothérapie" pour évaluer la performance du test à la desmopressine en tant que marqueur de normalisation de l'axe corticotrope après une radiothérapie. Pour la cohorte "diagnostique", la réponse du test à la desmopressine est plus importante dans le groupe MC par rapport aux autres groupes (sujets contrôles, pseudo syndrome de Cushing (PC) ou adénome hypophysaire). Un incrément maximal d'ACTH de 7,6 pmol/L par rapport à la valeur de base T0 montre la meilleure sensibilité de 76,5 % pour une spécificité de 100 % entre les groupes MC et PC. Il y a un taux de non réponse de 23,5 % dans le groupe MC. Les dosages de cortisol montrent des performances moindres. En post-opératoire immédiat, 19 % des patients sont toujours en hypercorticisme, 81 % sont en rémission (66 % en insuffisance corticotrope et 15 % en eucorticisme). Les paramètres hormonaux en post-opératoire immédiat ne sont pas prédictifs de récidive : il n'y a pas de différence significative, pour les dosages de base et le test à la desmopressine entre les sujets en rémission ou en récidive. Dans cette cohorte, la survenue d'une positivité au test à la desmopressine est variable : soit concomitante à l'altération des autres tests dans la majorité des cas, soit plus tardive, soit absente. Le test à la desmopressine n'apporte donc ici qu'un intérêt modeste, discordant avec la littérature. Les patients de la cohorte "radiothérapie" ont à distance de la radiothérapie les profils hormonaux suivants : 53 % sont en eucorticisme, 13 % présentent une persistance a minima de leur hypercorticisme et 33 % sont toujours en hypercorticisme. On observe que pour 73 % des patients dont les données sont utilisables, le test à la desmopressine se normalise plus tardivement que les autres tests. On peut donc considérer que dans le suivi des MC en post-radiothérapie, le test est pertinent pour évaluer la persistance de cellules corticotropes fonctionnelles résiduelles alors même que l'hypercorticisme a été contrôlé. Ces résultats sont concordants avec la littérature médicale. En attendant des études complémentaires sur le suivi post-opératoire,il est nécessaire de maintenir le test à la desmopressine dans l'évaluation des maladies de Cushing, du diagnostic au suivi au long cours, du fait de la finesse des renseignements qu'il apporte sur le plan qualitatif de l'activité fonctionnelle de l'axe corticotrope. Nous proposons une simplification du protocole de réalisation du test avec le retrait de l'analyse du cortisol qui est beaucoup moins performant que l'ACTH, le maintien des 4 temps de prélèvements T30, T60, T90 et T120 suivant l'injection de la desmopressine à T0 afin de ne pas altérer la sensibilité du test, et la suppression du prélèvement à T-30 qui pourrait être transformé en temps de préparation du patient allongé au calme et à la pose ou la vérification de la fonctionnalité du cathéter de prélèvements.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Dosages simultanés du cortisol et de ses métabolites par LC-MS/MS dans les urines (intérêt dans les syndromes de Cushing et les masses surrénaliennes)

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    LIMOGES-BU Médecine pharmacie (870852108) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Vitamin A, endocrine tissues and hormones: interplay and interactions

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    Vitamin A (retinol) is a micronutrient critical for cell proliferation and differentiation. In adults, vitamin A and metabolites such as retinoic acid (RA) play major roles in vision, immune and brain functions and tissue remodelling and metabolism. This review presents the physiological interactions of retinoids and endocrine tissues and hormonal systems. Two endocrine systems have been particularly studied. In the pituitary, retinoids target the corticotrophs with a possible therapeutic use in corticotropinomas. In the thyroid, retinoids interfere with iodine metabolism and vitamin A deficiency aggravates thyroid dysfunction caused by iodine-deficient diets. Retinoids use in thyroid cancer appears less promising than expected. Recent and still controversial studies investigated the relations between retinoids and metabolic syndrome. Indeed, retinoids contribute to pancreatic development and modify fat and glucose metabolism. However, more detailed studies are needed before planning any therapeutic use. Finally, retinoids probably play more minor roles in adrenal and gonads development and function apart from their major effects on spermatogenesis

    Urinary sampling for 5HIAA and metanephrines determination: revisiting the recommendations

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    International audienceContext: Biogenic amines such as 5-hydroxy-indole acetic acid (5HIAA) the main metabolite of serotonin or metanephrines (catecholamines metabolites) are used as biomarkers of neuroendocrine tumours. Objective: To re-evaluate the recommendations for urinary sampling (preservatives, diet, drugs, etc.) as many of the reported analytical interferences supporting these recommendations are related to obsolete assays. Methods: Bibliographic analysis of old and modern assays concerning preservation, extraction, assay and interferences. Results: 5HIAA may degrade as soon as urine is excreted. Thus, acids as preservatives (hydrochloric or acetic acid) have to be immediately added. Care should be taken not to decrease the pH under 2. Urine preservative for metanephrine assays is not mandatory. Diets including serotonin-, tryptophan-and dopamine-rich foods have to be avoided depending on the biomarkers investigated (bananas, plantain, nuts, etc.). Tryptophanrich over-the-counter formulas have to be prohibited when 5HIAA has to be assayed. Acetaminophen may interfere with electrochemical detection depending on high-pressure liquid chromatography (HPLC) parameters. No interference is known with mass spectrometric assays but with the one described for metanephrines determination. Some drugs interfere however with serotonin and catecholamines secretion and/or metabolism (monoamine oxidase inhibitors, serotonin or dopamine recapture inhibitors, etc.). Conclusion: Revisited recommendations are provided for the diet, the drugs and the preservatives before HPLC coupled with electrochemical and mass spectrometry assays

    Thyroxin overdose due to rheumatoid factor interferences in thyroid-stimulating hormone assays

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    International audience*Background : Immunoassays are susceptible to interferences by anti-hormone antibodies, heterophilic antibodies or rheumatoid factor (RF). *Methods : We report a case of levothyroxin overdose because of gross overestimation of thyroid-stimulating hormone (TSH) by chemiluminescent and IRMA assays. Alternate assays were performed and heterophilic antibodies blocking tubes were used. *Results : Analytical investigations revealed: i) non-linear concentrations of TSH after serum dilutions, ii) decreased TSH concentrations after removal of heterophilic antibodies, iii) appropriately decreased TSH concentrations in alternate TSH assays and iv) identification of increased concentrations of RF. *Conclusions : The presence of RF may be responsible for false determination of TSH concentrations preventing monitoring of TSH
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