41 research outputs found

    Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent

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    Chiland Colette. Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent. In: Bulletin de psychologie, tome 20 n°260, 1967. pp. 1187-1190

    Soutenance de thèses. L'enfant de six ans et son avenir. Etude psychopathologique

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    Chiland Colette. Soutenance de thèses. L'enfant de six ans et son avenir. Etude psychopathologique. In: Bulletin de psychologie, tome 24 n°293, 1971. pp. 1005-1011

    Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent

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    Chiland Colette. Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent. In: Bulletin de psychologie, tome 20 n°252, 1967. pp. 92-99

    Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent

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    Chiland Colette. Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent. In: Bulletin de psychologie, tome 19 n°248, 1966. pp. 793-801

    Un psychanalyste dans la tourmente autour du sexe, du genre et de la sexualité

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    Quand Antoine, 4 ans, entra dans mon bureau, j’étais loin d’imaginer qu’il allait me faire plonger, à mes risques et périls, dans le chaudron où se concocte la culture LGBTIQ (Lesbien Gay Bisexuel Transgenre Intersexe Queer). Queer est un mot anglais qui signifiait « bizarre » et a été utilisé pour stigmatiser les homosexuels, puis repris avec fierté d’abord par les homosexuels, ensuite dans la mouvance transgenre pour caractériser une identité indifférenciée, d’aucun sexe/genre, de l’un ou l’autre, ou des deux à la fois ; on pourrait dire que, être queer, c’est se débarrasser du genre vécu comme carcan. Antoine voulait être une fille et commença de me faire comprendre comment se construit l’identité sexuée. Freud s’était occupé de la sexualité et du sexe ; le genre identitaire n’avait pas encore été inventé. Il fut inventé en 1955 par John Money, aujourd’hui décrié. Il a connu une inflation telle qu’il finit par aboutir au déni de la réalité biologique. Deux ans plus tôt, en 1953, Harry Benjamin avait lancé un autre terme qui fit fortune : « transsexualisme » pour désigner l’irrépressible sentiment de ne pas appartenir au sexe dans lequel on est né et à la demande de changement de sexe par une transformation hormonochirurgicale du corps. On est ensuite passé du « phénomène transsexuel » au « mouvement transgenre » polymorphe qui aboutit à la proclamation que le choix du sexe/genre est un droit humain. Il appartiendrait à l’enfant de choisir s’il est un garçon ou une fille. Et l’on assimile la liberté de choisir son sexe à la liberté de choisir son objet d’amour sexuel. Que peut faire un psychanalyste devant ce raz-de-marée ? Il n’a pas le pouvoir de l’endiguer, mais il peut aider à le comprendre

    De l'essence du féminin

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    Colette Chiland, The essence of feminity. Societies, our society, wouldn't have created a distinction between the genders if there were not a biological base to this distinction. But this biological base is not a clear dichotomy, for there are two genders and there are "in betweens". The characteristics of the human female can be described in the way she differs from the human male. But to become a man or a woman acknowledged as such, one has to submit to the masculine and feminine social stereotypes. Femininity is what society decides it is. Those who are "in-between", intersexed, transsexuals, homosexuals, don't have a status in our society. Key-words : Sex, Gender, Feminine, Masculine, Bisexuality.Les sociétés, notre société, n'auraient pas construit de distinction entre les sexes, s'il n'y avait pas une base biologique à cette distinction. Mais cette base biologique n'est pas une dichotomie tranchée, il y a deux sexes et il y a des « entre deux ». On peut définir les caractéristiques de la femelle humaine, ce en quoi elle diffère du mâle humain. Mais pour devenir un homme ou une femme reconnus comme tels par la société, il faut se soumettre aux stéréotypes sociaux du masculin et du féminin. Est féminin ce que la société déclare comme tel. Ceux qui sont « entre les deux », intersexués, transsexuels, homosexuels, n'ont pas de statut dans notre société. Mots-clés : Sexe, Genre, Féminin, Masculin, Bisexualité.Colette Chiland, De la esencia de lo femenino. Las sociedades, nuestra sociedad, no hubiesen construído una distinción entre los sexos, si no existiera una base biológica de esa distinción. Pero esa base biológica no es una dicotomía tajante, hay dos sexos y hay los "entre dos". Podemos definir las características de la hembra humana, en aquéllo que la diferencia del macho humano. Pero para devenir un hombre o una mujer reconocidos como tales por la sociedad, hay que someterse a los estereotipos sociales del masculino y del femenino. Es femenino aquéllo que la sociedad déclara como tal. Los que están "entre los dos", intersexuados, transexuales, homosexuales, no tienen estatuto en nuestra sociedad. Palabras-clave : Sexo, Género, Femenino, Masculino, Bisexualidad.Chiland Colette. De l'essence du féminin. In: Psychologie clinique et projective, vol. 1 n°2, 1995. Problématiques du féminin. pp. 143-160

    Les étudiants et la faculté

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    Chiland Colette. Les étudiants et la faculté. In: Bulletin de psychologie, tome 14 n°185, 1960. pp. 233-236

    Psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent

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    Chiland Colette. Psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent. In: Bulletin de psychologie, tome 20 n°259, 1967. pp. 1107-1113

    Pour une méta-théorie de la psychothérapie

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    La diversité des méthodes et des théories psychothérapeutiques entraîne la nécessite d’une réflexion épistémologique, d’une « méta-théorie » de la psychothérapie. Quelle que soit la profession d’origine, la psychothérapie requiert une formation, qui engage la personne du thérapeute : elle est un traitement qui s’adresse au psychisme et repose sur une relation intersubjective. La psychothérapie utilise des médiations diverses, faisant une place variable au corps, à la conscience, à l’émotion et la cognition pour atteindre ses buts d’alléger la souffrance et de permettre une meilleure gestion de la vie. Elle suppose qu’on croit à la réalité du psychologique comme distinct du neuronal et agissant sur lui, d’où une complémentarité des traitements biologiques et des traitements psychologiques. Elle comporte toujours une part d’imprévu, qui ne peut pas être consignée dans un manuel, qui demande une liberté créatrice au thérapeute et une ouverture à la culture du patient. Quelle que soit la volonté d’ouverture, il faut choisir : on peut constituer des équipes combinant les compétences, il est difficile de pousser l’éclectisme jusqu’à être un « psychothérapeute caméléon » et jusqu’à intégrer le parapsychologique, le « psychédélique », dans sa palette
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