53 research outputs found

    Veterinary dairy herd fertility service provision in seasonal and non-seasonal dairy industries - a comparison

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    The decline in dairy herd fertility internationally has highlighted the limited impact of traditional veterinary approaches to bovine fertility management. Three questionnaire surveys were conducted at buiatrics conferences attended by veterinary practitioners on veterinary dairy herd fertility services (HFS) in countries with a seasonal (Ireland, 47 respondents) and non-seasonal breeding model (The Netherlands, 44 respondents and Portugal, 31 respondents). Of the 122 respondents, 73 (60%) provided a HFS and 49 (40%) did not. The majority (76%) of all practitioners who responded stated that bovine fertility had declined in their practice clients' herds with inadequate cow management, inadequate nutrition and increased milk yield as the most important putative causes. The type of clients who adopted a herd fertility service were deemed more educated than average (70% of respondents), and/or had fertility problems (58%) and/or large herds (53%). The main components of this service were routine postpartum examinations (95% of respondents), fertility records analysis (75%) and ultrasound pregnancy examinations (69%). The number of planned visits per annum varied between an average of four in Ireland, where breeding is seasonal, and 23 in Portugal, where breeding is year-round. The benefits to both the practitioner and their clients from running a HFS were cited as better fertility, financial rewards and job satisfaction. For practitioners who did not run a HFS the main reasons given were no client demand (55%) and lack of fertility records (33%). Better economic evidence to convince clients of the cost-benefit of such a service was seen as a major constraint to adoption of this service by 67% of practitioners

    Clonage des animaux domestiques: comment, pourquoi?

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    International audienc

    The physiology of the induction of parturition

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    International audienc

    Apport de l'autopsie sur le diagnostic étiologique des affections néonatales du chiot entre zéro et huit jours

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    La mortalité néonatale du chiot est encore aujourd'hui élevée. L'évolution de l'élevage canin par une plus grande médicalisation du suivi des animaux a amené le vétérinaire praticien à rechercher les causes de mortinatalité. Les signes cliniques étant peu spécifiques et la mort survenant rapidement, cette recherche s'appuie sur une autopsie et des examens de laboratoire. La première partie abordera le développement embryonnaire et foetal dans l'espèce canine ainsi que les particularités physiologiques du chiot nouveau-né. La deuxième partie, après un rappel de la technique d'autopsie, étudiera les différentes causes de mortinatalité canine. Celle-ci peut être liée à des malformations congénitales, à l'immaturité physiologique du chiot, à l'état de santé de la mère, ou à des causes iatrogènes ou infectieuses (bactériennes, virales ou parasitaires). La démarche diagnostique est précisée en insistant sur les lésions retrouvées à l'autopsie lorsque cet examen permet un diagnostic de certitude. Des photographies prises lors d'autopsies pratiquées au service de néonatalogie de l'Unité de Médecine et du Sport de l'École Vétérinaire d'Alfort illustrent les lésions. Il ressort de cette étude que les causes les plus fréquentes de mortalité néonatale (hypothermie, déshydratation, hypoglycémie) se diagnostiquent du vivant de l'animal et que les malformations congénitales entraînant la mort du chiot dans les huit premiers jours de vie sont souvent des monstruosités externes de diagnostic immédiat. L'autopsie n'est alors utile que lorsque les désordres métaboliques ne font que compliquer d'autre affections ou pour des malformations internes. Par contre, les maladies infectieuses - évoluant souvent à bas bruit dans l'élevage du fait de la systématisation de la vaccination et des bonnes pratiques d'élevage - peuvent être mises en évidence par le biais d'une autopsie et d'examens complémentaires qui peuvent alors révéler certaines défaillances techniques ou médicales dans le suivi de l'élevage.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    COMPARAISON INTERSPECIFIQUE DES TECHNIQUES ET DES INTERETS DE LA PONCTION FOLLICULAIRE

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    Le très grand nombre d'ovocytes contenus dans les ovaires des femelles mammifères dès leur plus jeune âge représente un potentiel de reproduction énorme. Les scientifiques ont exploité ce potentiel en prélevant les ovocytes directement dans les follicules ovariens. Afin de ponctionner un nombre maximal d'ovocytes, la femelle peut recevoir un traitement hormonal de stimulation ovarienne qui provoque la croissance simultanée d'un grand nombre de follicules. Dans la majorité des espèces ponctionnées les protocoles de ponction actuels font de moins en moins appel à la stimulation hormonale, notamment grâce à la possibilité de maturation in vitro des ovocytes. Au cours du temps, les techniques de ponction folliculaire ont beaucoup évolué, notamment grâce au perfectionnement du matériel médical. La ponction des follicules ovariens a d'abord été pratiquée dans les espèces animales sur des cadavres ou des ovaires collectés à l'abattoir. Puis, le développement de techniques d'imagerie a rendu possible la ponction de follicules ovariens sur des femelles vivantes. Ainsi, les follicules étaient prélevés sous endoscopie au début des années 1980, puis sous échographie. Cette seconde technique est non invasive, seule une aiguille pénétrant dans l'organisme de la femelle ponctionnée ; elle peut donc être reproduite plus facilement et sans conséquences. Cependant, dans les espèces de petit format, l'endoscopie reste la technique de choix. Parallèlement à l'évolution des techniques de ponction folliculaire, les applications du recueil d'ovocytes se sont multipliées : traitement de l'infertilité, accélération du progrès génétique, conservation des espèces... Dans l'espèce humaine cependant, l'éthique impose que l'on limite l'exploitation de ces cellules reproductrices.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Tools for the automated monitoring of calving

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    International audienc
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