8 research outputs found

    Finding focus in a difficult landscape: Therapists’ experiences with challenging video guidance processes for parent–infant dyads

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    Marte Meo video guidance uses filmed interaction of the actual parent–infant dyad in the guidance of caregivers. Exploring the challenges that therapists meet in the guidance of parent–infant dyads may illuminate important aspects of the method itself as well as the therapists’ role and requirements. This could lead to method development and improved practice, but is hitherto little addressed. In this paper, we explore how skilled therapists experience and handle challenging or failing guidance processes with parent–infant dyads. We analyzed interviews with 13 Marte Meo therapists/supervisors using team-based reflexive thematic analysis. Four main themes were identified: promoting relational growth in a coercive context, building an alliance that feels safe for the parents, looking at positive moments in difficult lives, and handling intense feelings as a therapist. Our findings show that therapists experience specific therapeutic and ethical challenges with a vulnerable subgroup of parent–infant dyads where child protective issues arise, where caregivers’ insecurities impede the therapeutic relationship, and where caregivers have unsolved relational or mental health problems. The therapists’ role becomes pivotal and demanding with regard to the therapeutic alliance, the therapeutic interventions in the guidance process, and their own need for regulation, supervision, and structure. Identification of these vulnerable dyads early in the process could facilitate a better adaptation and practice of video guidance. Our findings suggest a need for supporting structures, clinical supervision, and training that address these challenges.publishedVersio

    «La relation de limitation et d’exception dans le français d’aujourd’hui : exceptĂ©, sauf et hormis comme pivots d’une relation algĂ©brique »

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    L’analyse des emplois prĂ©positionnels et des emplois conjonctifs d’ “exceptĂ©â€, de “sauf” et d’ “hormis” permet d’envisager les trois prĂ©positions/conjonctions comme le pivot d’un binĂŽme, comme la plaque tournante d’une structure bipolaire. PlacĂ©es au milieu du binĂŽme, ces prĂ©positions sont forcĂ©es par leur sĂ©mantisme originaire dĂ»ment mĂ©taphorisĂ© de jouer le rĂŽle de marqueurs d’inconsĂ©quence systĂ©matique entre l’élĂ©ment se trouvant Ă  leur gauche et celui qui se trouve Ă  leur droite. L’opposition qui surgit entre les deux Ă©lĂ©ments n’est donc pas une incompatibilitĂ© naturelle, intrinsĂšque, mais extrinsĂšque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme d’un rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans d’autres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portĂ©e par un « tout » Ă  un autre « tout ». De plus, l’inconsĂ©quence induite mise en place par la prĂ©position/conjonction paraĂźt, en principe, tout Ă  fait insurmontable. Dans l’assertion « les Ă©cureuils vivent partout, sauf en Australie » (que l’on peut expliciter par « Les Ă©cureuils vivent partout, sauf [qu’ils ne vivent pas] en Australie »), la prĂ©position semble en effet capable d’impliquer le prĂ©dicat principal avec signe inverti, et de bĂątir sur une telle implication une sorte de sous Ă©noncĂ© qui, Ă  la rigueur, est totalement inconsĂ©quent avec celui qui le prĂ©cĂšde (si « les Ă©cureuils ne vivent pas en Australie », le fait qu’ils « vivent partout » est faux). NĂ©anmoins, l’analyse montre qu’alors que certaines de ces oppositions peuvent enfin ĂȘtre dĂ©passĂ©es, d’autres ne le peuvent pas. C’est, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de rĂ©soudre le conflit dans les termes d’une somme algĂ©brique entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus de diffĂ©rent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant dĂ©sĂ©quilibrĂ©es, le rĂ©sultat est toujours autre que zĂ©ro. La relation exceptive, au contraire, qui n’implique pas le rapport « tout » - « partie », n’est pas capable de rĂ©soudre le conflit entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus du mĂȘme poids informatif et en mĂȘme temps de signe contraire : les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant symĂ©triques et Ă©gales, le rĂ©sultat sera toujours Ă©quivalent Ă  zĂ©ro

    Manifestation de la latence en ancien français aux XÚme et XIÚme siÚcles: liaison et redoublement syntaxique

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    Le redoublement syntaxique (RS), principalement Ă©tudiĂ© en italien moderne, se produit entre deux mots et se manifeste par une gĂ©mination de la consonne initiale de Mot2, lorsque Mot1 et Mot2 forment un mĂȘme constituant syntaxique. Ayant relevĂ© un certain nombre de sĂ©quences du type V#CCV dans plusieurs textes mĂ©diĂ©vaux (assos pez), ce mĂȘme phĂ©nomĂšne de renforcement consonantique semble ainsi prĂ©sent en ancien français. De plus, une autre variation Ă  la finale de Mot1 a Ă©tĂ© constatĂ©e Ă  cette mĂȘme pĂ©riode, du type [V#C] versus [VC#V] tel que a deu / ad escole, qui prĂ©sente les mĂȘmes caractĂ©ristiques que la liaison, connue en français moderne. Le RS tout comme la liaison en ancien français se manifestent lorsque Mot1 et Mot2 entretiennent des relations syntaxiques trĂšs Ă©troites, et semblent ĂȘtre dĂ©clenchĂ©s uniquement par des morphĂšmes atones, Ă  finale latine consonantique (a<ad). Au regard des mots dĂ©clencheurs et du contexte syntaxique similaires, il semble ainsi possible denvisager la prĂ©sence dun mĂȘme phĂ©nomĂšne de latence se rĂ©alisant aussi bien en contexte _#V que _#C. Plus prĂ©cisĂ©ment, lanalyse apportĂ©e Ă  ces variations consonantiques consiste Ă  poser en coda de Mot1 une consonne latente (Cl), correspondant Ă  une ancienne consonne finale latine. Une hypothĂšse est alors avancĂ©e, selon laquelle laccentuation de la syllabe contenant la Cl autorise sa rĂ©alisation. Mot1 Ă©tant atone, on prĂ©suppose quil peut contenir un accent secondaire (selon des rĂšgles accentuelles Ă©tablies) qui, dĂšs lors, lĂ©gitime la Cl qui sera rattachĂ©e, par assimilation complĂšte, Ă  lattaque du mot suivant (« a + sos» : /(a(Cl))(sɔs)/→[a#ssɔs]). Lorsque Mot1 nest pas accentuĂ©, la lĂ©gitimation de la Cl ne pourra se faire que syllabiquement. Partant du principe que la syllabation est rĂ©cursive, cest donc le segment initial de Mot2 qui autorisera ou non la rĂ©alisation de la Cl. Si ce segment est identifiĂ© comme noyau, il lĂ©gitime la Cl qui devient alors attaque de ce noyau (« a + escole » : /(a(Cl))(eskɔl)/→[a#deskɔl]), dans le cas contraire, la Cl sefface (« a + deu » : /(a(Cl))(deu)/→[a#deu]). Ceci Ă©tant, si le rĂŽle accentuel reste fondĂ© en contexte __# C, lanalyse basĂ©e sur la prĂ©sence de Cl, correspondant aux consonnes finales latines, est acceptable uniquement si lon considĂšre que les cas de RS aprĂšs la prĂ©position de (<de) et la conjonction si (<si), qui Ă©taient dĂ©jĂ  Ă  finale vocalique en latin, ont Ă©tĂ© « ajoutĂ©s » aux mots dĂ©clencheurs de RS par analogie

    Does delirium prevention reduce risk of in-patient falls among older adults? : a systematic review and trial sequential meta-analysis

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    Objectives: To determine whether delirium prevention interventions reduce the risk of falls among older hospitalised patients. Methods: A systematic search of health-care databases was undertaken. Given the frequency of small sample sized trials, a trial sequential meta-analysis was conducted to present estimate summary effects to date. A Bayesian approach was used to estimate the posterior probability of the delirium prevention interventions reducing falls risk by various clinically relevant levels. Results: Five randomised controlled trials were included in our final meta-analysis. There was a 43% reduction in the risk of falls among participants in the delirium prevention intervention arm, compared to the control; however, confidence intervals were wide (RE RR = 0.57, 95% CI 0.32; 1.00, p = 0.05). This result was found to be statistically significant, according to traditional significance levels (z > 1.96) and the more conservative trial sequential analysis monitoring boundaries. The posterior probabilities of the delirium prevention intervention reducing the risk of falls by 10%, 20% and 30% were 0.86, 0.63 and 0.29 respectively. Conclusions: The results of this systematic review and trial sequential meta-analysis suggest that delirium prevention trials may reduce the risk of in-hospital falls among older patients by 43%. However, despite significant risk reduction found upon meta-analysis, the variation among study populations and intervention components raised questions around its application in clinical practice. Further research is required to investigate what the necessary components of a multifactorial intervention are to reduce both delirium and fall incidence among older adult in-patients

    The Association of Surgical Margins and Local Recurrence in Women with Ductal Carcinoma In Situ Treated with Breast-Conserving Therapy: A Meta-Analysis

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    PURPOSE: There is no consensus on adequate negative margins in breast-conserving surgery (BCS) for ductal carcinoma in-situ (DCIS). We systematically review the evidence on margins in BCS for DCIS. METHODS: Study-level meta-analysis of local recurrence (LR), microscopic margin status and threshold distance for negative margins. LR proportion was modelled using random-effects logistic meta-regression (frequentist), and network meta-analysis (Bayesian) that allows for multiple margin distances per study, adjusting for follow-up time. RESULTS: Based on 20 studies (LR: 865 of 7,883), odds of LR were associated with margin status (logistic: odds ratio (OR) 0.53 for negative vs positive/close [P<0.001]; network: OR=0.45 for negative vs positive). In logistic meta-regression, relative to >0 or 1mm, ORs for 2mm (0.51), 3 or 5mm (0.42) and 10mm (0.60) showed comparable significant reductions in the odds of LR. In the network analysis, ORs relative to positive margins for 2mm (0.32), 3mm (0.30) and 10mm (0.32) showed similar reductions in the odds of LR that were greater than for >0 or 1mm (0.45). There was weak evidence of lower odds at 2mm compared to >0 or 1mm (Relative OR=0.72, 95% credible interval [CrI] 0.47-1.08), and no evidence of a difference between 2mm and 10mm (Relative OR=0.99, 95% CrI 0.61-1.64). Adjustment for covariates, and analyses based only on studies using whole-breast radiotherapy, did not change findings. CONCLUSION: Negative margins in BCS for DCIS reduce the odds of LR; however, minimum margins distances above 2mm are not significantly associated with further reduced odds of LR in women receiving radiation
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