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    Additifs et supplémentations en alimentation animale

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    Sciences et techniques agroalimentairesNational audienceLe chapitre consacré aux additifs et supplémentations en alimentation animale a été réécrit pour tenir compte des évolutions intervenues depuis 20 ans. En effet, l'avenir des différents types de produits utilisés en alimentation animale dépend dans une large mesure du sort qui leur est réservé par la réglementation, et différents facteurs contribuent à la façonner. En particulier, le législateur doit prendre en compte les changements de mentalité, anticiper les réactions des consommateurs et de leurs organisations qui font pression à juste titre pour que la réglementation minimise les risques liés à l'utilisation de ces produits. Sur ce plan, au cours de la période écoulée, la réglementation n'a cessé d'être de plus en plus précise, de plus en plus restrictive. Le chapitre attire également l'attention sur la nécessité que ces produits soient mis en oeuvre dans de bonnes conditions lors de la préparation des aliments composés. En particulier, une attention particulière doit être portée aux aspects technologiques : l'élaboration d'un pré-mélange et son incorporation aux aliments composés sont des opérations délicates, qu'il est hasardeux de laisser à l'initiative de personnes peu averties des problèmes posés par cette fabrication. Un autre aspect, généralement méconnu, est la perte d'activité d'un additif au cours des opérations technologiques, notamment de la mise en forme (pressage, extrusion) qui font intervenir la chaleur et les contraintes mécaniques, obligeant le formulateur à surdoser certains additifs. Enfin, l'étude de quelques-uns des facteurs qui déterminent l'efficacité technologique des liants minéraux ou organiques dans un aliment montre que ces substances ne se révèlent utiles que dans des cas bien particuliers, compte-tenu de leurs propriétés spécifiques, et ne sont pas nécessairement une panacée pour le fabricant d'aliments

    Additifs et supplémentations en alimentation animale

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    Sciences et techniques agroalimentairesNational audienceLe chapitre consacré aux additifs et supplémentations en alimentation animale a été réécrit pour tenir compte des évolutions intervenues depuis 20 ans. En effet, l'avenir des différents types de produits utilisés en alimentation animale dépend dans une large mesure du sort qui leur est réservé par la réglementation, et différents facteurs contribuent à la façonner. En particulier, le législateur doit prendre en compte les changements de mentalité, anticiper les réactions des consommateurs et de leurs organisations qui font pression à juste titre pour que la réglementation minimise les risques liés à l'utilisation de ces produits. Sur ce plan, au cours de la période écoulée, la réglementation n'a cessé d'être de plus en plus précise, de plus en plus restrictive. Le chapitre attire également l'attention sur la nécessité que ces produits soient mis en oeuvre dans de bonnes conditions lors de la préparation des aliments composés. En particulier, une attention particulière doit être portée aux aspects technologiques : l'élaboration d'un pré-mélange et son incorporation aux aliments composés sont des opérations délicates, qu'il est hasardeux de laisser à l'initiative de personnes peu averties des problèmes posés par cette fabrication. Un autre aspect, généralement méconnu, est la perte d'activité d'un additif au cours des opérations technologiques, notamment de la mise en forme (pressage, extrusion) qui font intervenir la chaleur et les contraintes mécaniques, obligeant le formulateur à surdoser certains additifs. Enfin, l'étude de quelques-uns des facteurs qui déterminent l'efficacité technologique des liants minéraux ou organiques dans un aliment montre que ces substances ne se révèlent utiles que dans des cas bien particuliers, compte-tenu de leurs propriétés spécifiques, et ne sont pas nécessairement une panacée pour le fabricant d'aliments

    Additifs et supplementations en alimentation animale

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    2. ed. 32 ref. chap. 34 Mention d'Ă©dition : 2. ed.National audienc

    Caractéristiques granulométriques de l’aliment : le “point de vue” (et de toucher) des volailles

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    National audienceDay-old chicks lean to associate nutritional effects with the sensorial characteristics of feed particles, thanks to a precise visual observation of details and specific tactile capabilities of their beak. Selection of feed particles is fast and accurate. However this selection may vary according to the sensorial experience of the animal concerning the feed. Eating rate depends on the size and hardness of the pecked particles. The consequences on production are dependent on environmental conditions. Under fluctuating environmental conditions, chickens adapt faster to a dietary change than when they are kept under a homogenous and constant environment in the shed. The production system may therefore change the perception of the structure of feed particles by chickens and its consequences on productivity. Optimal characteristics are difficult to standardise. New methods result from the collaboration between nutritionists and feed technologists. They evaluate how the bird actually perceives the shape and texture of the feed particles. Studies of food intake behaviour of chickens are useful, at both the farm and laboratory levels, to measure the consequences of feed technology and adapt new modes of feed distribution. Nutrition and sensorial detection interact at the three critical phases of food intake behaviour : identification, prehension and intake of the feed. Modern feed technology that is integrated into the production system should take these three phases into account.Grâce à une vision précise des détails et une perception tactile spécifique du bec, une volaille apprend, dès ses premières heures de vie, à associer les caractéristiques sensorielles des particules alimentaires à leurs effets nutritionnels. Le choix particulaire est très rapide et précis, mais il peut également changer avec l’expérience sensorielle que l’animal a de l’aliment. La taille et la dureté des particules déterminent une vitesse d’ingestion dont les conséquences zootechniques réelles dépendent de l’environnement. Exposées à des conditions d’élevage variées ou constantes, les volailles s’adaptent plus ou moins vite à un changement d’aliment. Le type d’élevage peut donc modifier sensiblement la perception et les conséquences de la granulométrie du régime. Cela rend difficile l’établissement de normes de besoin des animaux. La collaboration entre technologues et nutritionnistes permet la mise au point de nouvelles méthodes évaluant ce que les volailles perçoivent réellement de la texture et de la forme des particules. L’étude du comportement alimentaire est utile pour suivre, au laboratoire et directement en élevage, l’incidence d’ajustements technologiques, et pour développer de nouveaux modes de distribution des aliments. Nutrition et détection sensorielle interagissent sur les trois phases du comportement alimentaire : identification, préhension et ingestion de l’aliment. Une conception efficace de la technologie alimentaire intégrée à l’élevage devrait distinguer chacune de ces trois étapes
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