34 research outputs found

    Chétotaxies comparées de

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    Nous comparons la chétotaxie de deux cercaires d’Acanthostominae. Les adultes correspondants diffèrent par le nombre des épines circumorales, et la morphologie du tractus digestif ; ils ont été assignés tantôt à deux genres différents tantôt à deux espèces du même genre. La chétotaxie cercarienne indique qu’il s’agit d’espèces proches

    Chétotaxie de quatre cercaires d’

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    Des ressemblances chétotaxiques rapprochent Deropristis sp. (Acanthocolpidae) Lepocreadium album (Lepocreadiidae) Cainocreadium labracis (Opecoelidae) et Diphterostomum brusinae (Zoogonidae) que nous décrivons. Les mêmes traits se retrouvent chez onze autres cercaires précédemment décrites, c’est-à-dire chez Allocreadium ictaluri décrite par Seitner en 1951, chez huit cercaires d’Allocreadiidae, Opecoelidae et Zoogonidae décrites par J. Richard en 1971, chez Cercaria micrura décrite par M. Lambert en 1972 et chez Cercaria doricha pigmentata (cercaire rhodométope) décrite par Ch. Bayssade-Dufour en 1973. La comparaison de ces quinze cercaires permet donc de les attribuer à une même superfamille : les Allocreadioidea et de définir les caractères chétotaxiques de cette superfamille ; ce sont CID = une papille ; AID médiodorsal = 0 ou 1 papille ; S = 3 ou 4 cycles ; CIIO présent ; et chez les cercaires modèles, U = 6 ou plus de 6 papilles, réparties selon 4 axes chez les Allocreadiidae, Acanthocolpidae et les cercaires rhodométopes, selon 2 axes chez les Lepocreadiidae et en cercle sur le moignon caudal chez les Opecoelidae. A ces traits communs se superposent des traits différentiels ; quelques familles ont une chétotaxie de type primitif à symétrie dorso-ventrale très nette, d’autres ont une chétotaxie de type évolué sans symétrie dorso-ventrale. La corrélation qui existe entre le type de chétotaxie (primitif ou évolué), le mode de formation des cercaires (dans des sporocystes ou dans des rédies) et l’existence ou l’absence, parmi les caractères allocreadioides, d’un petit reliquat de caractères chétotaxiques plagiorchioides, permet de formuler une hypothèse sur l’origine et l’évolution des Allocreadioidea. Ceux dont la chétotaxie est de type primitif présentent un reliquat de caractères plagiorchioides (S = 2 cycles par exemple) et naissent dans des sporocystes ; ils seraient peu éloignés du branchement plagiorchioide-allocreadioide : ce sont les Zoogonidae et les cercaires rhodométopes. Des familles à symétrie chétotaxique dorso-ventrale moins accusée, naissent soit dans des sporocystes, soit dans des rédies et ont une chétotaxie strictement allocreadioide. Elles sont plus éloignées du branchement plagiorchioide-allocreadioide. Ce sont les Opecoelidae et les Allocreadiidae. Des familles sans symétrie chétotaxique dorso-ventrale, possédant une chétotaxie strictement allocreadioide (S = 3 ou 4 cycles) et naissant dans des rédies, n’ont plus aucun point commun avec les Plagiorchioidea. Ce sont les Allocreadioidea les plus évolués. Ils sont représentés ici par les Acanthocolpidae et les Lepocreadiidae

    Discussion sur la position taxonomique d’

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    Aphalloides coelomicola a été attribué tantôt aux Cryptogonimidae, tantôt aux Heterophyidae, tantôt aux Opisthorchiidae. Sa chétotaxie cercarienne est nettement différente de celle des Heterophyidae et de celle des Opisthorchiidae ; elle est si proche de celle des Acanthostomidae que nous concluons à l’appartenance d’Aphalloides à cette famille, bien que nous ne connaissions pas encore la chétotaxie des Cryptogonimidae

    Seasonal morphological variations in bird schistosomes

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    The present work is a contribution to the systematics of Bilharziella and Dendritobilharzia. Wildfowl was killed in hunting seasons or found dead in Champagne-Ardenne region, France, and autopsied with focus on schistosomes. Seven Anas platyrhynchos (mallards), one Ardea cinerea (grey heron) and two Cygnus olor (mute swans) were parasitized by Bilharziella. One C. olor was parasitized by Dendritobilharzia Depending on season and hosts, various morphological forms of Bilharziella suggesting several species were observed. The differences in male and female worms concerned the morphology of genital apparatus, the spination on suckers, the body size and proportions. However, the comparison of DNA sequences led to a conclusion that these forms belonged to one species, Bilharziella polonica (Kowalewski, 1895). The morphological features and the body sizes of our samples of Dendritobilharzia seemed to differ from the type species of D. pulverulenta (Braun, 1901). Nevertheless, molecular analysis confirmed identity. We hypothesize that the differences in Bilharziella and Dendritobilharzia might be linked to internal host factors (e.g. hormonal levels), and influenced by season, host, and worm age. The definition of the genera Bilharziella and Dendritobilharzia was amended

    Sensilles et protonéphridies des cercaires de

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    Une description est donnée de la chétotaxie de deux cercaires de Centrocestinae (Heterophyidae, Opisthorchioidea) de Malaisie : Centrocestus formosanus et Centrocestus sp. — La comparaison avec la chétotaxie de cercaires systématiquement apparentées semble indiquer que1
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