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    Les politiques publiques de logement face Ă  la catastrophe du 11 mars

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    L’aprĂšs dĂ©sastre du 11 mars 2011 remet sur le devant de la scĂšne la question du relogement d’urgence de la population et par consĂ©quent le rĂŽle des pouvoirs publics dans ce processus. Ces derniers reprendront-ils en main un systĂšme qu’ils jugeaient obsolĂšte ou laisseront-ils Ă  la population le soin d’assurer elle-mĂȘme sa propre protection sociale en terme de relogement ?The earthquake disaster of March 11, 2011, brought once again to the forefront the issue of how victims were to find emergency housing and the role of government in that process. The dilemma facing the latter is whether it will revive a system it has already considered obsolete or leave it up to the victims themselves to secure their own safety net with respect to rehousing.2011ćčŽ3月11æ—„ăźć€§éœ‡çœă«ă‚ˆă‚Šă€èą«çœă—ăŸäșșă€…ăźéżé›Łäœćź…ć•éĄŒăšăăźéŽçš‹ă«ăŠă‘ă‚‹ć…Źæš©ćŠ›ăźćœčć‰Čぼ敏題がæ”čă‚ăŠæ”źÂ­ćœ«ă‚ŠăšăȘăŁăŸă€‚ć…Źæš©ćŠ›ăŻäœżă„ć€ă—ăźç€ŸäŒšçŠç„‰ćˆ¶ćșŠă‚’ăŸă äœżă„ç¶šă‘ă‚‹ă€ă‚‚ă‚ŠăȘăźă ă‚ă†ă‹ă€ăă‚Œăšă‚‚èą«çœè€…ăžăźäœćź…æäŸ›ć•éĄŒă«ă€ă„ăŠăŻè‡Șă‚‰ăźæ‰‹ă§ç€ŸäŒšäżéšœă‚’çąșäżă™ă‚‹ă‚ˆă†äœæ°‘ă«ć§”ă­ăŠă„ăăźă ă‚ă†ă‹

    Shataku : le logement ouvrier au Japon

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    "Fukushima, Une politique de rĂ©silience peut-elle ĂȘtre risquĂ©e ?"

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    « Fukushima Nuclear Post-accident management, 10 years of Research »,

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    Fukushima, un retour sous haute surveillance

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    International audienceINTERNATIONAL Quelque 160 000 personnes ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©es suite Ă  l'accident de la centrale de Fukushima Daiichi, aprĂšs le tremblement de terre et le tsunami qui frappĂšrent le Japon le 11 mars 2011, il y a neuf ans. Mitate Lab., un programme de recherche international de 5 ans accueilli par l'universitĂ© Nihon de Tokyo et auquel participent le CNRS et le CEA, vient d'ĂȘtre mis en place pour Ă©tudier la rĂ©ouverture de la zone d'Ă©vacuation. Le 26 mars, la flamme olympique aurait dĂ» passer par la zone Ă©vacuĂ©e autour de Fukushima suite aux tremblement de terre et tsunami du 11 mars 2011 et Ă  l'accident de la centrale nuclĂ©aire qui en a dĂ©coulĂ©. Ce n'est que partie remise, les Jeux ayant Ă©tĂ© reportĂ©s au plus tard Ă  l'Ă©tĂ© 2021. Un symbole fort pour les premiers Jeux olympiques organisĂ©s au Japon depuis cette catastrophe. « Cette initiative illustre parfaitement notre projet, assure CĂ©cile Asanuma-Brice, chercheuse en sociologie urbaine au CNRS et co-responsable du projet Mitate Lab.. Car la question sous-jacente Ă  notre travail est : comment administre-ton un dĂ©sastre dans la sociĂ©tĂ© industrielle actuelle qui rentabilise jusqu'au risque lui-mĂȘme ? » Le projet Mitate Lab. a Ă©tĂ© crĂ©Ă© au premier janvier 2020, afin d'Ă©tudier la rĂ©ouverture de la zone d'Ă©vacuation qui entoure la centrale accidentĂ©e. Le gouvernement japonais a en effet levĂ© dĂšs 2017 l'ordre d'Ă©vacuation dans la plupart des 12 communes de la zone, appelant la population Ă  revenir. Une vingtaine de scientifiques, principalement français et japonais, mais aussi amĂ©ricains, de divers domaines rassemblent donc « toute une sĂ©rie de compĂ©tences complĂ©mentaires pour comprendre ce qui se passe dans cette situation unique », explique Olivier Evrard, l'autre co-responsable du programme, gĂ©ochimiste au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement

    Fukushima, l'impossible retour dans les villages de l'ancienne zone d'Ă©vacuation : l'exemple d'Iitate

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    Nagaya - Shataku

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    Japon : « La centrale nucléaire de Sendai réveille le traumatisme de mars 2011 »

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    Le gouvernement nippon n’a pas dĂ©cidĂ© d’arrĂȘter le fonctionnement de la centrale nuclĂ©aire de Sendai, pourtant situĂ©e Ă  proximitĂ© des zones de failles sismiques. Ça n’est pas tant la nĂ©cessitĂ© Ă©nergĂ©tique que des motivations militaires qui expliquent une telle dĂ©cision, selon la chercheuse en sociologie urbaine CĂ©cile Asanuma-Brice

    LOGEMENT SOCIAL NIPPON : UN BILAN APRÈS LA CATASTROPHE DU 11 MARS 2011

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