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    Comprehensive evaluation of methods to assess overall and cell-specific immune infiltrates in breast cancer

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    Background: Breast cancer (BC) immune infiltrates play a critical role in tumor progression and response to treatment. Besides stromal tumor infiltrating lymphocytes (sTILs) which have recently reached level 1B evidence as a prognostic marker in triple negative BC, a plethora of methods to assess immune infiltration exists, and it is unclear how these compare to each other and if they can be used interchangeably. Methods: Two experienced pathologists scored sTIL, intra-tumoral TIL (itTIL), and 6 immune cell types (CD3+, CD4+, CD8+, CD20+, CD68+, FOXP3+) in the International Cancer Genomics Consortium breast cancer cohort using hematoxylin and eosin-stained (n = 243) and immunohistochemistry-stained tissue microarrays (n = 254) and whole slides (n = 82). The same traits were evaluated using transcriptomic- and methylomic-based deconvolution methods or signatures. Results: The concordance correlation coefficient (CCC) between pathologists for sTIL was very good (0.84) and for cell-specific immune infiltrates slightly lower (0.63-0.66). Comparison between tissue microarray and whole slide pathology scores revealed systematically higher values in whole slides (ratio 2.60-5.98). The Spearman correlations between microscopic sTIL and transcriptomic- or methylomic-based assessment of immune infilt

    Clinical significance of CD73 in triple-negative breast cancer: multiplex analysis of a phase III clinical trial.

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    CD73 is an ecto-enzyme that promotes tumor immune escape through the production of immunosuppressive extracellular adenosine in the tumor microenvironment. Several CD73 inhibitors and adenosine receptor antagonists are being evaluated in phase I clinical trials.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Invariants et variabilités dans les sciences cognitives

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    « Comme toutes les sciences, les sciences cognitives sont confrontées à la variabilité des phénomènes qu'elles étudient, et cherchent à dégager de cette variabilité un ensemble de régularités, d'invariants, sur lesquels ancrer les connaissances. Cette quête d'invariance implique des choix quant aux formes de variabilité à prendre en considération. Certaines, jugées pertinentes pour l'objet d'étude, sont utilisées ou manipulées pour en extraire des invariants, tandis que d'autres, jugées sans importance, sont négligées ou neutralisées. Concernant ces choix, les opinions et les pratiques sont changeantes selon les époques, l'état d'avancement des disciplines ou les courants théoriques au sein d'une même discipline. Des formes de variabilité ignorées à une époque peuvent devenir intéressantes un peu plus tard. Il semble précisément que nous soyons à une époque où le regard porté sur la variabilité évolue, notamment dans les sciences cognitives. La recherche d'universaux a souvent conduit à centrer l'analyse sur les tendances moyennes et à attribuer la variabilité observée autour de ces tendances aux erreurs de mesure ou à des bruits parasites sans grande importance. Or, dans beaucoup de disciplines concernées par la cognition, le rôle reconnu à la variabilité dans les mécanismes adaptatifs et, plus particulièrement, dans les processus d'auto-organisation, conduit à reconsidérer son statut. Cette évolution des idées suscite un regain d'intérêt pour l'étude des différentes formes de variabilité - intra-individuelle, interindividuelle, intergroupes, inter-langues, interculturelles, etc. - et conduit souvent à questionner, repenser, les invariants dans le domaine de la cognition. La recherche de nouvelles formes d'articulation entre les variabilités et les invariants apparaît donc comme un des thèmes émergents autour desquels peuvent se nouer - entre les sciences cognitives - des échanges fructueux aux plans épistémologique, théorique et méthodologique.
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