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    Prevalence of trachoma in the Kayes region of Mali eight years after stopping mass drug administration

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    <div><p>Background</p><p>In 2009, three years after stopping mass treatment with azithromycin, a trachoma impact survey in four health districts in the Kayes region of Mali found a prevalence of trachomatous inflammation—follicular (TF) among children aged 1 to 9 years of >5% and a trachomatous trichiasis (TT) prevalence within the general population (≥1-year-old) of <1%. As a result, the government’s national trachoma program expanded trichiasis surgery and related activities required to achieve trachoma elimination.</p><p>Methodology/Principal findings</p><p>In 2015, to assess progress towards elimination, a follow-up impact survey was conducted in the Kayes, Kéniéba, Nioro and Yélimané health districts. The survey used district level two-stage cluster random sampling methodology with 20 clusters of 30 households in each evaluation unit. Subjects were eligible for examination if they were ≥1 year. TF and TT cases were identified and confirmed by experienced ophthalmologists. In total 14,159 people were enumerated and 11,620 (82%) were examined. TF prevalence (95% confidence interval (CI)) was 0.5% (0.3–1%) in Kayes, 0.8% (0.4–1.7%) in Kéniéba, 0.2% (0–0.9%) in Nioro and 0.3% (0.1–1%) in Yélimané. TT prevalence (95% CI) was 0.04% (0–0.25%) in Kayes, 0.29% (0.11–0.6%) in Kéniéba, 0.04% (0–0.25%) in Nioro and 0.07% (0–0.27%) in Yélimané.</p><p>Conclusions/Significance</p><p>Eight years after stopping MDA and intensifying trichiasis surgery outreach campaigns, all four districts reached the TF elimination threshold of <5% and three of four districts reached the TT elimination threshold of <0.1%.</p></div

    Gestion intégrée des ressources naturelles en zones inondables tropicales

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    De par leur richesse en ressources naturelles renouvelables, les zones inondables tropicales revêtent un intérêt social et économique majeur pour les pays en développement. Cependant, les fleuves tropicaux sont aujourd'hui de plus en plus aménagés pour satisfaire les besoins liés à de nouvelles activités. Les zones jusque-là régulièrement inondées par la crue annuelle se réduisent ou alors les rythmes de leur inondation sont profondément modifiés. Les impacts de tels changements sont nombreux et portent atteinte à la biodiversité et à la durabilité des systèmes d'exploitation. Il s'avère alors nécessaire de définir de nouvelles approches de la gestion de l'eau, des espaces et des ressources vivantes, qui tout à la fois préservent les écosystèmes et prennent en considération les besoins des différents usagers. Tel est l'objectif de cet ouvrage qui pose, dans un premier temps, la problématique sociétale autour de laquelle cette gestion doit être repensée, en faisant apparaître la diversité d'acteurs et d'institutions concernés. Il présente ensuite les acquis les plus récents de la recherche sur le fonctionnement de ces écosystèmes ainsi que sur les pratiques et stratégies déployées par les populations qui les exploitent. Enfin est abordée la question des instruments à mettre en place pour assurer l'effectivité d'une gestion durable des zones inondables tropicales : après avoir fait le point sur les apports de la recherche concernant les outils de traitement et de partage de l'information environnementale, l'ouvrage se termine par un débat sur les conditions de création et de fonctionnement des institutions de suivi, de concertation et de décision
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