48 research outputs found

    Problemes liés à l'accroissement de la productivite chez la lapine reproductrice

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    Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquencesNational audienc

    Les objectifs et les critères de sélection. Sélection de la fécondité dans les espèces domestiques

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    National audiencePour toutes les espèces et pratiquement quel que soit leur type de production, l’amélioration de la reproduction fait partie des objectifs de sélection. Fertilité et prolificité (composantes de la fécondité), mais aussi rythme de mise-bas et durée de carrière sont les principaux caractères qui se combinent, de manière spécifique à chaque espèce du fait d’interactions entre rythmes biologiques et facteurs de milieu, pour former la carrière reproductive de la femelle, évaluée par la productivité numérique. Une sélection basée sur une mesure de la taille de portée est la méthode la plus classique, dans les élevages expérimentaux ou à partir d’un programme de contrôle de performances en ferme, pour l’amélioration génétique de la fécondité. Mais la faible héritabilité de la taille de portée et la faible intensité de sélection praticable ont le plus souvent limité son efficacité, qui peut être améliorée par l’ouverture de la population fermée à une base de sélection la plus large possible, grâce au contrôle de performances en élevage, et à l’utilisation de modèles statistiques permettant de prendre en compte toute l’information disponible dans la population. Des méthodes de sélection alternatives sont en cours d’expérimentation : sélection sur un critère "global", prenant en compte à la fois la fertilité et la prolificité, sélection sur les composantes de la taille de portée, soit en combinant le taux d’ovulation et de survie embryonnaire en un index additif "optimum", soit en sélectionnant sur une des composantes de la taille de portée, sélection sur d’autres critères indirects liés plus ou moins directement à la fécondité de la femelle, recherches de gènes majeurs. En ce qui concerne les travaux expérimentaux en cours, on notera que l’utilisation du contrôle de performances en ferme pour détecter des génotypes extrêmes et constituer des noyaux de sélection est une démarche assez générale. Dans les différentes espèces considérées, à des degrés divers, des programmes de contrôle de performances, en ferme et / ou en station, permettent d’enregistrer des données de productivité numérique avec différentes applications, allant d’un simple appui technique aux éleveurs à un programme collectif d’amélioration génétique

    Les effets de la lactation sur les performances de reproduction chez la lapine

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    National audienceRabbit does could be fertilized soon after parturition and all over lactation, and be concurrently pregnant and lactating. Nevertheless, receptivity of the females varies during lactation: it is maximal after parturition (near 100 %) and minimal 3- 5 days later (40-65 %). Studies of the effects of lactation on ovulation rate and embryonic mortality lead to conflicting results. However, fertility and litter size are lower for lactating rabbits than for non lactating ones. Indeed, lactation decreases the percentage of females wich ovulates (- 26 %), gestation rate (- 33 %) and foetal viability rate (- 10 %). Moreover, lactation leads to an impaired foetal growth (- 20 %). Hyperprolactinemia and hypoprogesteronemia in concurrently pregnant and lactating rabbits and nutritional deficicency due to milk production seem to be the main factors involved in these effectsLa lapine peut être fécondée aussitôt après la mise bas ou tout au long de la lactation, et être simultanément gravide et allaitante. Néanmoins, la réceptivité des femelles est variable au cours de la lactation : elle est maximale aussitôt après la mise bas (proche de 100 %) et minimale 3-5 jours après (40-65 %). Bien que les résultats expérimentaux concernant les effets de la lactation sur le taux d’ovulation et la mortalité embryonnaire soient parfois contradictoires, la fertilité et la prolificité des lapines allaitantes sont globalement plus faibles que celles des lapines non allaitantes. En effet, la lactation a, d’une manière générale, un effet négatif sur le pourcentage de femelles ovulant (- 26 %), le taux de gestation (- 33 %), et la viabilité foetale (- 10 %). De plus, la lactation entraîne une diminution de la croissance pondérale des foetus (- 20 %). L’hyperprolactinémie et la faible progestéronémie chez les lapines simultanément gravides et allaitantes, ainsi que le déficit nutritionnel engendré par la production laitière, semblent être les principaux facteurs responsables des effets observés

    Les effets de la lactation sur les performances de reproduction chez la lapine

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    National audienceRabbit does could be fertilized soon after parturition and all over lactation, and be concurrently pregnant and lactating. Nevertheless, receptivity of the females varies during lactation: it is maximal after parturition (near 100 %) and minimal 3- 5 days later (40-65 %). Studies of the effects of lactation on ovulation rate and embryonic mortality lead to conflicting results. However, fertility and litter size are lower for lactating rabbits than for non lactating ones. Indeed, lactation decreases the percentage of females wich ovulates (- 26 %), gestation rate (- 33 %) and foetal viability rate (- 10 %). Moreover, lactation leads to an impaired foetal growth (- 20 %). Hyperprolactinemia and hypoprogesteronemia in concurrently pregnant and lactating rabbits and nutritional deficicency due to milk production seem to be the main factors involved in these effectsLa lapine peut être fécondée aussitôt après la mise bas ou tout au long de la lactation, et être simultanément gravide et allaitante. Néanmoins, la réceptivité des femelles est variable au cours de la lactation : elle est maximale aussitôt après la mise bas (proche de 100 %) et minimale 3-5 jours après (40-65 %). Bien que les résultats expérimentaux concernant les effets de la lactation sur le taux d’ovulation et la mortalité embryonnaire soient parfois contradictoires, la fertilité et la prolificité des lapines allaitantes sont globalement plus faibles que celles des lapines non allaitantes. En effet, la lactation a, d’une manière générale, un effet négatif sur le pourcentage de femelles ovulant (- 26 %), le taux de gestation (- 33 %), et la viabilité foetale (- 10 %). De plus, la lactation entraîne une diminution de la croissance pondérale des foetus (- 20 %). L’hyperprolactinémie et la faible progestéronémie chez les lapines simultanément gravides et allaitantes, ainsi que le déficit nutritionnel engendré par la production laitière, semblent être les principaux facteurs responsables des effets observés
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