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    Revenus d'activité et désunion en Europe

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    AprÚs avoir rappelé à grands traits les hypothÚses théoriques quant au rÎle que joueraient les revenus dans les choix de nuptialité, ainsi que quelques résultats empiriques portant sur le lien entre revenus d'activité et probabilité de divorcer, nous proposons une analyse empirique menée à partir des données de l'European Community Household Panel. Dans un premier temps, nous étudions essentiellement l'effet des revenus d'activité des femmes sur la probabilité de désunion au niveau européen (onze pays), puis, dans un second temps nous tentons d'identifier des spécificités nationales

    Revenus d'activité et désunion en Europe

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    AprÚs avoir rappelé à grands traits les hypothÚses théoriques quant au rÎle que joueraient les revenus dans les choix de nuptialité, ainsi que quelques résultats empiriques portant sur le lien entre revenus d'activité et probabilité de divorcer, nous proposons une analyse empirique menée à partir des données de l'European Community Household Panel. Dans un premier temps, nous étudions essentiellement l'effet des revenus d'activité des femmes sur la probabilité de désunion au niveau européen (onze pays), puis, dans un second temps nous tentons d'identifier des spécificités nationales.Divorce, séparation, revenu, genre, Europe, ECHP, couple, spécialisation, indépendance

    Regards sur la protection des logements privés et la vidéo-surveillance publique

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    70% des rĂ©sidents pensent que la vidĂ©o-surveillance des lieux publics au Luxembourg augmente leur sĂ©curitĂ© personnelle, 23% pensent qu’elle n’a pas d’impact et 3% sont mĂȘme d’avis que la vidĂ©osurveillance diminue leur propre sĂ©curitĂ©. Les personnes qui craignent d’ĂȘtre agressĂ©es physiquement ou qui sont inquiĂštes d‘ĂȘtre victimes d'une attaque terroriste, celles qui trouvent probable d’ĂȘtre victime d’un cambriolage ou d’un vol avec violence, celles qui ne se sentent pas en sĂ©curitĂ© dans leur quartier de rĂ©sidence et celles qui sont d’avis que la criminalitĂ© au Luxembourg a progressĂ© au cours des derniĂšres annĂ©es, s’attendent plutĂŽt Ă  une augmentation de leur sĂ©curitĂ© par les systĂšmes de surveillance sur certains lieux publics. Par contre les rĂ©sidents qui effectivement ont Ă©tĂ© victimes d’un dĂ©lit ou ceux qui sont confrontĂ©s Ă  des problĂšmes de drogues dans leur quartier rĂ©sidentiel, ont des doutes quant Ă  l’efficacitĂ© de la vidĂ©o-surveillance. Les jeunes sont les plus sceptiques. Par ailleurs, 27% des logements sont Ă©quipĂ©s d’un systĂšme d'alarme et 57% ont des portes de sĂ©curitĂ©. On retrouve plus souvent ces deux mesures de sĂ©curitĂ© dans les maisons unifamiliales que dans les maisons en rangĂ©e ou dans les appartements. En outre, la prĂ©sence de systĂšmes d'alarme et de portes de sĂ©curitĂ© est fortement liĂ©e au revenu du mĂ©nage. Quant Ă  la possession d'armes Ă  feu en tant que mesure de sĂ©curitĂ© elle joue un rĂŽle mineur : seulement 6% des rĂ©pondants ont dĂ©clarĂ© possĂ©der des armes Ă  feu et parmi eux un-tiers Ă©voquent la prĂ©vention et la protection contre les crimes pour justifier la prĂ©sence d’armes Ă  feu chez eux.Laut der EnquĂȘte sur la sĂ©curitĂ© nehmen 69,5% der Befragten an, dass die VideoĂŒberwachung öffentlicher PlĂ€tze die eigene Sicherheit erhöht. 22,9% gehen davon aus, dass die VideoĂŒberwachung keine Auswirkungen hat und 2,9% nehmen eine Verringerung ihrer Sicherheit an. Weitere 4,5% gaben „weiß nicht“ an. Befragte, die tĂ€tliche Angriffe und Terrorattacken fĂŒrchten, einen Einbruch oder Raub fĂŒr wahrscheinlich halten, sich in ihrer Wohngegend nicht sicher fĂŒhlen oder von einem allgemeinen Anstieg der KriminalitĂ€t ausgehen, versprechen sich eher eine Verbesserung ihrer Sicherheit durch öffentliche VideoĂŒberwachung. Personen hingegen, die tatsĂ€chlich mit KriminalitĂ€t konfrontiert waren oder sind (als Opfer oder durch Drogenprobleme in der Wohngegend), beurteilen die Möglichkeiten der VideoĂŒberwachung skeptischer. Ebenso sind JĂŒngere eher skeptisch, ob sich ihre Sicherheit durch VideoĂŒberwachung verbessert. 26,5% der Wohnungen sind mit Alarmanlagen ausgestattet und 57,0% haben SicherheitstĂŒren. Diese beiden privaten Sicherheitsvorkehrungen sind hĂ€ufiger in EinfamilienhĂ€usern verbreitet als in ReihenhĂ€usern oder Apartments. Zudem sind Alarmanlagen und SicherheitstĂŒren umso hĂ€ufiger installiert, je höher das Familieneinkommen ist. Der Besitz von Schusswaffen als Sicherheitsvorkehrung spielt quantitativ dagegen eine untergeordnete Rolle: Nur 5,6% der Befragten gaben an, Schusswaffen zu besitzen. Von dieser Gruppe gaben 27,6% „Schutz vor KriminalitĂ€t“ als Grund fĂŒr den Besitz a

    Revenus féminins et séparation en Europe

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    Regards sur les répercussions émotionnelles ressenties par les victimes de délits

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    Dans le cadre de l’enquĂȘte sur la sĂ©curitĂ©, les personnes interrogĂ©es devaient indiquer si elles ont Ă©tĂ© victimes de dĂ©lits (14 types de dĂ©lits) lors des cinq derniĂšres annĂ©es et le cas Ă©chĂ©ant, signaler si le dĂ©lit en question a eu sur eux des « rĂ©percussions Ă©motionnelles plutĂŽt fortes », des « rĂ©percussions Ă©motionnelles plutĂŽt lĂ©gĂšres » ou « aucune rĂ©percussion ». Les rĂ©percussions Ă©motionnelles plutĂŽt fortes ont le plus souvent Ă©tĂ© constatĂ©es chez les victimes d’actes de violence, et le moins souvent chez les victimes de demandes de pots-de-vin. Certes moins touchĂ©es par des dĂ©lits que les plus jeunes, les personnes ĂągĂ©es affirment nĂ©anmoins plus souvent subir des rĂ©percussions Ă©motionnelles plutĂŽt fortes suite Ă  ces dĂ©lits. De mĂȘme, les femmes sont un peu moins frĂ©quemment victimes de dĂ©lits mais, le cas Ă©chĂ©ant, font plus souvent Ă©tat de rĂ©percussions Ă©motionnelles plutĂŽt fortes. Par ailleurs, les victimes d’actes criminels ayant abouti Ă  des rĂ©percussions Ă©motionnelles plutĂŽt fortes se distinguent des non-victimes ainsi que des victimes qui n’ont mentionnĂ© aucune ou peu de rĂ©percussions Ă©motionnelles, sous les aspects suivants : par rapport aux autres groupes susmentionnĂ©s, une attaque Ă  main armĂ©e est pour eux plus probable, ils craignent davantage une agression et se sentent moins en sĂ©curitĂ© dans leur quartier. En outre, ils apprĂ©cient moins le travail de la police et des tribunaux et se prononcent plutĂŽt en faveur de peines de prison sans sursis

    Regards sur la présence de drogue

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    Au cours des 12 derniers mois, 35% des rĂ©sidents ĂągĂ©s de 16 ans et plus ont vu dans leur quartier des consommateurs de drogue, des dealers et/ou ils ont vu trainer des objets en lien avec la consommation de drogue. Ce sont surtout des jeunes qui ont fait ce genre de constat. La prĂ©sence de drogue est plus importante dans les pĂŽles urbains que dans les communes rurales. Les consommateurs de drogue et les dealers, lorsqu’ils sont « souvent » prĂ©sents dans le quartier, ont un effet anxiogĂšne sur la population : certaines personnes sortent moins souvent la nuit et Ă©vitent de passer Ă  des endroits ou d’emprunter des rues. Certaines personnes se sentent Ă©galement plus exposĂ©es au risque de vol Ă  la tire, de vol avec violence et de cambriolage. Par contre, lorsque ces rencontres avec des consommateurs ou des revendeurs de drogue sont plus exceptionnelles, celles-ci ne semblent pas jouer, ou trĂšs peu, sur le sentiment d’insĂ©curitĂ© de la population. Les rĂ©sultats prĂ©sentĂ©s dans ce document sont tirĂ©s de l’enquĂȘte sur la sĂ©curitĂ© de 2013
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