63 research outputs found
An empirical taxonomy of early growth trajectories
While it is now widely accepted that new firms growth is essential for the foundation of economic dynamism, knowledge about this early growth is still scattered. Indeed, very little is known about how new firms grow and develop over time. What types of distinct growth patterns do those firms exhibit? How do these growth patterns and corresponding firms differ from each others in terms of development and strategic choices? To better understand the process of new firm growth, recent entrepreneurship research stresses that there is a strong need for a new conceptual scheme and new longitudinal research methods. This is actually one of the main entrepreneurship research challenges. In this context, our aim is to provide new insights regarding the process of new firm growth. In this research, we develop and test an original methodology allowing the empirical taxonomy of early growth trajectories across multiple sectors, integrating both the multidimensional and dynamic aspects of growth. Our approach applies principal component and cluster analysis to a large sample of firms, using financial and demographic data collected over time to identify in a systematic way distinct growth stages. We use then sequence analysis and a Markov chain approach to extract and compare the trajectories of individual firms over time. This allows the identification of a limited number of typical growth trajectories, which are adopted by the majority of firms in our sample. Finally, internal replication is performed to validate the growth trajectories identified and bivariate analysis is used to examine the link between the identified growth trajectories and the demographic characteristics of the corresponding firms. We have applied our methodology to a sample of 741 Belgian firms created between 1992 and 2002 and which have grown above micro-firm size. Our approach allowed identifying four distinct growth stages and seven typical growth trajectories, which remain valid for the six first years of the majority of the firms in our sample. This taxonomy of early growth trajectories is consistent with individual patterns already identified in the literature and appears not to be sector-dependent. The major contribution of this doctoral thesis is that, based on empirical evidence, early growth appears to be neither a continuous (or life cycle based) nor idiosyncratic (or completely random) process. It can be adequately described through a limited number of typical growth trajectories, valid across sectors. Thus, our research brings insight regarding how new firm evolve over time and therefore contributes to our understanding and appreciation of the heterogeneity of the growth trajectory phenomenon. Next, our research provides also an original methodological approach allowing the systematic analysis of growth trajectories, which deals with key limitations identified in the literature regarding the need for a multidimensional and dynamic study of growth across multiple sectors. Our findings indicate that this novel systematic approach is useful for taxonomy development and therefore contributes to reduce the gap between the complexity of new firm growth process and the standard approaches often mobilised to deal with it. Finally, while our findings provide empirical and methodological support in early development of new firms study, they also provide many implications to entrepreneurial research and practices.
Further researches are needed to improve our understanding of the dynamic growth process of new ventures. [...](IAG 3) -- UCL, 200
Networking of Entrepreneurs
International audienceno abstrac
The Process of Entrepreneurial Learning
International audienceno abstrac
Le dynamisme entrepreneurial des régions
International audienceno abstrac
Rethinking entrepreneurship policy
International audienceno abstrac
Approche configurationnelle de la croissance :Typologie vs. Taxonomie ?
L’étude de la croissance des jeunes entreprises est constamment confrontée à des problèmes d’ordre méthodologique liés au caractère multidimensionnel du phénomène, entrainant souvent à des résultats contradictoires. Dès lors, divers travaux soulignent le besoin de nouveaux développements théoriques et méthodologiques à même de mieux affronter ces difficultés. Cependant la mise en oeuvre d’un tel dispositif reste un grand défi pour les chercheurs et les propositions concrètes sont rares. Sur base d’une comparaison des résultats de deux recherches récentes mais totalement distinctes, sur la croissance des jeunes entreprises belges, cet article montre que la combinaison d’une approche typologique (fondée sur des configurations conceptuelles) et d’une approche taxonomique (fondée sur des configurations empiriques) permet de rendre plus intelligible ce phénomène organisationnel complexe qu’est la croissance. Il propose ensuite de tendre vers une démarche originale intégrative de ces deux approches pour identifier les configurations. Selon Miller (1983), les configurations organisationnelles conditionnent les stratégies de croissance. Ainsi, dans le cas des jeunes entreprises, parvenir à bien les identifier constituerait ainsi un pas déterminant vers la maitrise de leur développement. Vu sous un autre angle, la recherche s’inscrit dans la lignée de la littérature sur les limites des approches de type ‘cycle de vie’ et répond aux appels des chercheurs qui se sont intéressés aux configurations ou proposent le développement d’une théorie plus générale fondée sur le système ouvert. Globalement, elle vise à proposer une base à de futurs travaux qui ambitionnent de parvenir à une meilleure explication du pourquoi et du comment de la croissance des jeunes entreprises.info:eu-repo/semantics/publishe
Modèles et trajectoires de Croissance des jeunes entreprises : Une revue de la Littérature
International audienceLa croissance des jeunes entreprises est un phénomène complexe qui pose encore de grands défis aux chercheurs. Ceci est dû au fossé existant entre la réalité complexe du phénomène et les approches souvent mobilisées pour l’aborder. Cette recherche propose une nouvelle approche méthodologique permettant d’étudier de façon systématique les trajectoires de croissance initiale des jeunes entreprises. Exploitant une base de données sur l’évolution de toutes les entreprises belges fondées entre 1992 et 2002 et encore en vie en 2002, nous avons établi un échantillon de données longitudinales concernant 741 jeunes entreprises. Nous avons élaboré un cadre conceptuel original intégrant des mesures multivariées et une approche dynamique de la croissance organique à travers les secteurs, ainsi que l’identification de trajectoires-type, permettant d’examiner la dynamique de développement de ces jeunes entreprises. Cette approche a permis de développer une taxonomie de 7 trajectoires-type à partir de 4 stades de croissance distincts identifiés. Cette taxonomie correspond à la majorité des entreprises de l’échantillon, et n’est pas corrélée avec les caractéristiques démographiques des entreprises. L’évidence empirique montre dès lors que la dynamique de croissance initiale des jeunes entreprises est un processus complexe mais qui n’est néanmoins ni idiosyncratique ni continu. Il est cependant possible d’identifier des trajectoires-types représentatives. Ce travail contribue ainsi à combler un trou méthodologique. La taxonomie originale développée dans ce travail facilite la compréhension de la nature complexe du phénomène. Elle apporte des informations supplémentaires grâce aux indicateurs financiers utilisés. De plus, certaines trajectoires-types identifiées correspondent à des comportements étudiés dans la littérature. Enfin, ce travail soulève de nouvelles questions sur le processus de croissance initiale des jeunes entreprises dont les implications sont multiple
- …