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    Assessment of LED fluorescence microscopy for the diagnosis of Plasmodium falciparum infections in Gabon

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Rapid and accurate diagnosis of malaria is central to clinical management and the prevention of drug-overuse, which may lead to resistance development, toxicity and economic losses. So far, light microscopy (LM) of Giemsa-stained thick blood smears is the gold standard. Under optimal conditions the procedure is fast and reliable; nevertheless a gain in speed would be a great advantage. Rapid diagnosis tests are an alternative, although they cost more and give qualitative instead of quantitative results. Light-emitting diode (LED) fluorescence microscopy (ledFM 400 ×, 1000 ×) may offer a reliable and cheap alternative, which can be used at the point of care.</p> <p>Methods</p> <p>LedFM and conventional fluorescence microscopy (uvFM) were compared to LM in 210 samples from patients with history of fever in the last 24 hours admitted to the Albert Schweitzer Hospital in LambarĂ©nĂ©, Gabon.</p> <p>Results</p> <p>Sensitivities were 99.1% for ledFM and 97.0% for uvFM, specificities 90.7% for ledFM 400 × and 92.6% for ledFM 1000 × and uvFM. High agreement was found in Bland-Altman-plot and Kappa coefficient (ledFM 1000 ×: 0.914, ledFM 400 × and uvFM: 0.895). The time to diagnosis for both FM methods was shorter compared to LM (LM: 43 min, uvFM: 16 min, ledFM 1000 ×: 14 min, ledFM 400 ×: 10 min).</p> <p>Conclusion</p> <p>ledFM is a reliable, accurate, fast and inexpensive tool for daily routine malaria diagnosis and may be used as a point of care diagnostic tool.</p

    EnquĂȘte prospective auprĂšs le personnel soignant sur le fonctionnement du B14 : problĂšmes de matĂ©riel, de personnel, d’organisation et recherche de pistes d’amĂ©lioration

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    Introduction : Un bloc Ă  fort flux (B14) a ouvert ses portes en novembre 2019 avec une nouvelle organisation de matĂ©riel en flux tendu, prĂ©parĂ© pour chaque patient sous forme de « pack d’opĂ©ration prĂ©parĂ© » (POP) par une plateforme extĂ©rieure au bloc - l’arsenal - une antenne de la pharmacie. Un systĂšme novateur en France qui avait dĂ©jĂ , dans d’autres structures, montrĂ© ses vertus en qualitĂ© de soins et rentabilitĂ© (1–3). Une mutualisation du personnel et un fractionnement des tĂąches (soins, brancardage, entretien) ont aussi Ă©tĂ© mis en place simultanĂ©ment Ă  l’ouverture du B14. Les multiples intervenants et les mouvements de patients sont coordonnĂ©s par des cadres rĂ©gulateurs. MĂ©thodes : Nous avons menĂ© du 9-16 juin une Ă©tude prospective d’observation Ă  l’aide des questionnaires remplis par le personnel de salle pour Ă©valuer le dĂ©roulement de chaque intervention et pour estimer le temps perdu en lien avec des dysfonctionnements de matĂ©riel, de personnel et le retard liĂ© au patient. Nous avons observĂ© les horaires de repas des Ă©quipes de chaque salle comme objectif secondaire. RĂ©sultats et analyse : Les questionnaires ont Ă©tĂ© remplis pour 226 sur 233 interventions de la semaine. 71 interventions (31%) se sont dĂ©roulĂ©es sans dysfonctionnement. Le dysfonctionnement le plus frĂ©quent - concernant toutes les spĂ©cialitĂ©s - a Ă©tĂ© en lien avec les POP chirurgicaux, observĂ© pour 32% des interventions et un temps perdu total estimĂ© Ă  645 minutes sur la semaine. Ce temps correspond Ă  chaque fois au dĂ©lai entre l’appel et l’acheminent du matĂ©riel manquant et est indiscutablement source d’une surcharge de travail et de stress pour les infirmiĂšres de bloc (IBODE). Le matĂ©riel anesthĂ©sique a posĂ© trĂšs peu de problĂšmes, grĂące Ă  un travail d’ajustement qui avait Ă©tĂ© fait Ă  l’ouverture du bloc par du personnel dĂ©diĂ©. Cela n’a pas Ă©tait possible pour les IBODE du fait de manque d’effectif. Des problĂšmes de programmation (17 patients ; 8%), comme le changement d’ordre de patients ou un appel oubliĂ© par la rĂ©gulation (1,8%) ont Ă©tĂ© plus rares, mais ont pu avoir des impacts trĂšs importants avec > 500 minutes perdues sur la semaine. L’attente du chirurgien a occasionnĂ© presque 400 minutes de perdues. Les horaires de pause repas sont bien respectĂ©es pour les infirmiers anesthĂ©sistes (97%), et Ă  moindre mesure chez les IBODE (80%) qui n’ont pas de personnel dĂ©diĂ© pour les relayer et les mĂ©decins anesthĂ©sistes (50%), qui peuvent difficilement quitter l’enceinte du bloc pendant certaines chirurgies dĂ©licates. Conclusion : L’ouverture du B14 ne s’est pas faite sans difficultĂ©s. Celles-ci sont toujours visibles aprĂšs 7 mois de fonctionnement lors de notre semaine d’étude en juin 2020. La premiĂšre piste d’amĂ©lioration est un travail sur les POP et le matĂ©riel chirurgical qui demande un effort coordonnĂ© de la programmation, pharmacie, des chirurgiens et des IBODE. La nouvelle gestion en fractionnant les tĂąches et les enchaĂźnements rapides demandent une grande vigilance aux cadres rĂ©gulateurs. Cette Ă©tude s’inscrit dans un contexte post-covid avec un grand manque d’effectif d’IBODE qui explique et aggrave une grande partie de dysfonctionnements observĂ©s. La chirurgie longue nĂ©cessite une amĂ©lioration dans la gestion de matĂ©riel et du relais repas pour le personnel. Les urgences peuvent ĂȘtre prises en charge, mais nĂ©cessitent un meilleur encadrement. La motivation des Ă©quipes reste cruciale pour poursuivre l’amĂ©lioration de cette organisation
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