51 research outputs found

    A randomised comparison of deferasirox versus deferoxamine for the treatment of transfusional iron overload in sickle cell disease

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    Deferasirox is a once-daily, oral iron chelator developed for treating transfusional iron overload. Preclinical studies indicated that the kidney was a potential target organ of toxicity. As patients with sickle cell disease often have abnormal baseline renal function, the primary objective of this randomised, open-label, phase II trial was to evaluate the safety and tolerability of deferasirox in comparison with deferoxamine in this population. Assessment of efficacy, as measured by change in liver iron concentration (LIC) using biosusceptometry, was a secondary objective. A total of 195 adult and paediatric patients received deferasirox (n = 132) or deferoxamine (n = 63). Adverse events most commonly associated with deferasirox were mild, including transient nausea, vomiting, diarrhoea, abdominal pain and skin rash. Abnormal laboratory studies with deferasirox were occasionally associated with mild non-progressive increases in serum creatinine and reversible elevations in liver function tests. Discontinuation rates from deferasirox (11·4%) and deferoxamine (11·1%) were similar. Over 1 year, similar dose-dependent LIC reductions were observed with deferasirox and deferoxamine. Once-daily oral deferasirox has acceptable tolerability and appears to have similar efficacy to deferoxamine in reducing iron burden in transfused patients with sickle cell disease

    Why, Who, When, and How? Rationale for Considering Allogeneic Stem Cell Transplantation in Children with Sickle Cell Disease

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    Considering the progress made in the management of sickle cell disease during the past 30 years, along with the excellent results obtained with hematopoietic stem cell transplantation (SCT), it is important to reexamine why, who, when and how to recommend allogeneic SCT in children with sickle cell disease. While sickle cell disease has a low risk of death in children and a high risk for morbidity during aging, SCT carries an early risk of death, graft-vs-host disease and infertility. Nevertheless, SCT offers at least 95% chance of cure with low risk of chronic graft-vs-host disease when a matched-sibling donor is available and the risks of infertility can be reduced by ovarian, sperm or testis cryopreservation. Thus, all available therapies such as hydroxyurea, transfusions and SCT should be presented to the parents, providers, and affected children and discussed with them from infancy. Furthermore, the use of these therapies should be adjusted to the severity of the disease and to local availabilities in order to choose the treatment offering the best benefit/risk ratio

    Detection and Management of Cerebral Vasculopathy

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    Cerebral vasculopathy in children with sickle cell anemia is responsible for strokes and silent cerebral infarcts and is the most debilitating complication providing motor sequelae and cognitive deficiency. However, the most important advance in pediatric management is the detection of children at a risk of stroke using transcranial Doppler with chronic transfusion applied in children detected at risk, which reduces the stroke risk from 11% to less than 2%. In this chapter, we will describe the place of Doppler, magnetic resonance imaging (MRI), and magnetic resonance angiography (MRA) with neck assessment and the place of different treatments, i.e., chronic transfusion, hydroxyurea, new drugs, and stem cell transplantation

    Immunité pré et post greffe chez 100 patients drépanocytaires allogreffés entre 1992 et 2012 avec un donneur génoidentique de la fratrie et suivis au centre de référence du Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil

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    La drépanocytose est responsable d une asplénie fonctionnelle exposant à un risque infectieux. L allogreffe génoidentique est le seul traitement potentiellement curateur. Le but de notre travail a été d évaluer l évolution des capacités immunitaires en post-greffe dans une population conditionnée de façon homogène. Ont été inclus dans l étude 100 patients drépanocytaires greffés entre 1992 et 2012 avec le même conditionnement (Busulfan, Cyclophosphamide, SAL) à partir d un donneur génoidentique intrafamilial (moelle n=79 ; cordon n=21). L évaluation a porté sur la fonction splénique (recherche des corps de Jolly), le dosage pondéral des immunoglobulines et les sérologies vaccinales. Les résultats ont retrouvés en pré-greffe une hyposplénie fonctionnelle, une hypo-IgM chez 20% des patients, une hyper-IgG chez 75% et hyper-IgA chez 60% d entre eux. Parmi les 100 patients, 3 sont décédés, 95 sont guéris. Un chimérisme mixte (<95%D) est observé respectivement chez 40% et 71% des greffes de moelle et de cordon. En post-greffe, la fonction splénique est améliorée avec une diminution progressive des corps de Jolly (p<0.001) ; une majorité garde une hyper-IgG avec des IgA se normalisant et une hypo-IgM dans 20%.Un déficit en CD4 persiste à 2 ans (29%). Les taux d anticorps vaccinaux à 1an sont plus bas qu en pré-greffe mais au dessus du seuil de protection (70%).La revaccination à 1 an est efficace. Nous confirmons l espoir de guérison chez 95% des enfants drépanocytaires par greffe et l amélioration de la fonction splénique. La persistance des anticorps vaccinaux à 1 an post-greffe de cordon est en faveur d une immunité résiduelle du receveur probablement lié au chimérisme mixte.PARIS6-Bibl.Pitié-Salpêtrie (751132101) / SudocSudocFranceF

    Fréquence et morbidité de l'infection à parvovirus B 19 dans une cohorte d'enfants drépanocytaires dépistés à la naissance

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    Le Parvovirus B 19 est un virus pathogène pour l'homme qui ne donne que rarement des complications, excepté chez la femme enceinte, le sujet immunodéprimé, et en cas d'hémolyse chronique comme chez le drépanocytaire. Dans la drépanocytose, il est reconnu comme responsable de crises aplasiques. Cette étude rapporte la fréquence et la morbidité de l'infection au Parvovirus B 19 chez 127 enfants drépanocytaires dépistés à la naissance, issus d'une cohorte de 350 enfants drépanocytaires suivis à Créteil. De janvier 1993 à décembre 2003, chaque enfant a été testé annuellement pour la sérologie au Parvovirus B 19 ainsi qu'en cas d'hospitalisation pour crise aplasique. Pendant cette période, 54 enfants ont été infectés par le Parvovirus B 19 avec un taux d'incidence de 8.63 pour 100 années-patients. L'âge moyen de séroconversion est de 4.9 +- 2.7 ans. Fin décembre 2003, le taux de prévalence de la séroconversion au Parvovirus B 19 était de 42.5 %. Parmi les enfants qui ont rencontré le virus pendant l'étude, nous avons constaté 30 % de séroconversions asymptomatiques et 70 % de crises aplasiques. En cas de crise aplasique, la fièvre (75.9 %), la douleur (62.1 %), et l'altération de l'état général (34.5 % sont les symptômes cliniques les plus fréquents. Les complications observées sont les crises vaso-occlusives (58.6 %), les séquestrations hépatiques (20.7 %) et spléniques (31 %) et les syndromes thoraciques aigus (20.7 %). La morbidité est élevée avec une durée moyenne d'hospitalisation de 6.9 jours et près de 90 % de transfusion sanguine. Cette étude, la première européenne, vient compléter les quelques autres études épidémiologiques récentes sur le sujet en étayant la thèse de l'importance de la morbidité du Parvovirus B 19 chez l'enfant drépanocytaire. La recherche d'une vaccination efficace contre ce virus ne peut être qu'encouragée.PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Ostéonécrose et drépanocytose, impact de différentes thérapeutiques (chirurgie, programme transfusionnel, greffe de moelle)

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    La drépanocytose est la plus fréquente des hémoglobinopathies au monde. Elle est responsable de complications multi-viscérales parfois sévères. L ostéonécrose est une atteinte fréquente et engageant le pronostic fonctionnel des patients atteints. Nous avons étudié 45 patients ayant une ostéonécrose au sein d une cohorte pédiatrique de 571 patients drépanocytaires. Il s agit d une étude rétrospective dont l objectif est d étudier l évolution de ces ostéonécroses de hanches, d épaules et du rachis. Cette évolution est retracée à partir des clichés de radiographies standard et d IRM réalisées chez ces patients. Au sein de cette cohorte pédiatrique, l ostéonécrose atteint 7,8% des patients. L âge moyen de survenue est de 12 ans. Le facteur de risque principal est le nombre de crises vaso-occlusives. La symptomatologie principale est la douleur. L évolution naturelle - notamment au niveau de la hanche - se fait vers l aggravation progressive, jusqu à l arthrose, qui atteint alors de jeunes patients. Cette étude aura pour but de décrire l évolution des différentes ostéonécroses après prise en charge thérapeutique : chirurgie orthopédique, programme transfusionnel et greffe de moelle. En effet, pour éviter l aggravation des ostéonécroses, il faut aussi réduire le phénomène vaso-occlusif ; le traitement doit être associé à la prise en charge globale de la maladie drépanocytaire.PARIS6-Bibl.Pitié-Salpêtrie (751132101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'hydroxyurée dans le traitement de la drépanocytose chez l'enfant (étude chez 43 enfants drépanocytaires traités par hydroxyurée)

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    CAEN-BU Médecine pharmacie (141182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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