75 research outputs found

    EQUITY AND RATE OF RETURN: ARE SMALL MANUFACTURING FIRMS HANDICAPPED BY THEIR OWN SUCCESS?

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    From a french pannel of manufacturing firm, this article aims to show that the terms of the debate on the capitalization of small manufacturing firms ought to be clarified. These firms are often said to be undercapitalized, because in relative terms their capital spending is often similar, or even greater, than that of their larger competitors. This means that their earnings are depleted by the higher depreciation charges for maintaining their fixed assets. Undercapitalization is also due to the fact that firms in this category have poor access to capital markets.equity, rate of retrurn, accumulation, sme's

    Growth patterns and economic performance of french manufacturing firms

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    Since early 1994, there have been signs of an upturn in economic activity . The strength and scope of the recovery depend to a large extent on the ability of companies to exploit their competitiveness, which is dependent on the decisions they take today, particularly where both tangible and intangible investments are concerned. The aim of this article is to identify specific types of economic behaviour and to relate them to companies' investment, and particularly intangible investment, decisions. It is first of all necessary to define competitiveness and to suggest a measurement indicator suited to aggregated accounting data. The link between competitiveness and profitability will be specified and the diversity of the companies will then be highlighted.behaviour, competitive forces, strategy, competitiveness

    PERFORMANCES ÉCONOMIQUES ET INVESTISSEMENT DES ENTREPRISE INDUSTRIELLES FRANCAISES

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    Cette article se propose d'identifier des comportements économiques spécifiques et de les mettre en rapport avec les décisions d'investissement, en particulier immatériel, opérés par les entreprises. Il est tout d'abord nécessaire de définir la compétitivité et de proposer un indicateur de mesure adapté aux données comptables agrégées. Ensuite le lien entre compétitivité et rentabilité est explicité avant d' insister sur la diversité des entreprisescomptététivité, competitiveness

    Des conventions aux performances : pour un outil d’élaboration d’un accord - Toward an agreement

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    Dans un article d’octobre 2001, Jensen souligne les limites opérationnelles de la théorie de la maximisation de la valeur et de la théorie des parties prenantes (Stakeholder theory). La complémentarité entre ces théories vient de l’affirmation que le bien être collectif n’est atteint que si « toutes les valeurs » portées par chaque partie prenante sont prises en compte et que cette maximisation se fasse sur le long terme. Il y a donc la reconnaissance de la firme comme une organisation historique et complexe. Toutefois, il apparaît une difficulté opérationnelle dans la mesure où les objectifs des différentes parties prenantes non aucune raison d’être convergentes à priori. Cette critique vaut aussi bien du point de vue la maximisation de la valeur ( comment gérer plusieurs objectifs à la fois) que de celui de la théorie des parties prenantes ( comment définir un objectif commun). Le présent article tente d’apporter une contribution à cette exigence de coordination en proposant une démarche fondée par l’économie des conventions. In an article from October 2001, Jensen underlines the operational limits of interpretation/current use which is made of the maximization of the value and the stakeholder theory. The complementarity between both theories comes from the assertion by Jensen of the need for understanding that the social welfare is then reached only if, on the one hand, "all the values" carried by each recipient are taken into account, and on the other hand, that this maximization is done on the long term. There is thus the recognition of the firm as a historical and complex organization. However, it presents an operational difficulty. We can agree with the maximization of value as a way for the social welfare. However, we still have the problem of the non convergence a priori of the objectives of the differents stakeholders, including shareholders and managers. This criticism could be made for both theories. The present paper propose a contribution on the way to build the necessary « agreement » between stakeholder, based on the « économie des conventions » (salais).agreement, shareholder, stakholder, convention

    Financement, investissement et performances des entreprises industrielles françaises

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    Les interrogations nombreuses au sujet des PME en restent généralement à un constat d' insuffisance de fonds propre, confondant ainsi problème de financement et nature de celui-ci. En outre elles trouvent leur origine dans une comparaison abusive avec les grandes entreprises, ignorant des traits distinctifs déterminants liés à l' effort d' accumulation et à la nature des contraintes selon la taille des entreprises. La compréhension des différences selon la taille des entreprises nécessite de partir de la politique d' investissement et de revenir sur la formation de la rentabilité afin de savoir si les problèmes de financement et d' accès au crédit pour les PMI provient de performances insuffisantes par rapport aux entreprises de plus grandes taille. Ce travail a été effectué au travers de différentes publications. Il en résulte que l' efficacité ou les rentabilités des PMI sont supérieurs à celles des grandes entreprise même si l' hétérogénéité des situations est plus grande pour les premières. Il confirme aussi que si ces entreprises sont plus endettées, toutefois l'interprétation de ce résultat diverge de celles faites couramment. Compte tenu du mode d' insertion propre aux PMI dans le système productif, il apparaît une spécificité qui ne consiste nullement à les définir comme des " petites grandes entreprises ". La logique les organisant est d' un autre ordre que celle des grandes entreprises. On pourrait la qualifier de logique d' accumulation sous contrainte de débouchés, la contrainte de rentabilité ne jouant " que comme " force de rappel aux conditions du marché. Cette dernière est maîtrisée par une structure à moindre intensité capitalistique fondée sur une efficacité du capital plus importante. Les grandes entreprises obéiraient à une logique de capitalisation sous contrainte de rentabilité, en particulier financière, la contrainte de débouchés étant gérée au travers des alliances; des réorganisations des actifs, de position dominante etc.. I - S PHÈRE FINANCIÈRE ET SPHÈRE RÉELLE 3 II - DES LOGIQUES ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DIFFÉRENTES ENTRE PME ET GRANDES ENTREPRISES 6 III - LES MODES DE CROISSANCE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES 27 CONCLUSION 38 BIBLIOGRAPHIE 41 ANNEXES 50equity, rate of retrurn, accumulation, sme's, investment, corporate finance

    Goodwill des groupes français de 1992 à 2002 - French group goodwill from 1992 to 2002

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    La fin des années 90 et le début des années 2000 ont été marqués par de fortes progression des goodwill des entreprises non financières débouchant sur un brutal retournement. Nombreux sont ceux qui ont alors mis en cause les marchés financiers, en particulier les grandes firmes et leurs stratégie, en s’interrogeant sur la soutenabilité de ce type de croissance. Qu’en est il alors en terme de solvabilité à un moment où le renforcement des règles prudentielles vient accentuer les exigences de création de valeur pour les actionnaires ? During the last years, the goodwill of the non financial companies has increased before to move back. The efficiency of financial market has been contested because of the gap between the increase of the goodwill and the lack of value for shareholders. At the same time, the international insolvency rules produces many questions about the sustainability of growth and the ability of companies to create value.goodwill, création de valeur, CAC40
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