5 research outputs found

    Expanded Hemodialysis Therapy: From the Rational to the Delivery

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    Expanded hemodialysis therapy is a new concept in blood purification technology using a specific membrane with a steep sieving curve characterized by medium membrane cutoff and high retention onset values that are close to but lower than those of albumin. Expanded hemodialysis therapy thereby targets an important pathophysiologic link to many of the sequelae of end-stage renal disease, by improving the clearance of medium to larger-size solutes. The significant internal filtration achieved in these hemodialyzers provides a remarkable convective clearance of medium to high solutes. This therapy does not need specific software or additional complex technology, making its application possible in every setting once the quality of the dialysis fluid is guaranteed to ensure the safe conduct of the dialysis session. The present chapter reviews the rationale for expanded hemodialysis therapy, the potential benefits, and the considerations for prescription and delivery

    Diabetic Patients and Peritoneal Dialysis

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    The prevalence of diabetes mellitus (DM) among patients requiring renal replacement therapy (RRT) has been on the rise worldwide, with DM now being the primary cause of end-stage renal disease (ESRD) in roughly one-third of RRT initiations. Although renal transplantation is the optimal treatment for ESRD, its limited availability has led to in-center hemodialysis (HD) being widely used as the default RRT modality in many countries. However, peritoneal dialysis (PD) may offer a superior option for diabetic patients due to its slower ultrafiltration rate, which can help mitigate the dialysis-induced hypotension and coronary ischemia that are associated with extracorporeal circulation during HD. Despite these advantages, unfounded concerns about technique failure and increased complication rates have discouraged some clinicians from recommending PD as a first-line RRT for diabetic patients. We conducted a retrospective study comparing the incidence of complications and technique survival rates between diabetic and non-diabetic patients undergoing PD at a dialysis unit in Morocco. Our findings reveal that, diabetic patients undergoing PD experienced no significant difference in technique survival or incidence of complications compared to their non-diabetics. Nevertheless, only a small proportion (17.5%) of patients in our PD unit was diabetic, suggesting a need to improve access to PD for diabetic patients with ESRD

    Patients diabétiques en dialyse péritonéale

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    The prevalence of diabetes mellitus (DM) among patients requiring renal replacement therapy (RRT) has been on the rise worldwide, with DM now being the primary cause of end-stage renal disease (ESRD) in roughly one-third of RRT initiations. Although renal transplantation is the optimal treatment for ESRD, its limited availability has led to in-center hemodialysis (HD) being widely used as the default RRT modality in many countries. However, peritoneal dialysis (PD) may offer a superior option for diabetic patients due to its slower ultrafiltration rate, which can help mitigate the dialysis-induced hypotension and coronary ischemia that are associated with extracorporeal circulation during HD. Despite these advantages, unfounded concerns about technique failure and increased complication rates have discouraged some clinicians from recommending PD as a first-line RRT for diabetic patients. We conducted a retrospective study comparing the incidence of complications and technique survival rates between diabetic and non-diabetic patients undergoing PD at a dialysis unit in Morocco. Our findings reveal that, diabetic patients undergoing PD experienced no significant difference in technique survival or incidence of complications compared to their non-diabetics. Nevertheless, only a small proportion (17.5%) of patients in our PD unit was diabetic, suggesting a need to improve access to PD for diabetic patients with ESRD.La prévalence du diabète sucré chez les patients nécessitant une thérapie de remplacement rénal est en hausse dans le monde entier, et le diabète est désormais la principale cause d'insuffisance rénale chronique terminale (IRCT) chez environ un tiers de ces patients. Bien que la transplantation rénale soit le traitement optimal pour l'IRCT, sa disponibilité limitée a conduit à l'utilisation généralisée de l'hémodialyse en centre (HD) comme modalité de remplacement rénal par défaut dans de nombreux pays. Cependant, pour les patients diabétiques, la dialyse péritonéale (DP) peut offrir une option supérieure en raison de son taux d'ultrafiltration plus lent, qui peut aider à diminuer les complications associées à la circulation extracorporelle pendant l'HD. Malheureusement, des préoccupations infondées concernant l'échec technique et l'augmentation des taux de complications ont dissuadé certains cliniciens de recommander la DP comme traitement de première intention pour les patients diabétiques en IRCT. Nous avons mené une étude rétrospective comparant l'incidence des complications et les taux de survie technique entre les patients diabétiques et non diabétiques bénéficiant de la DP dans une unité de dialyse au Maroc. Nos résultats révèlent que les patients diabétiques en DP n'ont pas connu de différence significative en termes de survie de la technique ou d'incidence de complications par rapport aux non diabétiques. Cependant, nous avons constaté que seule une petite proportion (17,5 %) des patients de notre unité de DP était diabétique, ce qui suggère que l'accès à la DP pour les patients diabétiques atteints d'ESRD doit être amélioré

    Néphropathie lupique proliférative et psoriasis: Un défi thérapeutique. A propos dun cas

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    Lassociation du lupus systémique et psoriasis est exceptionnelle et rarement décrite dans la littérature. Elle pose à la fois un problème diagnostic vu la similitude des lésions cutanées et articulaires dans certains cas, et thérapeutique vu le risque daggravation voire dinduction de lune des affections par les traitements prescrits. Nous décrivons dans cet article, le cas dune patiente âgée de 49 ans, suivie pour une néphropathie lupique proliférative mise sous cyclophosphamides, qui présente un psoriasis au cours de la dégression des corticoïdes prescrits dans le cadre du traitement du lupus systémique. Lassociation de ces deux pathologies, bien que peu fréquente, mérite dêtre connue compte tenu de lutilisation possible de plusieurs immunosuppresseurs, pouvant présenter des toxicités au long cours

    La suspicion de Néphropathie fibrillaire : une impasse dans les pays en voie de développement ?

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    La glomérulonéphrite fibrillaire (FGN) est une maladie rare qui a été décrite pour la première fois dans la littérature par Rosenmann et Eliakim en 1977 et a été reconnue plus tard comme une maladie glomérulaire distincte par Duffy et al. en 1983 . Les critères diagnostiques actuels de la FGN exigent la démonstration de fibrilles droites, disposées au hasard et mesurant de 10 à 30 nm d'épaisseur dans le mésangium et/ou le long des membranes basales glomérulaires par microscopie électronique (ME). En immunofluorescence (IF), dans la plupart des cas, nous retrouvons des dépôts dIgG, de chaînes légères κ et λ et de C3. Il existe des dépôts faibles dIgA, dIgM et de C1q dans 30 à 50 % des cas. Nous rapportons dans cet article le cas dune patiente agée de 34 ans admise pour un syndrome néphrotique impur dans un contexte de néoplasie chez qui le bilan immunologique était négatif et à la biopsie rénale, en microscopique optique une expansion mésangiale diffuse avec hypercellularité, un aspect rigide de la membrane basale glomérulaire avec un croissant fibro-cellulaire (10% du glomérule) et trois glomérules sont le siège dune prolifération endo-capillaire segmentaire et focale. En immunofluorescence, nous notons des dépôts IgG membranaires granuleux linéaires et diffus, ainsi que des dépôts de C3, de C1q, kappa et lambda. Après avoir écarté les diagnostics différentiels possibles à lanalyse de la biopsie rénale en microscopie optique et immunofluorescence, le diagnostic de glomérulonéphrite fibrillaire a été évoqué. Cependant, la microscopie électronique na pas pu être réalisée. Actuellement, l'analyse des glomérules par microscopie électronique est nécessaire pour diagnostiquer la FGN. Cependant, comme dans notre cas, celle-ci n'est pas souvent disponible dans les laboratoires de pathologie des pays en développement et même dans certains pays développés en raison de son coût élevé et de lexpertise nécessaire. Par conséquent, la NGF est probablement une maladie sous-diagnostiquée
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