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Rāšid et les Idrissides: l’histoire “originelle” du Maroc entre marginalisation et glorification
The dynasty of Idrisids is considered as the first of Morocco’s Islamic history. Nevertheless only the two figures of Idrīs I and Idrīs II are known by the general public and take up the specialists’ attentions. The character of Rāšid is completely left apart by the researchers. And yet he is the one who led future Idrīs I from Mecca to Volubilis, the one who succeeded him as head of the state and who had governed the country for twelve years (three times longer than Idrīs), and finally the one who minted coins with his name. I recently deal with this question in another article: the coins are from Volubilis, but also from the capital of the Rustumides, Tāhirt, that Rāšid certainly conquered. Moreover, he could have founded Fez for the first coins are minted in the city during his regency. All of this leads us to believe that this mysterious figure has played an important role and deserves a bigger place in the history books than he has today.<br><br>[fr] Si les Idrissides sont aujourd’hui considérés comme la dynastie fondatrice de l’histoire musulmane du Maroc, seules les deux figures d’Idrīs I et d’Idrīs II monopolisent l’attention du grand public marocain (voire des spécialistes également). La figure de Rāšid est totalement marginalisée. Pourtant, c’est ce dernier qui conduisit le futur Idris I jusqu’à Volubilis (depuis La Mecque en passant notamment par l’Egypte), qui lui succéda au pouvoir pour régner presque trois fois plus longtemps que lui (environ douze années), qui frappa des monnaies à son nom (ainsi que l’a démontré une récente publication scientifique) aussi bien dans la capitale des Rustumides Tāhirt qu’il devait donc avoir temporairement conquise que dans la sienne Volubilis. La logique historique convainc mème du fait qu’il ait fondé Fès, vu que les plus anciennes monnaies (anonymes) frappées dans cette ville le furent sous son règne/régence… Autant de points qui méritent donc que l’on s’intéresse de plus près à cette figure mystérieuse qui pourrait bel et bien avoir eu un rôle de loin plus important que celui auquel l’a “cantonn” l’historiographie traditionnelle
Poèmes à Mohammed Dib
Bakrī Ṭāhir al-. Poèmes à Mohammed Dib. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°37-38, 1999. Mohamed Dib La grande maison de l'écriture. Mohamed Khadda L'aventure du signe. p. 33
Poèmes à Amran Edmond El Maleh
Bakrī Ṭāhir al-. Poèmes à Amran Edmond El Maleh. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°27, 1994. Présences d'Edmond Amran El Maleh. p. 84
Une lecture de la trilogie nordique de Mohammed Dib.
Bakrī Ṭāhir al-. Une lecture de la trilogie nordique de Mohammed Dib.. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°37-38, 1999. Mohamed Dib La grande maison de l'écriture. Mohamed Khadda L'aventure du signe. pp. 30-33
Poèmes à Mohammed Dib
Bakrī Ṭāhir al-. Poèmes à Mohammed Dib. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°37-38, 1999. Mohamed Dib La grande maison de l'écriture. Mohamed Khadda L'aventure du signe. p. 33
Poèmes à Amran Edmond El Maleh
Bakrī Ṭāhir al-. Poèmes à Amran Edmond El Maleh. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°27, 1994. Présences d'Edmond Amran El Maleh. p. 84
Pour une poétique de la littérature maghrébine française
Bakrī Ṭāhir al-. Pour une poétique de la littérature maghrébine française. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°17, 1991. La perception critique du texte maghrébin de langue française. pp. 76-79
Le retour d'Abou El Haki (Texte de présentation de l'ouvrage à l'Institut du Monde Arabe)
Bakrī Ṭāhir al-. Le retour d'Abou El Haki (Texte de présentation de l'ouvrage à l'Institut du Monde Arabe). In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°16, 1991. Rapports villes-campagnes au Maghreb. Le cas du Maroc. pp. 87-90
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