21 research outputs found

    Presence of the Solutrean on the North Eastern side of the Pyrenees: The case of Ruisseau de la Boulière 2

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    Until recently, the extreme Eastern part of the Northern Pyrenean Piedmont was a "vacuum" on the distribution map of the Solutrean. As a matter of fact, only two sites, the Embullas cave and Espassoles open-air site, reported the Solutrean on the Pyrénées-Orientales territory which covers an area of over 4000 square kilometers. There is no explanation to justify this situation, since this zone is flanked by two important Solutrean areas. Indeed, further South, just beyond the Pyrenees there are a number of Solutrean sites in Spanish Catalonia: l’Arbreda and Reclau Viver caves in the Serinya region. For hundred and forty kilometers towards the North East, a set of remarkable Solutrean sites spread over Eastern Languedoc along the right bank of the Rhône: the Oullins, Chabot, Pâques and La Salpétrière caves in the Gard and Ardèche regions. Along the Mediterranean coast, between these two clusters, the Solutrean presence is more discreet, in the form of a discontinuous structure of sites (la Roque cave, the Col de Gigean site and the caves of Bize and La Crouzade). The publication in 2014 of the open-air site of the Vigne Bertrand at Vingrau (Pyrénées Orientales, France), close to the Espassoles site, revived the interest for the Corbières zone, a low mountainous area near the Pyrenees. The Ruisseau de la Boulière 2, located very close to the first two sites, confirms the Solutrean presence in this micro-zone. The Eastern Corbières appear today as an identifiable landmark of the Solutrean before crossing the Pyrenees. On the other hand, the discovery of a Montaut type bifacial asymmetrical point in the site leads us to suggest the hypothesis of east-western mobility, along the northern and/or southern Pyrenean piedmonts. The existence of such connections has already been reported on the basis of techno-typological convergences between Aragón (Cueva de Chaves) and Hérault (La Salpétrière) lithic industries

    Santa Maria di Agnano (Ostuni, Puglia)

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    La frequentazione neolitica esterna e le testimonianze rituali ellenistiche nell’area H-I-P-Q(Donato Coppola, Nicola de Pinto, Michele Pellegrino) La frequentazione neolitica esterna Le indagini archeologiche del 2015 a Santa Maria di Agnano ad Ostuni hanno interessato le aree di scavo già esplorate nel 2011 : l’estensione dello scavo del muro di recinzione e l’esplorazione dei livelli olocenici e pleistocenici sottostanti la parete rocciosa del riparo nell’Area H-I-P-Q ; i settori identifica..

    Santa Maria di Agnano (Ostuni, Puglia)

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    Nel 2016 le ricerche archeologiche nel sito di Santa Maria di Agnano ad Ostuni-Brindisi sono proseguite nelle aree già indagate nel 2015 con l’estensione dello scavo del muro di recinzione ellenistico, l’esplorazione dei livelli olocenici e pleistocenici sottostanti la parete rocciosa occidentale del riparo nell’Area H-I-P-Q (fig. 1), la prosecuzione nei settori identificati come « Scavo esterno » riferibile alle stratificazioni paleolitiche, le Aree dei quadrati L-M, pertinenti alla terrazza..

    Yvette Taborin, XXIXème suppl. Galha-Préhistoire

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    Baills Henry. Yvette Taborin, XXIXème suppl. Galha-Préhistoire. In: Quaternaire, vol. 4, n°4, 1993. p. 185

    Introduction

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    Il avait voulu un manuel pratique et fonctionnel, à l’image d’un outil en pierre il a taillé dans l’épaisseur du temps et retouché finement pour révéler la spécificité de chaque culture. Mario DINI, jeune enseignant-chercheur du département de Préhistoire de l’Université de Pise, dont les travaux étaient largement reconnus, nous a brutalement quittés en janvier 2012 alors que nous mettions une dernière main à un article commun sur la grotte La Fabbrica à Grosseto en Toscane. Quelques mois aup..

    La relation sanctuaire-habitat : le cas de la grotte du Portel (Ariège) [The sanctuary-habitat relationship the case of the Portel cave site (Ariège)]

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    The discovery of cave paintings and stone tools within the heart of the same cave raises the delicate problem of the possible relationship between the two. The following article does not claim to have ultimately resolved this question which, in its formulation requires prudent reservation. Using the Portel cave in Loubens (Ariège) as a specific case, arguments pleading alternatively for and against the existence of such a relationship are outlined. Taking into account the various styles of the engraved or painted panels, as well as the results obtained from C14 dating method, the palynological analysis, and the statistical description of the mobilier art series, six major points are discussed. Although such an approach may appear superficial, it attempts to resolve this polemic which, given the present state of our knowledge, remains without a definitive answer.La découverte, au sein d'une même cavité, d'oeuvres pariétales et d'industrie, pose le délicat problème de leur possible relation. Le présent article ne prétend pas faire le tour d'une question dont la seule formulation engage à une prudente réserve. À partir du cas très ponctuel de la grotte du Portel à Loubens (Ariège) sont envisagés des arguments qui plaident alternativement dans le sens d'une relation ou non des œuvres d'art et des matériaux. C'est ainsi que sont discutés 6 points prenant en compte les styles des panneaux gravés ou peints, les résultats des datations C14 et de l'analyse palynologique, l'approche statistique descriptive des séries mobilières. Même si l'approche que nous en faisons peut paraître superficielle, force est de constater que, dans l'état actuel de nos connaissances et pour cette cavité du moins, le problème posé demeure sans réponse définitive.Baills Henry. La relation sanctuaire-habitat : le cas de la grotte du Portel (Ariège) [The sanctuary-habitat relationship the case of the Portel cave site (Ariège)]. In: Quaternaire, vol. 8, n°2-3, 1997. pp. 225-232

    Pour ne pas conclure

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    Mario Dini n’avait pas donné de conclusion à l’édition italienne… Ce manque ne doit pas être interprété comme un oubli mais comme une volonté convaincue de ne pas mettre un point final à une histoire qui se poursuit actuellement. Comme bon nombre de ses collègues préhistoriens, Mario regardait les « choses » les plus anciennes avec les yeux les plus jeunes. Comment alors, au-delà des avatars climatiques et des catastrophes de toutes sortes, ne pas être enthousiaste sur cet homme qui « tricote..

    The end of the Epigravettian and the beginnings of the Sauveterrian in Tuscany (Italy)

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    International audienc

    Chapitre XII. Identifier les outils du Paléolithique supérieur

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    Il s’agit ici de présenter quelques-uns des outils les plus courants du Paléolithique supérieur. Parmi l’ensemble des outils du Paléolithique supérieur, les grattoirs semblent les plus représentatifs. Ils montrent, en règle générale, un front convexe obtenu par retouche de l’extrémité d’une lame ou d’un éclat (Fig. 52 A). Cette convexité du front est réalisée en utilisant un percuteur de petite dimension, en frappe directe, ou plus rarement par pression. La longueur du front de l’outil est tr..

    Chapitre XIII. Organiser les outils du Paléolithique supérieur européen

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    A partir des années 1950, les listes typologiques sont devenues l’outil indispensable pour classer les outils lithiques retouchés. Sur le modèle de la liste-type dressée par F. Bordes (Bordes 1953a ; Bordes 1953b ; Bordes 1961) relative à l’étude des industries du Paléolithique inférieur et moyen, D. Sonneville-Bordes et J. Perrot (Sonneville-Bordes et Perrot, 1954-1956) élaborèrent une classification des industries basée sur une stratégie d’association intuitive des caractères morphologiques..
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