From accidental citizen-science observations to genetic confirmation: how to spot new hidden invaders

The crested porcupine Hystrix cristata is the largest rodent in Italy, where it is strictly protected according to national and international laws. The species is almost exclusively nocturnal and quite elusive: its presence may be yet recorded through the detection of quills lost on the ground. In the last 40 years, the crested porcupine showed a remarkable range expansion in Italy. In 2013, in the framework of the www.naturaesocialmapping.it recording site, a web page devoted to H. cristata was set up. The aim of the project was to give people the opportunity to contribute to a continuous updating of the distributional map of this rodent. Lost quills were also collected by citizen-observers, as being easily available sources of DNA. This web page allowed us to detect the first evidence of the presence of another species of porcupine free-ranging in Italy (photos and quills): the Indian porcupine H. indica. Species identification was carried out through DNA barcoding analysis, since it cannot be performed only through quill morphology. We increased the international genetic database with sequences of both species, so to allow a rapid identification of samples through molecular analyses. Both species were introduced to Italy by humans. Our findings also support the relevance of citizen science contribution in the process of updating species’ distribution range and the potential of spotting new invasive species

Croyances de la population concernant le craquement entendu lors des manipulations vertébrales

Objectifs Examiner les représentations de la population vis-à-vis du craquement associé aux manipulations vertébrales (MV) de haute vélocité et basse amplitude (« thrust ») et comparer les croyances des sujets avec ou sans antécédents de MV. Méthodes Cent participants ont été inclus dans cette étude : 60 (groupe « no-MV ») sans antécédent de MV (40 sujets asymptomatiques avec ou sans antécédents de douleurs rachidiennes et 20 patients souffrant de douleurs rachidiennes non spécifiques) et 40 (groupe « MV ») avec antécédent de MV (20 sujets asymptomatiques et 20 patients). Tous les participants ont été conviés à une séance individuelle au cours de laquelle ils ont été soumis à un questionnaire au sujet de leurs antécédents de MV et de leurs croyances concernant le bruit associé aux MV. Résultats La population était âgée en moyenne de 43,5±15,4 ans. La question relative à l’origine du bruit a indiqué que 49 % des participants pensent que le bruit résulte de la « remise en place d’une vertèbre » ou du « frottement entre deux vertèbres » (23 %) ; seuls 9 % des participants ont évoqué, à juste titre, la formation d’une bulle de gaz. Quarante pour cent des sujets ont expliqué à tort que le bruit signifiait qu’une manipulation était réussie. Aucune différence en termes de croyances n’a été mise en évidence entre les groupes « MV » et « no-MV ». Conclusions Compte tenu des effets délétères démontrés de certaines croyances, celles-ci, très présentes en ce qui concerne les MV comme en témoigne la présente étude, devraient être davantage prises en considération par les thérapeutes et plus particulièrement par ceux effectuant des MV