112 research outputs found

    Abdelhafid Hammouche, HĂ©lĂšne Le Bail et Chikako Mori, « Le Japon, pays d’immigration ? », dossier de la revue Hommes et migrations, n° 1302, avril-mai-juin 2013

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    Le Japon est-il un pays d’immigration ? Si l’on commence Ă  admettre, depuis maintenant une bonne vingtaine d’annĂ©es qu’on nous le rĂ©pĂšte, que le Japon n’est pas si homogĂšne, ou plutĂŽt que son homogĂ©nĂ©itĂ© est un mythe construit dans les annĂ©es d’aprĂšs-guerre, on conçoit surtout la diversitĂ© japonaise comme un rĂ©sultat, celui de son histoire ancienne, prĂ©historique peut-ĂȘtre (les Jƍmon et les Yayoi), ou en tout cas prĂ©-moderne (les eta / hinin / burakumin aux marges de l’urbanitĂ© mĂ©diĂ©vale ; le..

    Christine Lévy (dir.), Genre et modernité au Japon. La revue SeitÎ et la femme nouvelle

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    MaĂźtresse de confĂ©rences Ă  l’universitĂ© de Bordeaux 3, spĂ©cialiste de l’histoire des idĂ©es et des mouvements politiques de la pĂ©riode Meiji-Taishƍ, Christine LĂ©vy fut pensionnaire Ă  la Maison franco-japonaise de 2009 Ă  2013. Elle y mena un programme de recherche centrĂ© sur le fĂ©minisme, sa naissance, son histoire, son actualitĂ©, qui sut attirer de nombreuses collaborations, francophones comme japonaises. Plusieurs publications collectives rendaient dĂ©jĂ  compte de cette activitĂ©, dont un numĂ©r..

    Éditorial

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    Le softpower dont on parle tant aujourd’hui surfe sur une vieille ressource : depuis les premiers contacts, le Japon ne cesse de surprendre et de sĂ©duire par la richesse et l’originalitĂ© de ses arts scĂ©niques. Or, si certains de ces arts, pensĂ©s comme traditionnels (nƍ, kabuki, thĂ©Ăątre de poupĂ©es en premier lieu sans doute), ont dĂ©jĂ  fait l’objet, depuis longtemps en France, d’études approfondies et d’un travail de traduction consĂ©quent, d’autres restent encore largement mĂ©connus, ou en tout ..

    Folklore, Ă©tudes folkloriques et arts de la scĂšne au Japon

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    Le texte de Hashimoto Hiroyuki – traduit pour l’article suivant – Ă©voque les rapports pouvant exister entre les recherches ethnologiques et les arts de la scĂšne. Relativement technique, il examine l’impact des lois de protection du patrimoine sur l’évolution des spectacles folkloriques. Ce faisant, il propose Ă  la recherche une petite rĂ©volution : ne plus ĂȘtre obnubilĂ©e par la question de l’authenticitĂ© historique d’arts « traditionnels », mais considĂ©rer les stratĂ©gies des acteurs dans leur ..

    èż‘ä»Łć›œćź¶ă«ăšăŁăŠăźæ‹æ„›ç”ć©š : 19äž–çŽ€ćŸŒćŠăźæ—„æœŹăźæ–°ă—ă„ćź¶æ—ćƒ

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    This paper will examine the debates surrounding the married couple and conjugal love which took place in the periodical Jogaku zasshi throughout the last third of the nineteenth century. Run by Iwamoto Yoshiharu (1863-1942), this magazine appears to have been the place of reflection on the specificities of Western love, the poor nature of the pre-modern types of love, and the need to transpose this particular kind of love--the only one befitting a civilized nation--to Japan. At stake here was the establishment of an ideal model for the modern couple. Iwamoto was not seeking revolution. Yet in fighting for a new family model based on equality between husband and wife, he laid the groundwork for the changes that Japan would undergo throughout the twentieth century. His modernity competed with the modernity of the editors of the first Civil Code, over which it would triumph a century later

    Christine Lévy (dir.), Genre et modernité au Japon. La revue SeitÎ et la femme nouvelle

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    MaĂźtresse de confĂ©rences Ă  l’universitĂ© de Bordeaux 3, spĂ©cialiste de l’histoire des idĂ©es et des mouvements politiques de la pĂ©riode Meiji-Taishƍ, Christine LĂ©vy fut pensionnaire Ă  la Maison franco-japonaise de 2009 Ă  2013. Elle y mena un programme de recherche centrĂ© sur le fĂ©minisme, sa naissance, son histoire, son actualitĂ©, qui sut attirer de nombreuses collaborations, francophones comme japonaises. Plusieurs publications collectives rendaient dĂ©jĂ  compte de cette activitĂ©, dont un numĂ©r..

    Abdelhafid Hammouche, HĂ©lĂšne Le Bail et Chikako Mori, « Le Japon, pays d’immigration ? », dossier de la revue Hommes et migrations, n° 1302, avril-mai-juin 2013

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    Le Japon est-il un pays d’immigration ? Si l’on commence Ă  admettre, depuis maintenant une bonne vingtaine d’annĂ©es qu’on nous le rĂ©pĂšte, que le Japon n’est pas si homogĂšne, ou plutĂŽt que son homogĂ©nĂ©itĂ© est un mythe construit dans les annĂ©es d’aprĂšs-guerre, on conçoit surtout la diversitĂ© japonaise comme un rĂ©sultat, celui de son histoire ancienne, prĂ©historique peut-ĂȘtre (les Jƍmon et les Yayoi), ou en tout cas prĂ©-moderne (les eta / hinin / burakumin aux marges de l’urbanitĂ© mĂ©diĂ©vale ; le..

    S’il faut reprendre le bñton, sur les chemins de l’audace


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    Cipango entre dans la quatriĂšme phase de son histoire. Au moment de prendre le bĂąton qui nous est tendu par nos aĂźnĂ©s, nous mesurons l’ampleur du travail accompli, et l’énergie dĂ©ployĂ©e depuis 1992. AprĂšs Pierre François Souyri (1992-1996), puis Emmanuel Lozerand (1997-2002), ce fut Ă  Michael Lucken d’assurer la tĂąche de secrĂ©taire de rĂ©daction
 durant sept ans ! Sa tĂ©nacitĂ© doit ĂȘtre particuliĂšrement saluĂ©e Ă  l’heure oĂč la nouvelle Ă©quipe de rĂ©daction ne peut encore prĂ©sumer de la distance q..

    Bibliographie du dossier L'invention des « arts populaires »

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    Akashi Someto æ˜ŽçŸłæŸ“äșș, 1929 « Mingei to shite no ema no kƍsatsu » æ°‘è—ăšă—ăŠăźç””éŠŹăźè€ƒćŻŸ (Les plaquettes votives vues sous l’angle de l’art populaire), Bi 矎, vol. 23, n° 4-5, Kyƍto, Unsƍdƍ. Akiyama Kikuo ç§‹ć±±ć–œäč…怫, 1973 Koi EnkĆ«. ƌmiya zakki-chƍ 1 æ‹ć††ç©șÂ â€”Â ć€§ćźźé›‘èš˜ćžł1 (EnkĆ« amoureux. Cahiers d’ƌmiya 1), Urawa, Saitama-ken Kyƍdo shiryƍ kankƍkai ćŸŒçŽ‰çœŒéƒ·ćœŸćČæ–™ćˆŠèĄŒäŒš. Arishima Takeo æœ‰ćł¶æ­ŠéƒŽ, 1922 « Sengen hitotsu » ćźŁèš€äž€ă€, Kaizƍ æ”č造, janvier 1922 ; repris dans Arishima Takeo zenshĆ« æœ‰ćł¶æ­ŠéƒŽć…šé›†, vol. 9, Tƍkyƍ, Chikuma shobƍ ç­‘æ‘©æ›žæˆż, 1981. Arts..

    Bibliographie du dossier L'invention des « arts populaires »

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    Akashi Someto æ˜ŽçŸłæŸ“äșș, 1929 « Mingei to shite no ema no kƍsatsu » æ°‘è—ăšă—ăŠăźç””éŠŹăźè€ƒćŻŸ (Les plaquettes votives vues sous l’angle de l’art populaire), Bi 矎, vol. 23, n° 4-5, Kyƍto, Unsƍdƍ. Akiyama Kikuo ç§‹ć±±ć–œäč…怫, 1973 Koi EnkĆ«. ƌmiya zakki-chƍ 1 æ‹ć††ç©șÂ â€”Â ć€§ćźźé›‘èš˜ćžł1 (EnkĆ« amoureux. Cahiers d’ƌmiya 1), Urawa, Saitama-ken Kyƍdo shiryƍ kankƍkai ćŸŒçŽ‰çœŒéƒ·ćœŸćČæ–™ćˆŠèĄŒäŒš. Arishima Takeo æœ‰ćł¶æ­ŠéƒŽ, 1922 « Sengen hitotsu » ćźŁèš€äž€ă€, Kaizƍ æ”č造, janvier 1922 ; repris dans Arishima Takeo zenshĆ« æœ‰ćł¶æ­ŠéƒŽć…šé›†, vol. 9, Tƍkyƍ, Chikuma shobƍ ç­‘æ‘©æ›žæˆż, 1981. Arts..
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