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FACTEURS ASSOCIÉS À LA RECRUDESCENCE DES ÉROSIONS DANS LE TERRITOIRE D’IDIOFA
Contexte et objectif
L’érosion a un impact négatif sur la biodiversité. La présente recherche a été conduite pour identifier les différents facteurs associés à la recrudescence des érosions dans le territoire d’Idiofa afin de contribuer à l’éradication du phénomène de ravinement.
MĂ©thodes
L’étude descriptive transversale a été menée au sein du territoire d’Idiofa situé dans la province de Kwilu en RDC. L’échantillonnage non probabiliste du type occasionnel a été utilisé par la technique d’interview et quelques observations sur terrain. Les données collectées ont été saisies en Excel et puis  ont été analysées à l’aide du logiciel SPSS version 16.0.
RĂ©sultats
Au total, 150  sujets ont été interviewés. Parmi les facteurs associés, la mauvaise canalisation était la cause majeure à 47,3%, suivi de constructions sans normes urbanistiques à 22%, ensuite la pente du terrain à 20,7%  et enfin, les pluies et ruissellement des eaux à 10%.
Conclusion
La construction sans normes urbanistiques constitue une problématique dans le contexte de la RDC en général et du territoire d’Idiofa en particulier. Il est important d’insister sur la prise des mesures adéquates pour la rétention parcellaire des eaux pluviales par la construction des bassins de rétention des eaux pluviales au niveau de chaque parcelle et une construction urbanisée. Contexte et objectif
L’érosion a un impact négatif sur la biodiversité. La présente recherche a été conduite pour identifier les différents facteurs associés à la recrudescence des érosions dans le territoire d’Idiofa afin de contribuer à l’éradication du phénomène de ravinement.
MĂ©thodes
L’étude descriptive transversale a été menée au sein du territoire d’Idiofa situé dans la province de Kwilu en RDC. L’échantillonnage non probabiliste du type occasionnel a été utilisé par la technique d’interview et quelques observations sur terrain. Les données collectées ont été saisies en Excel et puis ont été analysées à l’aide du logiciel SPSS version 16.0.
RĂ©sultats
Au total, 150 sujets ont été interviewés. Parmi les facteurs associés, la mauvaise canalisation était la cause majeure à 47,3%, suivi de constructions sans normes urbanistiques à 22%, ensuite la pente du terrain à 20,7% et enfin, les pluies et ruissellement des eaux à 10%.
Conclusion
La construction sans normes urbanistiques constitue une problématique dans le contexte de la RDC en général et du territoire d’Idiofa en particulier. Il est important d’insister sur la prise des mesures adéquates pour la rétention parcellaire des eaux pluviales par la construction des bassins de rétention des eaux pluviales au niveau de chaque parcelle et une construction urbanisée
IMPACT DES HABITUDES ALIMENTAIRES SUR LA SURVENUE DE L’ANÉMIE FERRIPRIVE CHEZ LES FEMMES ENCEINTES
Contexte et objectif
La présente  étude a été conduite en vue de rechercher les habitudes alimentaires liées à la survenue de l’anémie ferriprive chez les femmes enceintes afin de réduire le taux de mortalité maternelle et infantile.
MĂ©thode
Une enquête transversale à visée descriptive et analytique menée à l’Hôpital Kimbanguiste de Kinshasa. Un échantillonnage non probabiliste du type occasionnel a été utilisé recourant à l’enquête comme méthode concrétisée par l’interview au moyen d’un questionnaire comme guide d’entretien chez les gestantes. Le logiciel SPSS 16,0 a servi pour les analyses statistiques.
RĂ©sultats
Un total de 106 femmes enceintes suivi pour évaluation. Leur alimentation  a été diversifiée. 35,8% non supplémentées en fer, 27,4% avec antécédents de l’anémie. La farine du maïs et du manioc mélangée étant aliment de base (64,2%). Plusieurs relations identifiées entre l’aliment de base, consommation du riz, du lait, la viande,  poissons, légumes, du thé rouge, prise de banane plantain, de l’œuf, des fruits, du café et l’antécédent de l’anémie.
Conclusion Â
Cette étude a montré que la supplémentation en fer a été insuffisante, entrainant l’augmentation de l’anémie ferriprive. Une consommation moins des certaines aliments riches en fer. D’où, une sonnette d’alarme pour l’amélioration de l’alimentation des gestantes.Contexte et objectif
La présente étude a été conduite en vue de rechercher les habitudes alimentaires liées à la survenue de l’anémie ferriprive chez les femmes enceintes afin de réduire le taux de mortalité maternelle et infantile.
MĂ©thode
Une enquête transversale à visée descriptive et analytique menée à l’Hôpital Kimbanguiste de Kinshasa. Un échantillonnage non probabiliste du type occasionnel a été utilisé recourant à l’enquête comme méthode concrétisée par l’interview au moyen d’un questionnaire comme guide d’entretien chez les gestantes. Le logiciel SPSS 16,0 a servi pour les analyses statistiques.
RĂ©sultats
Un total de 106 femmes enceintes suivi pour évaluation. Leur alimentation a été diversifiée. 35,8% non supplémentées en fer, 27,4% avec antécédents de l’anémie. La farine du maïs et du manioc mélangée étant aliment de base (64,2%). Plusieurs relations identifiées entre l’aliment de base, consommation du riz, du lait, la viande, poissons, légumes, du thé rouge, prise de banane plantain, de l’œuf, des fruits, du café et l’antécédent de l’anémie.
Conclusion
Cette étude a montré que la supplémentation en fer a été insuffisante, entrainant l’augmentation de l’anémie ferriprive. Une consommation moins des certaines aliments riches en fer. D’où, une sonnette d’alarme pour l’amélioration de l’alimentation des gestantes
IMPACTS SOCIO-ÉCONOMIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX DE L’EXPLOITATION DE PRODUITS FORESTIERS NON LIGNEUX (CHAMPIGNONS ET MIEL) DANS LA COMMUNE RURALE DE LUOZI EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
Contexte et objectif
Le présent travail qui traite de deux produits forestiers non ligneux types, à savoir : les champignons et le miel, se propose comme objectif de rechercher l’impact socioéconomique et environnemental découlant de cette activité, sur la population rurale de Luozi et ses environs.
Â
MĂ©thode
Une enquête descriptive de type interview a été menée dans la commune rurale de Luozi, dans la province du Kongo Central, en RD Congo du 16 octobre 2021 au 10 novembre 2022. Au total, 120 ménages pris de manière aléatoire constituant notre échantillon. La récolte de données a été faite à l’aide d’un questionnaire servant guide d’entretien chez les enquêtés. L’échantillonnage non probabiliste du type occasionnel a été utilisé. Les données collectées ont été saisies en EXCEL 2007 et exporter en SPSS version 20 pour les analyses statistiques.
Â
RĂ©sultats
Il sied de signaler que ces produits forestiers servent à alimentation (60% et +), à l’amélioration des revenus (85 % et +). Sources de conflits : champignons (16%), miel (10%) ; de toxicité : champignons (8%) ; de mortalité : miel (6%) ; traitement : miel (24%).
Ces produits se ramassent dans la forêt ou savane (100%). Ils détruisent la forêt (35%), affectent leurs biomes respectifs (32%) et sont l’une des causes du changement climatique (20%), et du dépérissement des abeilles (3%).
Conclusion
L’impact de produits forestiers non ligneux, champignons et miel, est positif dans la commune rurale de Luozi et ses environs car leur  exploitation est régulière. Et nous demandons à la population d’en continuer leur exploitation tout en sauvegardant l’environnement.Contexte et objectif
Le présent travail qui traite de deux produits forestiers non ligneux types, à savoir : les champignons et le miel, se propose comme objectif de rechercher l’impact socioéconomique et environnemental découlant de cette activité, sur la population rurale de Luozi et ses environs.
MĂ©thode
Une enquête descriptive de type interview a été menée dans la commune rurale de Luozi, dans la province du Kongo Central, en RD Congo du 16 octobre 2021 au 10 novembre 2022. Au total, 120 ménages pris de manière aléatoire constituant notre échantillon. La récolte de données a été faite à l’aide d’un questionnaire servant guide d’entretien chez les enquêtés. L’échantillonnage non probabiliste du type occasionnel a été utilisé. Les données collectées ont été saisies en EXCEL 2007 et exporter en SPSS version 20 pour les analyses statistiques.
RĂ©sultats
Il sied de signaler que ces produits forestiers servent à alimentation (60% et +), à l’amélioration des revenus (85 % et +). Sources de conflits : champignons (16%), miel (10%) ; de toxicité : champignons (8%) ; de mortalité : miel (6%) ; traitement : miel (24%).
Ces produits se ramassent dans la forêt ou savane (100%). Ils détruisent la forêt (35%), affectent leurs biomes respectifs (32%) et sont l’une des causes du changement climatique (20%), et du dépérissement des abeilles (3%).
Conclusion
L’impact de produits forestiers non ligneux, champignons et miel, est positif dans la commune rurale de Luozi et ses environs car leur exploitation est régulière. Et nous demandons à la population d’en continuer leur exploitation tout en sauvegardant l’environnement.
Context and objectiveThis work, which deals with two typical non-timber forest products, namely: mushrooms and honey, aims to research the socio-economic and environmental impact resulting from this activityon the rural population of Luozi and its surroundings.
MethodA descriptive interview-type survey was conducted in the rural commune of Luozi, in the Kongo Central province, in DR Congo, from October 16, 2021, to November 10, 2022. A total of 120 randomly selected households made up our sample. Data collection was done using a questionnaire that served as an interview guide for respondents. A non-probability sampling of the occasional type was used. The data collected was entered in EXCEL 2007 and exported to SPSS version 20 for statistical analysis.
ResultsIt should be noted that these forest products are used for food (60% and +), and to improve incomes (85% and +). Sources of conflict: mushrooms (16%), honey (10%); toxicity: fungi (8%); mortality: honey (6%); treatment: honey (24%). These products are collected in the forest or savannah (100%). They destroy the forest (35%), affect their respective biomes (32%), and are one of the causes of climate change (20%) and bee dieback (3%).
ConclusionThe impact of non-timber forest products, mushrooms, and honey is positive in the rural commune of Luozi and its surroundings because their exploitation is regular. And we ask the population to continue their exploitation while safeguarding the environment.
Keywords: forest, non-timber forest products, mushrooms, honey, rural areas, DRC
RENDEMENT DES EFFETS DES FERTILISANTS ORGANIQUES (TITHONIA DIVERFIFOLIA) ET INORGANIQUES (NPK 17-17-17) SUR LA CULTURE DU MANIOC (MANIHOT ESCULENTA) DANS LES CONDITIONS ÉCOLOGIQUES
Contexte et objectif
Un essai a été réalisé dans la localité Batsiongo, en vue d’étudier le rendement des effets combinés des engrais organiques et inorganiques sur la fertilité du sol et le rendement du manioc, concernant la variété Sadisa.
MĂ©thode
Cette expérimentation a porté notamment sur le Tithonia diverfifolia et les engrais minéraux le NPK 17-17-17. Celle-ci, a été conduite selon un dispositif en blocs aléatoires complets randomisés avec 6 traitements répartis en 3 répétitions. L’usage de la méthode de l’analyse de la variante ANOVA avec comme seuil de probabilité de 5%, le test de la plus petite différence significative (PPDS) a été utilisé pour la comparaison des moyennes de traitements.  Les paramètres de productions observés étaient le nombre de racines par pied, le poids de racines par pied (en kg), le diamètre de la racine (en mm) et la longueur de la racine (en cm).
RĂ©sultats
Cette étude a montré que le poids de plants traités avec le NPK 17-17-17 ont donné des résultats satisfaisants (traitement T2 (2,44 Kg par parcelle) et T1 (2,06 Kg par parcelle) que ceux placés sous application de Tithonia diversifolia (T5 (1,92 Kg par parcelle). Le faible rendement de Tithonia diversifolia est dû certainement aux facteurs conjoncturels. Parmi, lesquels le lessivage du sol et la mosaïque.  Tandis que le rendement le plus élevé a été obtenu avec le traitement T0 (8 T/ha) suivi de T1 (1.2 T/ha), de T2 (1 T/ha). L’analyse statistique globale des données recueillies établit qu’il y a des différences significatives entre les variétés au seuil de 5% (Prob= 0,0003 < 0.05).
Conclusion
Le poids du manioc est lié à la dose de chaque type d’engrais utilisés pour fertiliser le sol. Les plants traités avec le NPK 17-17-17 (20 gr) par emplacement (T1) ont donné un résultat satisfaisant que ceux placés sous application de Tithonia diversifolia. Une suggestion de faire usage des fertilisants inorganiques pour la rentabilité quand bien même non biologique est souhaitéeContexte et objectif
Un essai a été réalisé dans la localité Batsiongo, en vue d’étudier le rendement des effets combinés des engrais organiques et inorganiques sur la fertilité du sol et le rendement du manioc, concernant la variété Sadisa.
MĂ©thode
Cette expérimentation a porté notamment sur le Tithonia diverfifolia et les engrais minéraux le NPK 17-17-17. Celle-ci, a été conduite selon un dispositif en blocs aléatoires complets randomisés avec 6 traitements répartis en 3 répétitions. L’usage de la méthode de l’analyse de la variante ANOVA avec comme seuil de probabilité de 5%, le test de la plus petite différence significative (PPDS) a été utilisé pour la comparaison des moyennes de traitements. Les paramètres de productions observés étaient le nombre de racines par pied, le poids de racines par pied (en kg), le diamètre de la racine (en mm) et la longueur de la racine (en cm).
RĂ©sultats
Cette étude a montré que le poids de plants traités avec le NPK 17-17-17 ont donné des résultats satisfaisants (traitement T2 (2,44 Kg par parcelle) et T1 (2,06 Kg par parcelle) que ceux placés sous application de Tithonia diversifolia (T5 (1,92 Kg par parcelle). Le faible rendement de Tithonia diversifolia est dû certainement aux facteurs conjoncturels. Parmi, lesquels le lessivage du sol et la mosaïque. Tandis que le rendement le plus élevé a été obtenu avec le traitement T0 (8 T/ha) suivi de T1 (1.2 T/ha), de T2 (1 T/ha). L’analyse statistique globale des données recueillies établit qu’il y a des différences significatives entre les variétés au seuil de 5% (Prob= 0,0003 < 0.05).
Conclusion
Le poids du manioc est lié à la dose de chaque type d’engrais utilisés pour fertiliser le sol. Les plants traités avec le NPK 17-17-17 (20 gr) par emplacement (T1) ont donné un résultat satisfaisant que ceux placés sous application de Tithonia diversifolia. Une suggestion de faire usage des fertilisants inorganiques pour la rentabilité quand bien même non biologique est souhaité