9 research outputs found

    Jean Brun, La nudité humaine

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    Bouveresse Renée. Jean Brun, La nudité humaine. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 72, n°14, 1974. pp. 371-373

    Jean Brun, La nudité humaine

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    Bouveresse Renée. Jean Brun, La nudité humaine. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 72, n°14, 1974. pp. 371-373

    Le rationalisme critique de Karl Popper

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    80 p.L'une - des raisons qui expliquent le grand intérêt porté à la pensée - de Popper, devenu un « classique » au XXe siècle (où il fut reconnu en France dans les années 1978), tient sans doute au fait qu'elle est une des très rares à aborder tous les domaines de la philosophie, du moins tous ceux qui laissent place à une discussion argumentée méthodologie des sciences, philosophie générale de la connaissance, problèmes posés par l'interprétation de la physique moderne, de la biologie, de la psychologie et des sciences sociales ; mais aussi philosophie morale et poli- tique, - histoire de la philosophie, et même métaphysique. Renée Bouveresse recourt ici à l'ordre alphabétique (en dépit de la critique poppérienne de l' "essentialisme») pour livrer un essai sur l'ensemble du "rationalisme critique " ,expression par laquelle Popper lui-même a désigné sa philosophie

    Christian Delacampagne, Anti-psychiatrie ou les voies du sacré

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    Bouveresse Renée. Christian Delacampagne, Anti-psychiatrie ou les voies du sacré. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 78, n°38, 1980. pp. 321-324

    Christian Delacampagne, Anti-psychiatrie ou les voies du sacré

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    Bouveresse Renée. Christian Delacampagne, Anti-psychiatrie ou les voies du sacré. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 78, n°38, 1980. pp. 321-324

    Une lettre de Spinoza

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    What does the recently-discovered letter of Spinoza to Louis Meyer of the 26th July 1663 tell us? In the first place it invites us to change our opinion on the rôle played by L. Meyer in the establishment of the printed text of the exposition more geometrico of Descartes' Principia philosophiae and of the Cogitata metaphysica which constitute the Appendix to it. Contrary to what the letter to Oldenburg of the 17th/27th July 1663 led us to believe, Louis Meyer was not entrusted merely with the task of eliminating certain Spanish traits from Spinoza's Latin, as for example Meinsma and M. Frances hold. The texts in the margin as well as the alterations are the work of this discrete collaborator. Secondly there is the matter of certain modifications asked for or conceded by Spinoza, which L. Meyer took account of. As he took advantage of Spinoza's authorisation to modify a passage in the Metaphysical Thoughts, this letter is of interest in that it allows us to establish the original text, in which Spinoza questioned the doctrine of the Trinity. Thus it may prove an interesting document for the relations of Spinozism and Socinianism, even if there was no need to discover it to know that Spinoza rejected the dogma of the Trinity. As for the argument used by Spinoza, it is not original, since St. Thomas envisaged it; but it is of interest in that it shows the bond established by Spinoza between the rejection of Aristotle's physics and certain important theological consequences.Que nous apprend la lettre de Spinoza à Louis Meyer du 26 Juillet 1663, récemment découverte? En premier lieu, elle invite à changer d'opinion sur le rôle joué par L. Meyer dans l'établissement du texte imprimé de l'exposé more geometrico des Principia philosophiae de Descartes, et des Cogitata metaphysica qui en constituent l'Appendice. Contrairement à ce que faisait croire la lettre à Oldenburg du 17/27 juillet 1663, Louis Meyer n'aurait pas eu pour seule mission d'éliminer du latin de Spinoza certains hispanismes, comme l'affirment par exemple Meinsma et M. Frances. Les textes inscrits en marge, ainsi que les renvois, sont de la main de ce discret collaborateur. En second lieu, il est question de certaines modifications demandées ou concédées par Spinoza, et dont L. Meyer a tenu compte. Comme il a profité de l'autorisation de Spinoza pour modifier un passage des Pensées métaphysiques, cette lettre a l'intérêt de permettre de rétablir le texte original, où Spinoza mettait en question la doctrine de la Trinité. Elle peut ainsi être un document intéressant en ce qui concerne les rapports du spinozisme et du socinianisme, même s'il n'était nul besoin de la découvrir pour savoir que Spinoza refusait le dogme de la Trinité. Quant à l'argument utilisé par Spinoza, il n'est pas original puisque S. Thomas l'envisageait, mais il a l'intérêt de manifester le lien établi par Spinoza entre le rejet de la physique aristotélicienne et certaines conséquences théologiques importantes.Bouveresse Renée. Une lettre de Spinoza. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 76, n°32, 1978. pp. 427-446

    L'univers irrésolu : plaidoyer pour l'indéterminisme

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    160 p., ref. bib. : 1 p.Les développements ontologiques récents de l'œuvre de Karl Popper figurent aujourd'hui parmi les aboutissements les plus éclatants de la philosophie contemporaine. L'effort du philosophe pour fonder sa théorie de la connaissance objective en postulant un monde "ouvert", indéterministe, susceptible de voir émerger en lui des niveaux de réalité hétérogènes, va dans la direction même que cherchent à prendre tous ceux qui, parmi les scientifiques actuels, croient qu'entre le matérialisme désespérant et un spiritualisme verbeux il y a place pour un moyen terme, et qu'une nouvelle alliance est aujourd'hui possible entre la science et l'homme. C'est ainsi que dans L'Univers irrésolu, plaidoyer pour l'indéterminisme, Popper, argumentant contre les formes aussi bien "scientifique" que "métaphysique" du déterminisme; exorcise enfin le cauchemar du déterminisme absolu qui, bien que chacun sente son caractère insatisfaisant, n'avait jusqu'ici jamais cessé de hanter la science et la philosophie des sciences. L'Univers irrésolu est le premier livre qui offre une argumentation aussi rigoureuse que complète contre le déterminisme : là où d'ordinaire on se contente d'évoquer la mécanique quantique comme le lieu d'une exception éventuelle au déterminisme, Popper montre que la physique classique elle-même ne présupposait pas davantage que la physique quantique le déterminisme, et que le monde ne peut pas être pensé d'une façon qui le réduirait à n'être qu'une "horloge". Il montre aussi dans ce livre que le réalisme n'implique pas nécessairement le matérialisme, et traite de la liberté, de la créativité et de la rationalité humaine, en proposant dans ce plaidoyer qui s'adresse aussi bien aux philosophes et aux épistémologues qu'au grand public "une sorte de prolégomènes à la question de la liberté et de la créativité humaine"

    La quête inachevée

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    351 p., ref. bib. : 13 p.L'autobiographie d'un penseur qui a bouleversé la réflexion sur la science et la philosophie politique. De la Vienne impériale à l'Angleterre de l'après-guerre, en passant par la Nouvelle-Zélande, son parcours original, son évolution intellectuelle le conduisent rapidement hors des sentiers battus. Il raconte sa formation universitaire, ses premiers doutes, ses recherches. Récit de la vie mouvementée d'un homme engagé dans les soubresauts de notre siècle, analyse du cheminement d'une conscience philosophique, "La quête inachevée" est aussi une solide présentation des réflexions de Karl Popper sur la découverte scientifique ainsi qu'une critique du déterminisme historique et des projets politiques utopistes, dont l'auteur dénonce les germes de totalitarisme
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