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Cymothoa frontalis, a cymothoid isopod parasitizing the belonid fish Strongylura strongylura from the Malabar Coast (Kerala, India): redescription, description, prevalence and life cycle
Étude écophysiologique des parasitoses à Cymothoadiens
Une étude écophysiologique de certaines parasitoses à Cymothoadiens a permis de mettre en évidence :
Production d'anticorps monoclonaux contre le protozoaire Perkinsus marinus : estimation de la multiplication parasitaire in vitro.
Le complexe
Ce travail est réalisé à partir de deux populations de Cestodes appartenant à l’espèce nominale Bothriocephalus scorpii (Mueller, 1776) (Cestoda, Pseudophyllidea), parasites du Turbot et de la Barbue sur le littoral méditerranéen et pour lesquelles, à partir de l’étude des isoenzymes (Renaud et al., 1983) nous avons attribué les dénominations suivantes :
Modifications tissulaires et réactions de défense chez quelques Téléostéens parasités par les Cymothoidae (Crustacés, Isopodes, Hématophages)
Chez les poissons hébergeant des Cymothoidae (Crustacés, Isopodes, Hématophages), des modifications tissulaires sont mises en évidence au niveau du microbiotope parasitaire.
Elles se manifestent principalement par une hypertrophie de l’épiderme et par une profonde désorganisation du tissu conjonctif ; en outre, on observe une production importante de mucus à la surface des téguments et un afflux de cellules sanguines (lymphocytes, cellules à granulations éosinophiles) et d’origine histiocytaire (cellules géantes plurinuclées)
Parasitoses a cymothoadien chez le loup <i>(Dicentrarchus labrax</i> linnaeus, 1758) en élevage
Quelques aspects des mécanismes nutritionnels chez l’isopode cymothoidae :
Chez l’Isopode Cymothoidae Ceratothoa oestroides, parasite hématophage de la Bogue (Boops boops ; poisson Téléostéen, Sparidae), une étude de certains aspects des mécanismes nutritionnels est envisagée chez les individus en phase sexuelle femelle.
Dans un premier temps, l’étude des variations qualitatives (réplétion de l’hépatopancréas, coloration des différentes parties) et des variations quantitatives (variations pondérales) du tube digestif et de ses annexes permet de noter que l’absorption du sang est étroitement liée aux stades du développement sexuel et du cycle d’intermue. Le schéma général semble le suivant : la prise de nourriture s’effectue avant ou au tout début de la vitellogenèse et après la libération des pulli. L’utilisation des nutriments ingérés et des réserves permet d’assurer la vitellogenèse et le développement des larves intramarsupiales. Dans un deuxième temps, nous avons essayé de rechercher s’il existe un mécanisme déclenchant l’absorption du sang et quelle pourrait être sa nature ? Un tel mécanisme parait effectivement exister ; il semble en partie tributaire d’un facteur stimulant tel que la pression osmotique ou la composition ionique du sang de l’hôte. L’existence de chémorécepteurs est d’ailleurs envisagée ; ces derniers auraient vraisemblablement pour localisation les pièces buccales, la cavité buccale ou peut être même la région œsophagienne des parasites
