Trois Jeux des Rois

Aubailly Jean-Claude. Trois Jeux des Rois. In: Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, n°22, 1986. pp. 65-66

Gérard Chandès. — Le serpent, la femme et l'épée. Recherches sur l'imagination symbolique d'un romancier médiéval : Chrétien de Troyes, 1986

Aubailly Jean-Claude. Gérard Chandès. — Le serpent, la femme et l'épée. Recherches sur l'imagination symbolique d'un romancier médiéval : Chrétien de Troyes, 1986. In: Cahiers de civilisation médiévale, 32e année (n°125), Janvier-mars 1989. pp. 67-68

A propos d'un ouvrage récent sur la farce

Aubailly Jean-Claude. A propos d'un ouvrage récent sur la farce. In: Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, n°20, 1985. pp. 12-22

Trois Jeux des Rois

Aubailly Jean-Claude. Trois Jeux des Rois. In: Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, n°22, 1986. pp. 65-66

Christine Martineau-Genieys, Le thème de la mort dans la poésie française de 1450-1550

Aubailly Jean-Claude. Christine Martineau-Genieys, Le thème de la mort dans la poésie française de 1450-1550. In: Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, n°9, 1979. pp. 81-83

Le Monologue, le dialogue et la sottie ; essai sur quelques genres dramatiques à la fin du moyen âge et au début du XVIe siècle

Aubailly Jean-Claude. Le Monologue, le dialogue et la sottie ; essai sur quelques genres dramatiques à la fin du moyen âge et au début du XVIe siècle. In: Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, n°1, 1975. pp. 14-16

Du narré au joué : le motif du faux confesseur

Dans le tableau qui clôt ses Études sur l'ancienne farce française, H. Lewicka recense 171 pièces qu'elle considère comme des farces. Même si ce total est, selon nous, à réduire d'une vingtaine de pièces, dialogues techniques sans action (Gautier et Martin, Mallepaye et Bai1levent ...) ou pièces dont on peut valablement discuter l'appartenance au genre de la farce (Les Malcontentes, L'Ordre de mariage et de prêtrise, Le Fauconnier de ville...), il n'en reste pas moins que le corpus actuelleme..

Guillaume à Orange οu la quête de l'Autre-Monde

Tous les critiques sont unanimes pour reconnaître en Guillaume une sorte d'archétype du héros qui s'est constellé par fusion de données historiques et légendaires déformées par l'épogenèse : Jeanne Wathelet-Willem voit dans la Chanson de Guillaume la fusion de deux légendes et Jean Frappier rappelle qu'on n'a pas recensé moins de seize Guillaumes historiques qui, peu ou prou, ont pu servir de modèle au héros épique ! Mais le problème n'est pas là : l'épopée contraint l'histoire à épouser le m..

Théâtre médiéval et fêtes calendaires

Aubailly Jean-Claude. Théâtre médiéval et fêtes calendaires. In: Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, n°11/1, 1980. La littérature populaire aux XVème et XVIème siècles. Actes du deuxieme colloque de Goutelas (21-23 septembre 1979) pp. 5-12

Le fabliau et les sources inconscientes du rire médiéval

Inspired by the psychoanalysis (C. G. Jung, M.-L. von Franz, P. Solié), this research aims at pointing out the elements that the fabliaux give rise to, that is to say the causes and the fînality of laughter, a laughter that reveals, deep down in the psyche of the medieval man, a pagan substratum. Laughter, based on the linguistic subversion, often connected to sexuality, on the scatological humor, on sex, on the body and its dismemberment, on a way of dealing with time that underlines the process of Chaos, is an attempt to exorcise archaic fears, haunting anguishes deriving from the mystery of life, from smirch and the Impure, from death, time and Fall... and so, its function turns out to be similar to the one of the rites of ancient religions with mysterious practices.S'inspirant de la psychologie des profondeurs (C. G. Jung, M.-L. von Franz, P. Solié), cette étude tente de dégager les causes et la finalité du rire que suscitent les fabliaux, rire qui apparaît comme la manifestation, au fond de la psyché de l'homme médiéval, d'un substrat païen. Le rire, qui repose sur la subversion langagière — souvent liée à la sexualité —, sur la scatologie, le sexe, le corps physique et son démembrement, sur un traitement du temps qui souligne la mécanique du Chaos, est une tentative d'exorcisme des angoisses archaïques, des hantises liées au mystère de la vie, à la souillure et à l'Impur, à la mort, au temps, à la Chute... et en cela il révèle une fonction proche de celle des rites des anciennes religions à mystère.Aubailly Jean-Claude. Le fabliau et les sources inconscientes du rire médiéval. In: Cahiers de civilisation médiévale, 30e année (n°118), Avril-juin 1987. pp. 105-117