9 research outputs found

    About the absence of musculocutaneous nerve

    Get PDF
    Introduction: Musculocutaneous nerve (C5-7) derives (90,5%) from the lateral cord of brachial plexus at the level of lateral border of pectoralis minor [1]. MC nerve pierces the coracobrachialis muscle and descends between the biceps brachii and brachialis to the lateral side of the elbow and terminates as the lateral cutaneous nerve of forearm. It supplies the biceps brachi, the coracobrachialis and the brachialis. Its terminal branch is purely sensory. Variations in the MC nerve course, distribution and termination have been reported and variably classified [2]. The most frequent variations are the presence of communicating branches with the median nerve [3] and the nerve not perforating the coracobrachialis muscle [4]. Total absence of MC nerve is less frequent (1.4 to 15%) [5]. Materials and Methods: 25 upper limbs from 13 cadavers were dissected. A skin incision was performed on deltopectoral groove and arm midline. Two fasciocutaneous flaps were raised, exposing brachial plexus and MC nerve. Results: In two specimens MC was not demonstrable. In these cases, the nerve branches to the coracobrachialis muscle and the lateral cutaneous forearm nerve originated directly from the median nerve. Conclusion: during embryogenesis MC nerve is derived relatively late, thus its absence may correspond to an incomplete differentiation of the brachial plexus. We believe this anatomical variation noteworthy because clinical procedures as plexus block or Latarjet’s procedure may be affected from MCN anomalies

    Luxations rétro-lunaires du carpe et disjonctions scapho-lunaires (étude rétrospective de 19 cas traités au C.H.U de pointe à Pitre de 1996 à 2004)

    No full text
    LE KREMLIN-B.- PARIS 11-BU Méd (940432101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Rupture traumatique du ligament patellaire et traitement chirurgical en Guadeloupe (étude rétrospective de 12 cas traités au CHU de Pointe-à-Pitre)

    No full text
    La rupture du ligament patellaire est une pathologie relativement rare. Nous avons réalisé l'étude rétrospective de 12 dossiers (11 patients puisqu'un cas de rupture bilatérale) de rupture du ligament patellaire traités au CHU de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) sur une période de 125 mois (11 ans et 5 mois). Son but était de comparer nos résultats cliniques et radiologiques à ceux déjà préalablement publiés. La série comportait uniquement des hommes, d'une moyenne d'âge de 33,76 ans. Le recul moyen était de 6,13 ans (73,56 mois) Le mécanisme de rupture est intervenu 3 fois en pratique sportive à haute célérité, et 7 fois sur 12 un choc direct sur le genou hors pratique sportive et 2 en pratique sportive. Le site de rupture était dans 66,66% des cas au niveau de la pointe de la patella, dans 25% des cas au niveau du corps et enfin, 8,33% au niveau de la tubérosité tibiale antérieure. Parmi les complications constatées en post-opératoire, nous avons déploré une raideur articulaire, une ossification péri-patellaire et une calcification du tendon. La hauteur patellaire a été calculée selon l'indice de Caton-Deschamps. Nous avons constaté un indice normal dans 100% de nos cas, avec une augmentation de 8,11 % entre les indices calculés en post-opératoire et à distance. Nous avons finalement obtenu 1 résultat excellent, 10 bons et 1 mauvais. La technique chirurgicale choisie ne semble pas influencer les résultat final, mais le rétablissement d'une hauteur patellaire normale, un suivi régulier et une bonne rééducation sont les conditions nécessaires à l'obtention d'un bon résultat.NANCY1-SCD Medecine (545472101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocNANCY1-Bib. numérique (543959902) / SudocSudocFranceF

    Orientation thérapeutique dans la prise en charge de la talalgie plantaire commune chronique (étude rétrospective comparative entre ondes de choc radiales et infiltration de corticoïdes d une série de 68 cas en Guadeloupe)

    No full text
    Objectif : Comparer l efficacité des injections locales de corticoïdes et la thérapie par ondes de choc radiales dans le traitement des talalgies plantaires communes ; ces deux traitements n ayant pas encore été comparés Patients et méthodes :Une étude rétrospective par série de cas sur un échantillon aléatoire stratifié, a été réalisée en Guadeloupe dans un cabinet libéral, chez des patients atteints de talalgie plantaire commune chronique, sur une période de 3 ans, entre le 01/01/2009 et le 31/12/2011. Ils ont eu soit un traitement par infiltration de corticoïdes ou par ondes de choc radiales. La douleur et la gêne fonctionnelle ont été évaluées par le score VISA-A avant et après le traitement. L efficacité des deux traitements a été évaluée au sein de chaque groupe et entre les deux groupes. Résultats : L âge moyen de la population était de 57 +- 12 ans. L indice de masse corporelle moyen était de 27,7 +- 4,5 kg/m2. Sur 68 patients inclus au total, 38 avaient reçu des ondes de choc radiales et 30 des infiltrations de corticoïdes. Les deux groupes initiaux étaient similaires en termes d âge, d indice de masse corporelle, d activité quotidienne et de la sévérité des symptômes avant le traitement. Les scores VISA-A pré et post thérapeutiques étaient significativement différents pour chaque type de traitement (p<0,0001). Aucune différence n a été mise en évidence entre l efficacité des deux traitements (p=0,7). Chez les patients ayant un score VISA-A pré-thérapeutique. Conclusion : Cette étude a permis de confirmer l efficacité des injections de corticoïdes et de la thérapie par ondes de choc radiales dans le traitement des talalgies plantaires communes chroniques. Par ailleurs, elle n a pas mis en évidence une différence significative entre ces deux modalités de traitement hormis chez les patients les plus algiques pour lesquels les ondes de choc radiales semblaient plus efficaces. Une étude prospective sur un plus grand échantillon serait souhaitable pour confirmer ou infirmer nos résultats.ABYMES-CHRUPPA-BU (971202102) / SudocSudocFranceF

    Thermoregulation, Hydration and Performance over 6 Days of Trail Running in the Tropics

    No full text
    International audienceThe purpose of this study was to investigate thermal response, hydration and performance over a 6-day, 142-km trail running race in tropical conditions. 9 participants competed in the 2011 Gwadarun (30 °C ± 2.4 °C and 82 ± 4 % RH). Data were collected on days 1, 4 and 6. Gastrointestinal temperature (T gi ) and heart rate (HR) were measured using portable telemetry units, whereas blood samples were collected for hematocrit, osmolarity, plasma concentrations, alkaline reserves and creatine phosphokinase. The performances expressed in speed were correlated with both total body water and body mas
    corecore