6 research outputs found

    Rare Case of Metastatic Colorectal Cancer to Uretral Meatus with Rapid Progression and Fatal Outcomes

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    Urethral metastases are extremely rare. A few cases of uretral metastasis in the literature have been found to arise from the colon. Because of the rarity of uretral metastasis and its similarity to primary uretral neoplasms, diagnosis is rarely evoqued. We report here a case of a 46-yearold female admitted to our hospital with complaints of rectal bleeding, bowel distension and urinary symptoms. Clinical examination revealed rectal mass associated with meatus urethral tumor. A biopsy yielded a diagnosis of rectal adenocarcinoma with metastasis to urethral meatus, and tumor cells were strongly and uniformly positive for CK20 and CDX2 at immunohistochemical analysis. A general examination has shown a sigmoid tumor with hepatic metastatic lesion. One month after diagnosis, the tumor grew rapidly, with hepatic invasion and therefore the patient was treated only by palliative care. She died from liver failure one month later. Although urethral metastasis originating from colon is rare, this entity is increasingly described. The synchronous character and the location of the metastasis in the uretral meatus, are two remarkable characteristics described in this case report. The purpose of presenting this case report is to raise awareness among clinicians to consider this clinical entity as a differential diagnosis when urethral mass is identified

    Liposarcome dédifférencie du cordon spermatique: difficultés thérapeutiques des grosses tumeurs

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    Le liposarcome du cordon spermatique est une entitĂ© rare : environ 100 cas ont Ă©tĂ© rapportĂ©s dans la littĂ©rature. Nous rapportons l’observation d’un homme ĂągĂ© de 42 ans, chez qui a Ă©tĂ© dĂ©celĂ©e une masse tumorale dĂ©veloppĂ©e aux dĂ©pens du cordon spermatique droit. Une orchidectomie droite avec exĂ©rĂšse large de la tumeur a Ă©tĂ© difficilement rĂ©alisĂ©e en raison de la taille importante de la masse. En post opĂ©ratoire, le patient a prĂ©sentĂ© une progression locale et mĂ©tastatique pulmonaire. Une mono chimiothĂ©rapie a Ă©tĂ© administrĂ©e Ă  base d’anthracycline mais le patient a dĂ©cĂ©dĂ© suite Ă  une progression rapide de la maladie. À travers cette observation, nous rapportons briĂšvement les donnĂ©es de la littĂ©rature de cette entitĂ© rare. Une exĂ©rĂšse large avec des marges saines, tant que possible, est indispensable pour le contrĂŽle local de la maladie. NĂ©anmoins, en cas de taille tumoral importante, comme le cas de notre patient, une exĂ©rĂšse complĂšte est souvent difficile. Vu le taux Ă©levĂ© de rechute locale, une stratĂ©gie combinĂ©e associant chirurgie et radiothĂ©rapie adjuvante peut ĂȘtre envisagĂ©e. Le rĂŽle de la chimiothĂ©rapie, bien qu’incertain, garde son indication dans les cas mĂ©tastatiques, surtout dans les sous types dĂ©diffĂ©renciĂ©s

    L’oncocytome renal a propos de 06 cas

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    L’oncocytome rĂ©nal est une tumeur bĂ©nigne rare reprĂ©sentant 5 % des tumeurs du rein. Son Ă©volution constamment favorable l’oppose Ă  l’adĂ©nocarcinome Ă  cellules granuleuses avec lequel il a Ă©tĂ© longtemps confondu. Nous rapportant une sĂ©rie de 6 cas d’oncocytomes rĂ©naux colligĂ©s au service d’urologie A durant une pĂ©riode de 17 ans (1990 Ă  2007) . Durant cette pĂ©riode, 125 patients ont Ă©tĂ© opĂ©rĂ©s d’une tumeur rĂ©nale, soit une frĂ©quence de 4.8 %. L’ñge moyen est de 53 ans (34 Ă  61ans), 5 femmes et un homme. La symptomatologie clinique est dominĂ©e par les lombalgies (5 cas) et l’hĂ©maturie (2 cas). La dĂ©couverte fortuite est notĂ©e une seule fois. L’échographie ne rĂ©vĂšle aucun signe caractĂ©ristique de l’oncocytome. La TDM rĂ©alisĂ©e chez tous les patients, montre une tumeur bien circonscrite, homogĂšne et hypodense (66.6 %), se rehaussant aprĂšs injection (83.3 %) et dont la zone centrale stellaire (50 %) est fortement Ă©vocatrice. Le diagnostic prĂ©opĂ©ratoire d’oncocytome est Ă©voquĂ© seulement chez 3 patients. La taille moyenne des tumeurs est de 8.75 cm de diamĂštre (6.5 Ă  12 cm). Tous les patients ont eu une nĂ©phrectomie Ă©largie. Le diagnostic de certitude n’a Ă©tĂ© possible qu’aprĂšs chirurgie et examen histologique de la piĂšce opĂ©ratoire. L’évolution est favorable avec un recul moyen de 12 mois
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