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    Grecs et indigènes de la Catalogne à la mer Noire

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    Le programme de travail qui aboutit à ce livre s’inscrit dans le cadre du réseau d’excellence européen Ramses2, initié par la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme. Une demi-douzaine de tables rondes ont réuni entre 2006 et 2008, d’un bout à l’autre de la Méditerranée (à Empúries, Aix-en-Provence, Palerme, Naples, Athènes), quelque soixante-dix chercheurs essentiellement français, italiens et espagnols, mais aussi anglais, grecs, bulgares, roumains, canadiens et russes. Il s’agissait d’étudier les rapports d’acculturation entre colons grecs et populations indigènes, en tenant compte des différences géographiques et chronologiques mais aussi de l’historiographie et des habitudes de recherche des diverses institutions. Les nombreuses communications qui ont jalonné les six tables rondes sont ici la plupart du temps précédées de textes introductifs. Une première partie, consacrée aux approches régionales, permet d’illustrer l’état de la recherche dans quelques régions choisies (autour d’Empuries, d’Himère, de Marseille, de Vélia, en Thrace et en mer Noire). La seconde partie, thématique, aborde un certain nombre de thèmes de recherche dans les régions précédentes, mais aussi dans d’autres régions du monde de la colonisation grecque. Le point de vue adopté dans ce livre est d’abord celui de la culture matérielle ; l’approche en est essentiellement archéologique. On se demandera par exemple quels sont les indices archéologiques qui permettent de dire si un site est habité par des Grecs, par des indigènes ou par une population “mixte”, et comment ces indices ont été appréciés selon les périodes et selon les régions. Beaucoup de communications présentent des synthèses régionales ou thématiques, mais une large place est faite également à des sites inédits, pour lesquels on n’a pas hésité à livrer une abondante documentation (plans, matériel de fouille). C’est en effet par le renouvellement de la documentation archéologique que nous pouvons espérer avancer dans la compréhension des rapports d’acculturation entre les colons grecs et les populations locales

    Settore E

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    Rilievo fittile da Himera

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    Studio su un rilievo fittile di tradizione locrese

    Himera. Il quartire portuale alla foce del fiume Imera

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    Prime ricerche nel quartiere portuale di Himera

    Settore A

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    Lo scavo dell'Italtel

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    La chiusura degli intercolumni nel Tempio della Vittoria

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    Un attento riesame delle strutture superstiti del Tempio della Vittoria, costruito ad Himera dopo la vittoria del 480 a.C. contro i Cartaginesi e riportato alla luce da Pirro Marconi alla fine degli anni ’20 del secolo scorso, ha consentito di scoprire che la peristasi dell’edificio, almeno sui lati lunghi, era chiusa da setti murari, la cui realizzazione può ritenersi contestuale alla costruzione del tempio. Alla luce di questa scoperta l’edificio assume una nuova posizione nell’ambito dell’architettura dorica dell’Occidente, e si accosta a quel filone sperimentale che interviene sulla concezione tradizionale della peristasi, esemplificato da altri templi della generazione precedente, come il Tempio F di Selinunte. Resta senza risposta la domanda se tale caratteristica risalisse al progetto originario o se sia stata introdotta in corso d’opera; come è difficile stabilire se la chiusura degli intercolumni assolvesse ad una funzione pratica o meramente estetica

    Il Settore I

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