La place du médecin généraliste dans la pathologie chronique VIH (revue de la littérature, proposition d'un abrégé de la prise en charge)

La pathologie du VIH est devenue une pathologie chronique. En France une majorité des patients sont en succès immunovirologique. Pour autant le suivi de ces patients reste principalement hospitalier. La revue de la littérature et l'étude des dernières recommandations françaises de prise en charge des patients infectés par le VIH permettent d'établir un plan de surveillance. Les caractéristiques de la médecine générale répondent aux nouveaux besoins du suivi des patients stabilisés. On peut donc déterminer au médecin généraliste un rôle dans la continuité des soins, la surveillance de l'efficacité et de la tolérance des traitements. Il peut participer au dépistage et à la prise en charge des complications chroniques de l'infection à VIH et de son traitement. Le passage du suivi en ambulatoire nécessiterait une formation adaptée aux médecins généralistes et une amélioration de la communication entre l'hôpital et les soins primaires.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

La critique d'art à l’écran (Tome 2)

Filmer l’écrivain, est-ce filmer une vie, un statut institutionnel, une parole ? L’émission littéraire ou la critique filmée sur internet ont-elles pour but de rapprocher le public de littérature ? La dimension patrimoniale et didactique du film sur la littérature, la starisation liée à l’incarnation des auteurs semblent dominer les discours cinématographiques et télévisuels. Peut-on alors parler de critique ? Ou avons-nous affaire à la constitution d’un pur objet de culture ? Les études ici rassemblées témoignent qu’un discours critique est en jeu dès lors que le cinéma ou la télévision engagent un geste de mythification ou de démystification. L’ouvrage mettra également en avant les ressources propres dont le film dispose pour explorer ce qui apparaît comme au cœur de l’expérience littéraire : la production d’effets qui dépassent le fonctionnement linguistique et relèvent de la matérialité de l’écrit, du corps, de la naissance des images, des rythmes et des sons et par-dessus tout sans doute, comme le cinéma, d’une méditation sur le temps et la mémoire.Does a film about a writer represent a life, an institutional position, or a discourse? Is the goal of literary television programs or on-line critical videos to make literary more accessible? Questions of cultural heritage and education, as well as the “star” status of writers, seem to dominate cinematographic and televisual approaches to literature: is the term “literary criticism” justified in these cases, or would it be more appropriate to consider these works as pure cultural objects