21 research outputs found
Multi-Cancer Early Detection: Understanding the Pathfinder Study and Clinical Implementation
Multi-cancer early detection (MCED) assays represent a new paradigm in cancer screening with the potential to deliver on the promise of earlier detection of many cancers with a single test. This technology is quickly moving into the mainstream, which means more patients will be asking about it. In this webinar, we will explore the results of the Pathfinder Study, which evaluated the Galleri test, and we’ll hear how practitioners are implementing this cutting-edge technology into their practices
Le temps d’une candidature : Être candidat dans la 20e circonscription du Nord
Envisagée comme une machine électorale, toute formation politique suscite invariablement des réflexions sur les modalités de désignation de ses candidats lors des différentes échéances électorales, sur la mobilisation des soutiens dont elle peut se prévaloir et sur les logiques d’alliances qu’elle est susceptible de mettre en place. La présente contribution, en s’inscrivant dans l’analyse de la candidature, a pour objet de s’arrêter avant tout sur le candidat lui-même, sur les éléments auxque..
1981-1988 : les difficultés des relations entre UDF et RPR
Le 1er janvier 1981, Valéry Giscard d’Estaing, président de la République, s’apprête à se lancer dans la campagne électorale de l’élection présidentielle prévue pour le printemps avec un objectif simple : assurer sa réélection à l’Élysée. Raymond Barre, quant à lui, occupe depuis 1976 le poste de Premier ministre. Le Sénat, depuis 1968, est présidé par Alain Poher. Seule personnalité qui ne relève pas de la sphère centriste et libérale, autant dire l’UDF, Jacques Chaban-Delmas, gaulliste hist..
Le nouveau sacre des notables. Candidats et élus dans le département du Nord
La législation électorale fixe de manière précise les conditions d’éligibilité des candidats dans le cadre des élections cantonales. L’article L. 194 du Code électoral précise ainsi que « nul ne peut être élu conseiller général s’il n’est pas âgé de vingt et un ans révolus. Sont éligibles au conseil général tous les citoyens inscrits sur une liste électorale ou justifiant qu’ils devaient y être inscrits avant le jour de l’élection, qui sont domiciliés dans le département, et ceux qui, sans y ..
Des roses en mars
Les élections intermédiaires sont souvent des échéances difficiles pour la majorité. Ainsi, les cantonales de 1982 sonnèrent la fin de « l’état de grâce » pour François Mitterrand, élu moins d’un an plus tôt Président de la République. De même, les cantonales et régionales de 1992 annoncèrent la déroute de la gauche l’année suivante. Le PS perdit quelques-uns de ses bastions, dont la présidence du conseil régional du Nord/Pas-de- Calais conquise à cette date par les Verts, et celle du conseil général du Nord gagnée alors par le RPR. Le Pas-de-Calais confirmant son orientation socialiste, la région revêtait des couleurs politiques multiples et inédites : verte, bleue et rose. Neuf mois après le scrutin législatif de 1997 consacrant à nouveau l’alternance, les élections cantonales et régionales de 1998 apparaissent, d’abord, comme une confirmation du résultat des élections législatives. Dans l’ensemble du pays, la gauche conquiert nombre de régions et de départements abandonnés six ans plus tôt, même si sa victoire fut peut-être moins ample que prévue. Le Nord/Pas-de-Calais est, à nouveau, une terre exclusivement socialiste, marquée par l’accession de Michel Delebarre à la tête du conseil régional, le retour de Bernard Derosier à la présidence du conseil général du Nord et la réélection de Roland Huguet à celle du Pas-de-Calais. L’ouvrage contient huit contributions, qui permettent de situer les enjeux du scrutin, de suivre la campagne et d’éclairer les résultats. Une place particulière est réservée à l’étude du personnel politique local, auquel sont consacrés trois chapitres. Figurent également, en annexe, les résultats des élections cantonales et des élections régionales (par département, circonscription et canton), la liste des élus, ainsi que la composition des nouveaux exécutifs
Histoire de l'UDF
Fondée le 1er février 1978, l'Union pour la démocratie française a été pendant trente ans l'un des grands partis politiques français. Bien que la création de l'UMP en 2002 puis celle du MoDem en 2007 aient finalement scellé son sort, l'UDF a joué un rôle de tout premier plan dans la vie politique nationale. Structurée de façon originale par rapport à ses concurrents, elle rassembla quelques-unes des plus anciennes familles politiques (libéraux, radicaux, démocrates-chrétiens), ce qui fit sa complexité. Par ses élus, l'UDF a dirigé des milliers de communes, des dizaines de départements et de régions. Elle a participé pendant près de 20 ans au gouvernement de la France. À travers son fondateur, elle a même contrôlé la présidence de la République de 1978 à 1981. Aucune histoire globale de l'UDF n'existait encore à ce jour. Les chercheurs et les acteurs-témoins de ce livre, issu d'un colloque tenu en novembre 2011, ont voulu combler cette lacune
La revanche de la gauche
Les français prennent goût à l’alternance. Depuis 1981, la majorité sortante a systématiquement été sanctionnée lors des élections législatives. Après la gauche, qui avait subi une déroute lors du scrutin de 1993, c’est au tour de la droite de connaître la défaite en 1997. Le Nord/Pas-de- Calais n’échappe pas au mouvement national : la terre de Jules Guesde, de Roger Salengro, de Guy Mollet et de Pierre Mauroy avait basculé à droite en 1993, puisque celle-ci avait conquis 24 sièges sur 38 ; elle accorde cette fois ses faveurs à la gauche, qui dispose désormais de 31 députés, contre 7 à la droite. Dans le Nord/Pas-de-Calais plus qu’ailleurs, les élections législatives de 1997 sonnent bien comme la revanche de la Gauche. L’ouvrage contient huit contributions, qui permettent de suivre le déroulement de la campagne électorale et d’éclairer les résultats. Figurent également, en annexe, les scores de tous les candidats, dans les trente-huit circonscriptions de la région Nord-Pas-de-Calais
Hypogonadism associated with Cyp19a1 (Aromatase) posttranscriptional upregulation in Celf1 knockout mice
International audienceCELF1 is a multifunctional RNA-binding protein that controls several aspects of RNA fate. The targeted disruption of the Celf1 gene in mice causes male infertility due to impaired spermiogenesis, the post-meiotic differentiation of male gametes. Here, we investigated the molecular reasons that underlie this testicular phenotype. By measuring sex hormone levels, we detected low concentrations of testosterone in Celf1-null mice. We investigated the effect of Celf1 disruption on the expression levels of steroidogenic enzyme genes, and we observed that Cyp19a1 was upregulated. Cyp19a1 encodes aromatase, which transforms testosterone into estradiol. Administration of testosterone or the aromatase inhibitor Letrozole partly rescued the spermiogenesis defects, indicating that a lack of testosterone associated with excessive aromatase contributes to the testicular phenotype. In vivo and in vitro interaction assays demonstrated that CELF1 binds to Cyp19a1 mRNA, and reporter assays supported the conclusion that CELF1 directly represses Cyp19a1 translation. We conclude that CELF1 downregulates Cyp19a1/Aromatase post-transcriptionally to achieve high concentrations of testosterone compatible with spermiogenesis completion. We discuss the implications of these findings with respect to reproductive defects in men, including patients suffering from isolated hypogonadotropic hypogonadism and myotonic dystrophy type I