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    DĂ©terminants des parasitoses intestinales chez les enfants VIH-positifs Ă  Kinshasa: Determinants of intestinal parasitosis with HIV positive in Children, Kinshasa

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    Context and objective. HIV-induced immunosuppression is linked to various infectious complications among which, intestinal parasitoses (IP). Despite high frequency, data on this co-infection are scarce in sub-Saharan Africa. This study assessed the extent of IP in HIV-seropositive children (HIV+) followed in Kinshasa’s referral hospitals. Methods. A multicenter cross-sectional study looking at HIV-positive children (HIV+), aged 18 months to 15 years, was conducted in eight referral hospitals in Kinshasa. Sociodemographic data were recorded, and stool and blood samples were collected from each participant. Parasitological examinations on stool (direct stool and after concentration), as well as Kinyoun (modified Ziehl), were carried out in the parasitology laboratory of the Faculty of Medicine, University of Kinshasa and the level of CD4 T lymphocytes in the blood determined in the reference laboratory of the General Referral Hospital of Kinshasa. Results. Two hundred twenty-seven children (sex ratio M/F: 1.1/1) were examined. Of these, 56 (24.6%, 95% CI: 19.0 -30.3%.) were infected with at least one of the following intestinal parasites: Ascaris lumbricoides (12.8%), Trichiuris trichiura (11.9%), Schistosoma mansoni (0.4%), Entamoeba coli (5.7%) and Giardia intestestinalis (1.8%). Cryptosporidium sp and Isospora belli were not detected. The parents’ low level of education was significantly associated with IP (p = 0.039). Conclusion. In Kinshasa, one in four HIV-positive children, mainly from households with low educational level, has IP. Health education and basic hygiene measures should be promoted as primary strategic tools for prevention and control of IP. Contexte et objectif. L’immunodépression induite par le VIH s’accompagne d’infections diverses et certaines parasitoses intestinales (PI) y sont fréquemment associées. Les données relatives à cette co-infection sont fragmentaires en Afrique subsaharienne. La présente étude a évalué l’ampleur des parasitoses intestinales chez les enfants seropositfs pour le VIH (VIH+) suivis dans les hôpitaux de référence de Kinshasa. Méthodes. Une étude transversale multicentrique a été menée dans huit hôpitaux de référence de Kinshasa, incluant 227 enfants séropositifs pour le VIH (VIH+), âgés de 18 mois à 15 ans. Les données sociodémographiques ont été enregistrées, et les échantillons de selles et de sang collectés chez chacun des participants. Les examens parasitologiques sur selles (selles directes et après concentration), ainsi que le Kinyoun (Ziehl modifié, ont été réalisés au laboratoire de parasitologie de la faculté de Médecine, et le taux de lymphocytes T CD4 sanguin déterminé au laboratoire de référence de l’Hôpital Général de Référence de Kinshasa. Résultats. Deux cent vingt sept enfants (sexe ratio H/F : 1,1/1) ont été examinés. Parmi eux, 56 (24,6%, IC 95% :19,0 -30,3%.) étaient infectés par au moins un des parasites intestinaux suivants: Ascaris lumbricoïdes (12,8%), Trichiuris trichiura (11,9%), Schistosoma mansoni (0,4%), Entamoeba coli (5,7%) et Giardia intestinalis (1,8%). Cryptosporidium sp et Isospora belli n’ont pas été détectés. Le niveau bas d’étude des parents a été significativement associé aux PI (p = 0,039). Conclusion. A Kinshasa, un enfant VIH-séropositif sur quatre, surtout issu d’un ménage où le niveau d’instruction des tuteurs était bas, présente une PI. L’éducation sanitaire et les mesures élémentaires d’hygiène sont à promouvoir comme moyen primordial de prévention et de lutte contre ces PI

    BARRIERES AU CONTROLE ADEQUAT DE LA PRESSION ARTERIELLE DANS LES STRUCTURES SANTAIRES DU NIVEAU PRIMAIRE DE LA VILLE DE KINSHASA EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

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    Introduction La République Démocratique du Congo (RDC) est caractérisée actuellement par une fréquence élevée des maladies cardiovasculaires, dont l’hypertension artérielle (HTA) constitue un facteur de risque majeur. Ceci sous-entend entre autres un faible contrôle de l’HTA qui peut être influencé par plusieurs facteurs à savoir le système de santé, les prestataires des soins et les patients. D’où une série d’études a été menée pour identifier les barrières au contrôle de la pression artérielle en vue de contribuer à la réduction de la morbidité et de la mortalité cardiovasculaire en RDC. Et cela par la définition d’un cadre de prise en charge globale du risque cardiovasculaire au niveau des structures sanitaires de base qui constituent le premier contact entre la communauté et le système de santé.Méthodes Six études ont été menées dans la ville de Kinshasa de 2013 à 2015. La première étude, était transversale et a été conduite auprès des prestataires de soins pour évaluer leur niveau de connaissances et pratiques sur les facteurs de risque cardiovasculaires en général et l’HTA en particulier. Au total, 102 infirmiers de 36 centres de santé (CS) ont été interviewés.La deuxième étude également transversale, était conduite auprès des malades hypertendus suivis dans les CS de la ville de Kinshasa pour déterminer les facteurs associés à la non-adhérence au traitement, qui est l’un des principaux facteurs de risque de non contrôle de l’hypertension artérielle. Au total 395 patients hypertendus sous traitement médical étaient interviewés.La troisième étude, transversale a été effectuée auprès de 280 patients hypertendus suivis dans les CS pour mesurer la fréquence du recours à la médecine alternative et complémentaire ainsi que leurs facteurs de risque.La quatrième étude avait comme objectif de déterminer l’association entre le contrôle de l’HTA et le niveau des soins. Pour ce faire, une étude transversale a été conduite auprès de 260 patients hypertendus dont 130 suivis par les médecins dans les formations sanitaires (FOSA) de deuxième échelon (Hôpitaux Généraux de Référence) et 130 autres suivis par les infirmiers au niveau des CS. La cinquième étude a consisté en une étude des caractéristiques de base des patients avant de mettre en place une intervention. Au total 974 patients hypertendus éligibles enrôlés dans les ménages ont été référés dans les CS et enquêtés. Cette étude avait comme objectif de déterminer la fréquence des facteurs de risque cardiovasculaire (FRCV) auprès des malades hypertendus et leurs facteurs associés.La sixième étude a consisté en un essai randomisé par grappes, 974 patients enrôlés ont été répartis dans 12 centres de santé dont six étaient affectés de manière aléatoire à l’intervention et six autres ont servi de contrôle. Les patients ont été suivis pendant une année et l’objectif était de déterminer l’effet de la formation des prestataires des soins sur le contrôle de la pression artérielle et des autres FRCV. Résultats L’enquête auprès des prestataires de soins a trouvé que seuls 9,5% avaient déjà bénéficié d’une formation en cours d’emploi sur les FRCV, à peine près de la moitié (51,7%) disposaient des protocoles pour la prise en charge de l’HTA. Moins d’un quart connaissaient le seuil de positivité de l’HTA (22,5%), du diabète (3,9%) et de l’obésité (2,9%). Seuls 14,7% connaissaient les objectifs thérapeutiques pour un patient hypertendu non compliqué. Les antihypertenseurs utilisés n’étaient pas appropriés selon les recommandations utilisées.La deuxième enquête a trouvé une faible proportion de patients hypertendus ayant une pression artérielle contrôlée (15,6 % ;IC95 % :12,1%–20,0%) ;en outre plus de la moitié n’étaient pas adhérents au traitement médical (54,2 % ;IC 95 % :47,3–61,8). L’étude a trouvé que la non adhérence au traitement était liée au non contrôle de la PA (OR = 2,0; IC 95 % :1,1–3,9). Les facteurs associés à la non adhérence étaient le faible niveau de connaissances des complications de l’HTA (OR = 2,4; IC 95 % :1,4–4,4) ;le fait de ne pas bénéficier des séances d’éducation sanitaire (OR = 1,7; IC 95 % :1,1–2,7) ;la non disponibilité des antihypertenseurs dans la formation sanitaire (OR = 2,8; IC 95 % :1,4–5,5); la présence des effets secondaires (OR = 2,2; IC 95 % :1,4–3,3) et le fait de prendre des médicaments non prescrits par les prestataires de soins (OR = 2,2; IC 95 % :1,2–3,8).La troisième étude a trouvé que plus d’un quart de patients hypertendus recouraient aux soins alternatifs et complémentaires (26,1% ;IC 95 %: 20,7% - 31,8%). Les types de soins alternatifs les plus cités étaient l’usage des plantes médicinales (42,5%) et la prière (35,6%). Les facteurs associés à ce recours étaient la mauvaise perception de la curabilité de l’HTA (OR = 2,1; IC 95 %: 1,1-3,7) et l’expérience des effets secondaires (OR = 2,9; IC 95 %: 1,7-5,1). La mauvaise perception de la curabilité de l’HTA était quant à elle associée à la religion et à la durée de l’HTA.La quatrième étude a trouvé qu’il n’y avait pas de différence en termes de contrôle de la pression artérielle entre les malades suivis au niveau des FOSA de deuxième échelon et ceux suivis au niveau des FOSA de premier échelon (CS) (23,8% vs 22,3%, p = 0.771) quoi qu’en moyenne par mois dans un CS, un malade dépense 7,7 US±0,6US ± 0,6 US alors que dans une FOSA de deuxième échelon cette dépense moyenne est de 34,2 US±3,34US ±3,34US. Les facteurs associés au non contrôle de la PA étaient la présence de comorbidité(OR= 10,3; IC95%: 3,8 – 28,3) et le type d’antihypertenseurs utilisé (OR= 4,6; IC95%: 1,3 –16,1).La cinquième étude a trouvé une prévalence importante d’autres facteurs de risque cardiovasculaire auprès des malades hypertendus. La consommation de légumes et de fruits était à 65,8% ;la surcharge pondérale /obésité à 57,7% ;l’usage non modéré de l’alcool à 43,9% ;l’inactivité physique à 42,3% et la consommation du tabac était de 5,4%. Ces facteurs de risque étaient différemment repartis en fonction du milieu de résidence. La fréquence de l’obésité chez les malades hypertendus était quasiment le double de celle de la population générale. La surcharge pondérale/obésité était associée au sexe féminin en milieu urbain (OR= 2,7; IC 95%: 1,6-4,9) tandis qu’en milieu rural, elle était associée au haut niveau d’étude (OR= 3,0; IC 95%: 1,1-7,8), à l’inactivité physique (OR=5,3; IC 95%: 1,2-23,6) et à un régime alimentaire pauvre en légumes et fruits (OR= 3,3; IC 95%: 1,1-10).La dernière étude, l’essai randomisé par grappes, a trouvé que la formation des prestataires des soins a eu un effet sur la réduction de la pression artérielle dans le groupe intervention par rapport au groupe contrôle :-8,1 mm Hg de différence entre la PAS du recrutement et celle du douzième mois. L’étude a également rapporté que les patients du groupe intervention avaient plus de probabilité d’être contrôlés à toutes les visites que ceux du groupe contrôle (OR= 6,4 ;IC 95%: 1,8-22,5). L’étude n’a pas trouvé d’effet de l’intervention sur les autres facteurs de risque cardiovasculaire, excepté pour la consommation de légumes où les patients du groupe intervention avaient deux fois plus de chance d’augmenter la quantité des légumes consommée que ceux du groupe contrôle (OR=2,2; IC 95%: 1,3-3,8).Discussion et conclusion Ces études ont montré que les barrières au contrôle adéquat de la pression artérielle décrites dans la littérature s’appliquent pour la ville de Kinshasa en RDC. La faiblesse du système de santé peut expliquer en grande partie ce faible contrôle de la PA. Le fait de ne pas disposer des protocoles de prise en charge et de ne pas bénéficier d’une formation en cours d’emploi peut expliquer le faible niveau des connaissances et de pratiques des prestataires des soins. Ces derniers, non informés, ne peuvent rien transmettre aux patients comme informations sur leur maladie. Du côté patients, il a été noté un problème de faible motivation, et d’insatisfaction qui se sont traduites par la faible adhérence au traitement ;et au recours aux soins complémentaires et alternatifs. En dépit du fait que l’intervention ait corrigé certaines barrières, la proportion de contrôle de la PA est restée faible au bout de 12 mois de suivi. Et malgré l’accessibilité financière et géographique, il y a eu une très faible utilisation spontanée des services par les malades hypertendus. Il est donc possible d’améliorer le contrôle de l’hypertension artérielle dans les structures sanitaires du niveau primaire de la ville de Kinshasa, en mettant en place un protocole simple de prise en charge, un outil d’éducation des patients mais il est important d’utiliser une approche plus centrée sur le patient pour améliorer sa motivation.Doctorat en Santé Publiqueinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Effet de la formation en Initiative des Hôpitaux Amis des Bébés sur la durée de l'allaitement maternel exclusif à Kinshasa: Un essai randomisé par grappes

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    Background: Despite numerous advantages of breastfeeding, in Democratic Republic of the Congo, the rate of children exclusively breastfed up to six months remains low. The lack of breastfeeding support received by mothers from health care providers is an important factor of early cessation of breastfeeding. This study aimed to evaluate the effect of the training of health care providers, in the Baby Friendly Hospital Initiative, on the duration of exclusive breastfeeding (EBF) in Kinshasa. Methods: A total of 422 mothers, recruited during the first antenatal care visit in 12 maternities and followed up to six months after delivery, were included in a cluster randomized trial. In the experimental group, health care providers were trained using the "20-Hour Course For Maternity Staff". Cox proportional hazards model was used to determine the effect of the intervention on the duration of EBF. Results: The rate of EBF at six months was 2.8%; the median duration of EBF was 10.9 weeks (IQR 4.3 to 14.9). The hazard of discontinuing EBF before six month was 1.4 times higher in the control group (adjusted HR [95%CI]. = 1.40 (1.10-1.78), P= 0.007). Conclusion: In this study, training of health care providers in the Baby Friendly Hospital Initiative was associated with a significant improvement in the duration of EBF. Extending this training to different maternities could improve the coverage of EBF in Kinshasa.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    DETECTION OF FACIAL DYSMORPHISM IN CENTRAL AFRICAN PATIENTS

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    INTRODUCTION AND METHODS Recent advances in morphometric analysis have explored the possibility to perform an objective evaluation of the facial gestalt from 2D or 3D facial images and find a reliable syndrome match. This requires matching the face of a patient with similar patients in a database of individuals with known syndromes (Hammond, Hutton et al. 2005; Ferry, Steinberg et al. 2014). Such a user-friendly tool holds great promise of reaching a rapid diagnosis for common genetic syndromes. Especially in low resource countries, where access to laboratory testing is limited, the potential of such a tool is great. Studying dysmorphism in Central Africa is challenging, because the facial morphology in normal individuals presents obvious differences between African and other populations (Talbert, Kau et al. 2014). In addition, the craniofacial presentation of some syndromes in a patient of African origin may differ from a Caucasian with the same syndrome as showed for the del22q11, Fragile X and fetal alcohol syndromes (McDonald-McGinn et al. 2005; Schwartz, Phelan et al. 1988; Moore, Ward et al. 2007). We aimed to assess the performance of the existing computed phenotyping tool Face2Gene, at the current stage of its development, to recognize Down syndrome in Congolese versus Caucasian patients. The study is part of an etiological diagnostic study in 127 patients with intellectual disability, recruited in 6 specialized clinics and schools in Kinshasa in the DR Congo. We uploaded to Face2Gene the facial photographs of 17 DS patients from Congo and 20 DS patients from Flanders in Belgium. Patients from the 2 groups were sex and age matched. Our research protocol was approved by the Ethical Committee of the University of Kinshasa, Kinshasa, the DR Congo. RESULTS Face2Gene reported DS match within the first 10 matches in 16 (80 %) Belgian patients but only in 7 (35.29 %) Congolese patients. In Congolese patients, Down syndrome was the first suggested match in 2, ranked within the first 5 matches in 5 and within the first 10 in 6 of them. Conversely, Down syndrome was the first suggested match in 8, ranked within the first 5 matches in 13 and within the first 10 in 17 of them in the 20 Flemish cases. The mean rank in the Congolese patients was 8.29, which is significantly lower than the mean 4.65 recorded from Europeans (p = 0.004446 ± 0.000674). Altogether, Face2Gene showed an Accuracy of 0.35 in Congolese against 0.8 in Belgians and a Precision of 1 in both groups. DISCUSSION Our data indicate that the system has a high precision in both groups. However, the accuracy in the Caucasian cohort was much higher compared to the African cohort. This is interesting, since it confirms that there are differences in facial appearance of Caucasian versus African Down syndrome patients. The most likely explanation why Face2gene is underperforming in Congolese Down syndrome is that the tool is trained mostly with Caucasian cases. We therefore anticipate that the performance will improve when the system is trained with more Down syndrome cases from Central Africa. A collaborative effort to test this hypothesis is ongoing. Likewise, we expect that the efficiency of Face2Gene might improve if an increasing number of cases with a known diagnosis are uploaded

    Prevalence and determinants of use of complementary and alternative medicine by hypertensive patients attending primary health care facilities in Kinshasa, Democratic Republic of the Congo: a cross-sectional study.

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    In the Democratic Republic of the Congo the control of hypertension is poor, characterized by an increasing number of reported cases of hypertension related complications. Poor control of hypertension is associated with non-adherence to antihypertensive medication. It is well established that the use of complementary and alternative medicine is one of the main factors of non-adherence to antihypertensive medication. The aim of this study is to determine the prevalence and factors associated with the use of complementary and alternative medicine.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Assessment of hypertension management in primary health care settings in Kinshasa, Democratic Republic of Congo.

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    Hypertension-related complications have become more diagnosed at secondary and tertiary care levels, in the Democratic Republic of the Congo (DRC), probably indicative of poor management of hypertensive patients at primary health care level. This study aimed to assess the management of hypertension in primary health care settings by using guidelines of the International Forum for Prevention and Control of HTN in Africa (IFHA).SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
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