32 research outputs found

    Session 2 : Production culturelle. Débat sous la direction d'Edgardo Manero (CNRS/EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 3 : Résistance et droits de l'homme. Débat sous la direction de Jean Hébrard (EHESS) : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 3 : Résistance et droits de l'homme. Débat sous la direction de Jean Hébrard (EHESS) : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 2 : Production culturelle. Débat sous la direction d'Edgardo Manero (CNRS/EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une collaboration entre le CRBC et le programme ESCoM-AAR.L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 1 : La nature du régime. - Débat sous la direction de James N. Green (Brown University). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 4 : Mémoire, héritage et perspectives comparées. Débat sous la direction de Mônica Raisa Schpun (EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Session 4 : Mémoire, héritage et perspectives comparées. Débat sous la direction de Mônica Raisa Schpun (EHESS). : 1964 : La dictature brésilienne et son legs (Colloque international, EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).L’année 2014 marque le 50e anniversaire du coup d’État militaire qui renversa le gouvernement démocratique du président brésilien João Goulart et fut le début de vingt-et-un ans de dictature militaire (1964-85). Les deux décennies suivantes s’accompagnèrent de limitations rigoureuses des droits civiques, ainsi que de censures de la presse, du théâtre et du cinéma. On y observa un usage systématique de la torture afin de réduire l’opposition au silence, et des mesures appuyées par l’État qui causèrent la mort et la disparition de centaines d’opposants au régime.Le contexte actuel de retour mémoriel, avec la mise en place des Commissions de la vérité, nous invite à revisiter cette période et la très vaste littérature produite sur la question par des historiens, des sociologues, des politologues aux approches les plus diverses. Le débat reste intense, au Brésil mais aussi à l’étranger, dans les milieux du « brésilianisme ».Ce colloque international de deux jours sur la dictature brésilienne est organisé par la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales et coïncide avec la publication d’un dossier sur ce sujet (numéro 5, mai 2014), coordonné par James Green (Brown University).Ces journées seront organisées autour de quatre thèmes : la nature du régime, la production culturelle, la résistance et les droits de l’homme, et enfin, mémoire, heritage et perspectives comparées

    Franchissant des frontières : la biographie d'un militant de la lutte armée en Amérique du sud. : Séminaire de Mônica SCHPUN : "Midis de la revue Brésil(s)" (EHESS, Paris 2014).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).Le CRBC et l’UMR Mondes Américains présentent leur nouvelle revue électronique "Brésil(s) – Sciences humaines et sociales". Éditée par le Centre de Recherches sur le Brésil Colonial et Contemporain (CRBC-Mondes Américains/EHESS), elle est publiée par les Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme. Elle prend la suite des Cahiers du Brésil Contemporain fondés en 1987 par Ignacy Sachs et dirigés jusqu'en 2010 par Marion Aubrée. Cette publication semestrielle, ouverte à toutes les disciplines, a pour objectif de faire connaître une pluralité de thèmes et d’approches, notamment dans une visée comparatiste. Il s’agit de (re)placer le Brésil, son histoire, sa société, ses espaces dans des perspectives plus larges issues de débats théoriques et de recherches empiriques capables d’en renouveler l’analyse et la perception. Chaque numéro comporte un dossier thématique et un Varia composés, l’un et l’autre, d’articles inédits. Objectifs scientifiques: Le rôle que tient le Brésil dans le monde contemporain n’est plus à démontrer. Cette économie dite « émergente », confrontée à l’un des plus importants défis écologiques de la planète, est aussi un riche laboratoire politique de la démocratie, des luttes contre la pauvreté et contre la discrimination raciale, même si les disparités sociales et les violences qu’elles engendrent restent une part de son quotidien. Mieux connaître ce territoire exceptionnel et les multiples ensembles internationaux dans lesquels il s’insère est, plus que jamais, une nécessité : de nombreux paradigmes de la modernité et de la postmodernité s’y sont forgés. C’est à cette tâche que la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales se consacre. De plus, la revue se veut une plateforme de la recherche brésilianiste internationale et souhaite multiplier les mises en perspectives, les commentaires croisés, les confrontations. Une série d’événements, liés à son calendrier éditorial, renforcent ces échanges. La parution de chaque nouveau numéro est l’occasion d’une rencontre internationale (atelier, journée d’étude, colloque) et, une fois par mois, un « Midi de Brésil(s) » offre à un brésilianiste reconnu l’occasion de dialoguer avec un public d’autant plus large que la conférence est mise en ligne sur le site des Archives audiovisuelles de la recherche (Fondation Maison des sciences de l’Homme)

    La Commission de la Vérité au Brésil : interrogations à partir de la douleur. : Séminaire de Mônica SCHPUN : "Midis de la revue Brésil(s)" (EHESS, 2012).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).Le CRBC et l’UMR Mondes Américains présentent leur nouvelle revue électronique "Brésil(s) – Sciences humaines et sociales". Éditée par le Centre de Recherches sur le Brésil Colonial et Contemporain (CRBC-Mondes Américains/EHESS), elle est publiée par les Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme. Elle prend la suite des Cahiers du Brésil Contemporain fondés en 1987 par Ignacy Sachs et dirigés jusqu'en 2010 par Marion Aubrée. Cette publication semestrielle, ouverte à toutes les disciplines, a pour objectif de faire connaître une pluralité de thèmes et d’approches, notamment dans une visée comparatiste. Il s’agit de (re)placer le Brésil, son histoire, sa société, ses espaces dans des perspectives plus larges issues de débats théoriques et de recherches empiriques capables d’en renouveler l’analyse et la perception. Chaque numéro comporte un dossier thématique et un Varia composés, l’un et l’autre, d’articles inédits. Objectifs scientifiques: Le rôle que tient le Brésil dans le monde contemporain n’est plus à démontrer. Cette économie dite « émergente », confrontée à l’un des plus importants défis écologiques de la planète, est aussi un riche laboratoire politique de la démocratie, des luttes contre la pauvreté et contre la discrimination raciale, même si les disparités sociales et les violences qu’elles engendrent restent une part de son quotidien. Mieux connaître ce territoire exceptionnel et les multiples ensembles internationaux dans lesquels il s’insère est, plus que jamais, une nécessité : de nombreux paradigmes de la modernité et de la postmodernité s’y sont forgés. C’est à cette tâche que la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales se consacre. De plus, la revue se veut une plateforme de la recherche brésilianiste internationale et souhaite multiplier les mises en perspectives, les commentaires croisés, les confrontations. Une série d’événements, liés à son calendrier éditorial, renforcent ces échanges. La parution de chaque nouveau numéro est l’occasion d’une rencontre internationale (atelier, journée d’étude, colloque) et, une fois par mois, un « Midi de Brésil(s) » offre à un brésilianiste reconnu l’occasion de dialoguer avec un public d’autant plus large que la conférence est mise en ligne sur le site des Archives audiovisuelles de la recherche (Fondation Maison des sciences de l’Homme)

    Les frontières du Brésil et la construction de l'indianité : le Maréchal Rondon et le Colonel Reis. : Séminaire de Mônica SCHPUN : "Midis de la revue Brésil(s)" (EHESS, 2012).

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    Fonds audiovisuel issu d'une coopération entre Mônica Raisa Schpun (EHESS) et le programme "ESCoM-AAR" (Equipe Sémiotique Cognitive et nouveaux Médias - Archives Audiovisuelles de la Recherche; 2007 - 2016).Le CRBC et l’UMR Mondes Américains présentent leur nouvelle revue électronique "Brésil(s) – Sciences humaines et sociales". Éditée par le Centre de Recherches sur le Brésil Colonial et Contemporain (CRBC-Mondes Américains/EHESS), elle est publiée par les Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme. Elle prend la suite des Cahiers du Brésil Contemporain fondés en 1987 par Ignacy Sachs et dirigés jusqu'en 2010 par Marion Aubrée. Cette publication semestrielle, ouverte à toutes les disciplines, a pour objectif de faire connaître une pluralité de thèmes et d’approches, notamment dans une visée comparatiste. Il s’agit de (re)placer le Brésil, son histoire, sa société, ses espaces dans des perspectives plus larges issues de débats théoriques et de recherches empiriques capables d’en renouveler l’analyse et la perception. Chaque numéro comporte un dossier thématique et un Varia composés, l’un et l’autre, d’articles inédits. Objectifs scientifiques: Le rôle que tient le Brésil dans le monde contemporain n’est plus à démontrer. Cette économie dite « émergente », confrontée à l’un des plus importants défis écologiques de la planète, est aussi un riche laboratoire politique de la démocratie, des luttes contre la pauvreté et contre la discrimination raciale, même si les disparités sociales et les violences qu’elles engendrent restent une part de son quotidien. Mieux connaître ce territoire exceptionnel et les multiples ensembles internationaux dans lesquels il s’insère est, plus que jamais, une nécessité : de nombreux paradigmes de la modernité et de la postmodernité s’y sont forgés. C’est à cette tâche que la revue Brésil(s). Sciences humaines et sociales se consacre. De plus, la revue se veut une plateforme de la recherche brésilianiste internationale et souhaite multiplier les mises en perspectives, les commentaires croisés, les confrontations. Une série d’événements, liés à son calendrier éditorial, renforcent ces échanges. La parution de chaque nouveau numéro est l’occasion d’une rencontre internationale (atelier, journée d’étude, colloque) et, une fois par mois, un « Midi de Brésil(s) » offre à un brésilianiste reconnu l’occasion de dialoguer avec un public d’autant plus large que la conférence est mise en ligne sur le site des Archives audiovisuelles de la recherche (Fondation Maison des sciences de l’Homme)
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