25 research outputs found

    Stabilization and Structural Reform in the Czech and Slovak Federal Republic: First Stage

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    A case of successful adjustment

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    노트 : This paper was prepared by Bijan B. Aghevli, Division Chief in the international Monetary Fund's Asian Department, and Jorge Marquez-Ruarte, Senior Economist in the Asian Department. In preparing the paper, the authors have relied extensively on the analysis and information provided by the Korean authorities as well as on the work of the Fund staff on Korea during the period under study

    Government Deficits and the Inflationary Process in Developing Countries (Déficits publics et processus inflationniste dans les pays en développement) (Los déficit públicos y el proceso inflacionario en los países en desarrollo)

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    The purpose of this paper is to examine the relationship between increases in the money supply and inflation in four developing countries (Brazil, Colombia, the Dominican Republic, and Thailand) over the period 1961-74. It is first shown that the growth in the money supply and inflation are linked in a two-way relationship in these countries, and then a dynamic model is designed that explicitly introduces the link in the form of reactions of the government fiscal deficit to inflation. The basic hypothesis is that an increase in the rate of inflation, whatever its cause, increases the real value of the fiscal deficit, owing to the fact that money expenditures keep pace with inflation while nominal revenues tend to lag behind. The financing of this deficit increases the supply of money, thus generating further inflation. In this framework, one would expect to observe increases in the supply of money both causing inflation and, at the same time, being positively affected by it. The model is estimated for the four countries, and the empirical results tend to validate the hypothesis. In particular, it is found that fiscal deficits play an important role in the inflationary process, and that increases in these deficits are largely owing to the differences in the lags of government expenditures and revenues. Two basic policy conclusions emerge from this study: first, the tendency of government budgetary positions to be automatically destabilizing in developing economies underscores the need for an actively anti-inflationary fiscal policy in these economies. Second, developing countries should attach priority to tax reforms designed to eliminate revenue lags. /// Le présent document a pour objet l'étude de la relation qui existe entre augmentations de la masse monétaire et inflation dans quatre pays en développement (Brésil, Colombie, République Dominicaine et Thaïlande) pendant la periode 1961-74. Les auteurs montrent d'abord que la croissance de la masse monétaire et l'inflation dans ces pays sont liés par une relation de reciprocité; ils présentent ensuite un modèle dynamique qui fait ressortir de facon explicite le lien constitué par les réactions du déficit budgétaire de l'Etat à l'inflation. L'hypothèse fondamentale est qu'une augmentation du taux d'inflation, peu importe son origine, augmente la valeur réelle du déficit budgétaire, les dépenses nominales augmentant avec l'inflation alors que les recettes nominales prennent, en géneral, un certain retard. Le financement de ce déficit entraîne un accroissement de la masse monétaire qui alimente à nouveau l'inflation. Dans ces conditions, on s'attendra à ce que les augmentations de la masse monétaire soient à la fois une cause et une conséquence de l'inflation. Le modèle est estimé pour les quatre pays et les résultats empiriques tendent à confirmer l'hypothèse posée. On constate en particulier que les déficits budgétaires jouent un rôle important dans le processus inflationniste et que les augmentations de ces déficits sont imputables en grande partie aux différences qui interviennent entre les décalages des dépenses et ceux des recettes publiques. En matière de politique économique, deux conclusions fondamentales se dégagent de la présente étude. Premièrement, puisque les situations budgétaires de l'Etat sont en général automatiquement déstabilisantes dans les économies en développement, il est nécessaire d'y appliquer une politique budgétaire hautement anti-inflationniste. Deuxièmement, les pays en développement devraient accorder la priorité aux réformes fiscales qui visent à éliminer les décalages enregistrés par les recettes. /// El presente trabajo tiene por objeto analizar la relación entre el crecimiento de la oferta monetaria y el de la inflación en cuatro países en desarrollo (Brasil, Colombia, República Dominicana y Tailandia) durante el período 1961-74. Se demuestra en primer término que en esos países existe una relación recíproca entre el incremento de la oferta monetaria y el de la inflación, y se formula luego un modelo dinámico que introduce explícitamente dicha relación bajo la forma de reacciones del déficit fiscal público ante la inflación. Se parte de la hipótesis básica según la cual un aumento de la tasa de inflación, de cualquier origen que sea, hace subir el valor real del déficit fiscal, debido a que en tanto que el gasto nominal corre parejas con la inflación el ingreso nominal tiende a retrasarse. El financiamiento del déficit eleva la oferta monetaria, con lo cual se genera más inflación. En este contexto, es dable suponer que los aumentos de la oferta monetaria no sólo provocarán inflación sino que, a la vez, serán afectados positivamente por ella. El modelo se aplica a los cuatro países y los resultados empíricos por lo general confirman la hipótesis. En especial, se determina que los déficit fiscales desempeñan una función importante en el proceso inflacionario y que los incrementos de esos déficit obedecen en gran medida a las diferencias entre los desfases del gasto y el ingreso públicos. De este estudio surgen dos conclusiones fundamentales para la formulación de políticas. En primer lugar, dada la tendencia que en las economías en desarrollo tiene la situación presupuestaria pública a ser automáticamente desestabilizadora, resulta evidente la necesidad de implantar una política fiscal antiinflacionaria enérgica en esos países. En segundo lugar, los países en desarrollo deben conceder prioridad a las reformas tributarias destinadas a suprimir los desfases de los ingresos fiscales.

    Trade, Prices, and Output in Japan: A Simple Monetary Model (Commerce, prix et production au Japon: un modèle monétaire simple) (Comercio, precios y producto del Japón: Un modelo monetario sencillo)

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    In order to assess empirically the role of monetary factors in the process of short-run determination of output growth, inflation, and the trade balance, a model is developed for Japan and estimated for the period 1965-76. The model is essentially monetarist, in that the excess supply of cash balances plays the leading role in the short-run adjustment process of the economy. The adjustments of output, prices, and the trade balance are assumed to depend on the excess supply of money, the degree of openness of the economy, and the existing level of excess capacity. The estimated model tracks the short-run movements of endogenous variables well, notwithstanding the large disturbances associated with the world monetary system, the commodity boom, and the "oil crisis," all of which occurred during the period. The estimated coefficients indicate that variations in the money supply have a strong impact on the economy. In addition, the level of excess capacity in the economy acts as an important self-equilibrating variable; a larger level of excess capacity is shown to reduce inflation and to stimulate the growth rate of output. Starting with the fairly high level of excess capacity in 1977, the model is simulated to show the reactions of output, prices, and the trade balance to various rates of monetary expansion. At one extreme, a rate of monetary expansion close to 20 per cent is required to bring the economy to its full capacity by 1980. Such an early achievement of full employment, however, would result in a substantial increase in the rate of inflation and would change the present large trade surplus to a deficit within a couple of years. /// La présente étude constitue une tentative d'évaluation empirique du rôle des facteurs monétaires dans le processus de détermination à court terme de la croissance de la production, de l'inflation et de la balance commerciale au Japon entre 1965 et 1976. Le modèle testé est essentiellement monétariste; en effet, l'excédent d'encaisses monétaires joue un rôle prépondérant dans le processus d'ajustement à court terme de l'économie. Par hypothèse, les ajustements de la production, des prix et de la balance commerciale dépendent de l'offre excédentaire de monnaie, du degré d'ouverture de l'économie et du niveau existant de capacité de production excédentaire. Le modèle estimé retrace bien les mouvements à court terme des variables endogènes, malgré les perturbations importantes liées au système monétaire mondial, à la forte hausse des prix des produits de base et à la crise pétrolière, qui sont survenues pendant cette période. Les coefficients estimés indiquent que les variations de la masse monétaire exercent une action stabilisatrice considérable. En outre, le niveau de capacité excédentaire dans l'économie agit comme une variable importante qui s'équilibre d'elle-même; il apparait qu'un niveau plus élevé de capacité excédentaire réduit l'inflation et stimule le taux de croissance de la production. A partir du niveau relativement élevé de capacité excédentaire de 1977, une simulation est effectuée pour montrer les réactions de la production, des prix et de la balance commerciale à divers taux d'expansion monétaire. A l'un des extrêmes, un taux d'expansion monétaire de près de 20 pour 100 est nécessaire pour que l'écart de production entre production effective et production potentielle soit comblé totalement en 1980. Toutefois, la réalisation aussi précoce du plein emploi entraînerait une augmentation très sensible du taux d'inflation et transformerait le fort excédent commercial actuel en déficit, en l'espace de deux ans. /// En el presente estudio se pretende evaluar empíricamente la función de los factores monetarios en la determinación a corto plazo del aumento del producto, la inflación y la balanza comercial de Japón en el período 1965-76. El modelo que se somete a prueba es esencialmente monetarista, ya que el exceso de oferta de saldos de efectivo desempeña la función principal en el proceso de ajuste a corto plazo de la economía. Se parte del supuesto de que el ajuste del producto, los precios y la balanza comercial dependen del exceso de oferta monetaria, el grado de apertura de la economía y el nivel existente de capacidad sin utilizar. En el modelo estimado se siguen bien las variaciones a corto plazo de las variables endógenas, no obstante las grandes perturbaciones relacionadas con el sistema monetario mundial, la subida de los precios de los productos primarios y la "crisis del petróleo", todo lo cual ocurrió durante el período. Los coeficientes estimados indican que las variaciones de la oferta monetaria surten efectos de estabilización significativos. Además, el grado de capacidad sin utilizar en la economía sirve de importante variable autoequilibradora; se hace ver que el aumento de la capacidad sin utilizar reduce la inflación y estimula el ritmo de crecimiento del producto. Partiendo del nivel bastante alto de exceso de capacidad en 1977, se simulan en el modelo las reacciones del producto, los precios y la balanza comercial con respecto a varias tasas de expansión monetaria. En el punto máximo, hace falta una tasa de expansión monetaria próxima al 20 por ciento para que, en 1980, se cierre por completo la brecha del producto. Sin embargo, tan pronta consecución del pleno empleo produciría un considerable aumento de la tasa de inflación y, en un par de años, convertiría en déficit el cuantioso superávit comercial de la actualidad.

    Stabilization and Structural Reform in the Czech and Slovak Federal Republic

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    On January 1, 1991, the Czech and Slovak Federal Republic launched a comprehensive reform program designed to establish a market economy. This paper charts the progress of the reform program in the context of Czechoslovakia's prewar history as a major industrial power, its subsequent slow economic decline under Communism, and its recent integration into the world economy following the collapse of the Council for Mutual Economic Assistance.
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