Le changement technologique dans les grandes plantations villageoises est-il pour aujourd'hui?

Affou Yapi. Le changement technologique dans les grandes plantations villageoises est-il pour aujourd'hui ?. In: Économie rurale. N°147-148, 1982. pp. 123-125

La relève paysanne en Côte d'ivoire : étude d'expériences vivrières

La Côte d'Ivoire n'est pas exempte de difficultés dans le domaine agricole. La régression des systèmes de culture et l'absence de techniques adéquates de conservation empêchent la production vivrière de satisfaire une demande nationale dont l'expansion va de pair avec l'urbanisation accélérée du pays. Celui-ci doit recourir à de massives et coûteuses importations. Dans cette situation, l'émergence des jeunes agriculteurs devrait permettre à l'agriculture ivoirienne d'améliorer sa productivité, de réduire le déficit des productions alimentaires et de réaliser son indispensable modernisation... Trois parties composent cet ouvrage. Les circonstances qui imposent le développement vivrier et le rajeunissement des chefs d'exploitation sont d'abord évoquées; le fonctionnement de quelques structures d'accueil et d'incitation au métier de la terre est ensuite exposé; un examen précis des résultats obtenus dans chaque modèle d'installation est enfin proposé. (Résumé d'auteur

9. Environnement technologique de la production agricole : exemple de la Côte d’Ivoire

L’agriculture ivoirienne est l’une des plus florissantes d’Afrique noire. Le niveau des productions vivrières a permis au pays d’éviter jusqu’à présent la famine. En outre, la Côte d’Ivoire est l’un des tout premiers producteurs africains et/ou mondiaux de cacao, de café, d’ananas, de banane douce, de caoutchouc naturel, d’huile de palme et de coton. À partir de 1965, la croissance annuelle est d’environ 5 % pour le binôme café-cacao, 12 % pour le coton, 10 % pour l’ananas et la canne à sucre..