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    Priming the dairy cow for lactation:A review of dry cow feeding strategies

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    International audienceThis paper reviews important aspects of dry cow feeding with emphasis placed on the preparation of the cow for the subsequent lactation. A number of feeding strategies, which have been proposed in recent years, are examined, alongside considerations of the effects of dry period length, levels of body reserves at calving and parity. A number of studies have reported the effect of varying the length of the dry period (in the range 0 to 70 days) on subsequent production and health. An 8 week dry period seems optimal though this should be adjusted to allow for the body condition score of cows at drying off. Avoiding extremes of body condition score at calving is desirable, so condition should be monitored throughout the lactation cycle. Attempting to achieve large changes in body reserves in the dry period has been associated with increased problems postpartum. The feeding strategies that are reviewed are strategies to decrease body mobilisation, prime for body mobilisation, prime the rumen for increased intake, prime for milk protein production and prime for calcium mobilisation and absorption. These strategies are also evaluated relative to their biological basis and reported physiological effects. Feeding high starch feeds in the latter part of the dry period was found not to provide clear benefits in terms of decreasing early lactation body mobilisation or increasing early lactation intake. Strategies aimed at priming the cow for the increased mobilisation of body lipid and body calcium that occurs in early lactation appear more favourable both from the point of view of making biological sense and from the available results reviewed.Préparation des vaches laitières à la lactation : bilan des stratégies d'alimentation des vaches taries. Cet article passe en revue les aspects importants de l'alimentation des vaches taries en mettant l'accent sur la préparation de la vache à la lactation suivante. Plusieurs stratégies d'alimentation proposées au cours des dernières années sont examinées, dans le même temps que des considérations portant sur les effets de la durée de la période sèche, du niveau des réserves corporelles au vêlage et du rang de lactation. Un certain nombre d'études ont montré que le fait de faire varier la durée de la période sèche (dans une plage de 0 à 70 jours) avait un effet sur la production et la santé lors de la lactation suivante. Une période sèche de 8 semaines semble optimale, quoiqu'elle doive être ajustée en tenant compte de la note d'état corporel des vaches au moment du tarissement. Il est préférable d'éviter des notes extrêmes au vêlage ; l'état corporel devrait donc être surveillé tout au long du cycle de lactation. Les tentatives de vouloir effectuer de grandes modifications du niveau des réserves corporelles pendant la période sèche ont été associées à une augmentation des problèmes postpartum. Les stratégies d'alimentation exposées ici ont pour objectif de : diminuer les mobilisations corporelles, préparer à la mobilisation des constituants de l'organisme, préparer le rumen à l'augmentation de l'ingéré, préparer à la production de protéines du lait, et préparer à la mobilisation et à l'absorption du calcium. Ces stratégies sont aussi évaluées sur leurs bases biologiques et leurs effets physiologiques mentionnés. Il n'a pas été mis en évidence que le fait de nourrir les animaux en fin de période sèche avec des aliments à haute teneur en amidon apportait des avantages clairs en terme de diminution de la mobilisation des réserves corporelles ou de l'augmentation de l'ingestion en début de lactation. Les stratégies visant une préparation accrue de la vache à la mobilisation des réserves lipidiques et calciques intervenant en début de lactation apparaissent plus favorables, tant du point de vue du sens biologique que des résultats disponibles étudiés
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