39 research outputs found

    The lady vanishes: what's missing from the stem cell debate

    Get PDF
    Most opponents of somatic cell nuclear transfer and embryonic stem cell technologies base their arguments on the twin assertions that the embryo is either a human being or a potential human being, and that it is wrong to destroy a human being or potential human being in order to produce stem cell lines. Proponents’ justifications of stem cell research are more varied, but not enough to escape the charge of obsession with the status of the embryo. What unites the two warring sides in ‘the stem cell wars’ is that women are equally invisible to both: ‘the lady vanishes’. Yet the only legitimate property in the body is that which women possess in their reproductive tissue and the products of their reproductive labour. By drawing on the accepted characterisation in law of property as a bundle of rights, and on a Hegelian model of contract as mutual recognition, we can lessen the impact of the tendency to regard women and their eggs as merely receptacles and women’s reproductive labour as unimportant

    Annoncer la couleur : pour une approche nuancée du consensus

    No full text
    127 pagesLe livre que nous avons le plaisir de prĂ©senter ici est une Ă©tape importante dans ce qu'on commence lĂ©gitimement Ă  appeler la « pensĂ©e en surface ». Plus qu'un essai, c'est une dĂ©marche dĂ©sormais intĂ©grĂ©e dans cette frange Ă©troite, mais dĂ©terminante, de notre sociĂ©tĂ© que sont les responsables d'entreprises, les chercheurs en sciences sociales, les constructeurs de dĂ©cisions, les managers de toute espĂšce, puisqu'ils ont pour tĂąche principale d'explorer et de gĂ©rer le nouveau continent de notre savoir et de notre puissance : l'immense domaine de l'imprĂ©cis, du flou, du vague, duquel ils doivent en quelque façon, d'abord rendre compte, ensuite tirer des dĂ©marches positives. Pourrait-on dire qu'une « pensĂ©e Ă  deux dimensions », c'est-Ă -dire une rĂ©flexion suivie de dĂ©cisions opĂ©ratoires, permet de maitriser le monde de l'imprĂ©cis qui nous affronte, mieux que ne l'a fait la pensĂ©e linĂ©aire, celle qui se coulait si facilement dans les lignes de plomb de l'Ă©crit typographique, et qui de fait a exercĂ© sa dictature intellectuelle -allant jusqu'au purisme- sur notre logique, notre mathĂ©matique, notre art de la dĂ©monstration, et a la limite notre intuition mĂȘme? C'est probable. Car autant la spontanĂ©itĂ© de la pensĂ©e primitive a dĂ©couvert l'image avant de passer par la contrainte fĂ©conde mais limitatrice de l'Ă©crit linĂ©aire, autant la pensĂ©e qui se cherche ressent-elle durement cette contrainte quand 1'esprit humain voudrait errer Ă  son grĂ© dans un champ des possibles. Et, surtout en Occident, cette contrainte ne s'exerce encore que bien inĂ©galement sur nos esprits : l'architecte qui rĂȘve et qui plus tard projettera, le graphiste, l'ingĂ©nieur, tous revendiquent, dans cette quĂȘte instinctive et immĂ©diate d'un torchon de papier et d'un crayon la possibilitĂ© d'y gribouiller ce qui sera l'amorce d'une maniĂšre de penser, et plus tard, d'un croquis, d'un dessin, d'une volontĂ© pour y « penser en deux dimensions ». Le champ du regard y est le champ de l'esprit. Si la contrainte est gĂ©nĂ©ratrice de crĂ©ativitĂ©, et si les difficultĂ©s qu'implique la spontanĂ©itĂ© en trois dimensions, conduisent Ă  rĂ©primer celle-ci par des difficultĂ©s inhĂ©rentes Ă  sa manipulation du monde de la reprĂ©sentation, c'est bien lĂ  que se situe la vĂ©ritable ouverture vers une future expansion de notre esprit. En tout cas c'est plutĂŽt Ici que dans la contrainte linĂ©aire de la pensĂ©e traditionnelle qui est durement ressentie au moment ou, rĂ©digeant un rapport, il faut coucher en mots au long d'une ligne, en 6quations ou en formules, la nĂ©cessaire obligation de penser « logiquement »
    corecore