Lettre 3.101 � 16 & 18 d�cembre 1781
La Haye, ce St. Adela�de 16 de dec. 1781
Ma toute ch�re Diotime, je viens de re�evoir � l�instant la v�tre du 11 de ce mois, avec la lettre de Markoff que je vous renvoie. Je ne crois pas qu�elle vous ait fait plus de plaisir qu�� moi; si ce n�est pas la le style d�un homme de bien, je ne m�y connois pas. Je suis fach� de ne pas pouvoir me rappeller Mr. Markoff, quoique le Prince me dit que j�ai souvent din� avec lui, il y a cinq ou six ans. Il se peut que dans votre presence je ne trouvai rien de picquant � sa table que Diotime. Vous n�aviez pas besoin de m�imposer le silence vis � vis du Prince. Il y a long temps que je suis convaincu que les inquietudes lui peuvent �tre salutaires. Si elles le seront, c�est ce que nous verrons, car l�esp�ce d�abattement et de desespoir que je lui ai vu dans la lettre que vous m�avez envoi�e est ordinairement suivie d�une hauteur revoltante. Il seroit bon que Markoff put lui conserver long temps sa peur, mais cela paroit impossible, � moins qu�en passant par Munster il vous donna de telles occasions, que vous pussiez
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