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La scola judeorum, maison d’étude ou maison de prière ?
International audienceParmi les biens saisis lors de l’expulsion des Juifs décidée par Philippe le Bel en 1306, les documents du Trésor des chartes mentionnent, outre les maisons individuelles, des bâtiments qualifiés de scola. Nous serions tentés de traduire ce terme par « école ». Si pour les villes provençales, ces appellations semblent se référer à des lieux d'enseignement, il n’en est peut-être pas de même pour les villes de France du nord, comme un exemple issu d'Orléans semble l'indiquer (JJ 44, f. 23-24, n° 37 : « l’escole petite des Juys »). Pour comprendre ce que ces scole pouvaient être à l'époque médiévale (aux XIIe et XIIe siècles), il faudra d'abord évoquer les informations fournies par la littérature rabbinique sur l’organisation de l’enseignement dans le monde juif, avant de nous interroger sur l’existence de lieux spécifiques pour transmettre les savoirs et les textes, au Moyen Âge
J. Hardwig, Dépendance épistémique (traduction)
John Hardwig, “Epistemic Dependence”, The Journal of Philosophy, vol. 82, No. 7 (Juillet 1985), 3335-349Je crois toutes sortes de choses dont je ne possède aucune preuve. Bien que je puisse imaginer ce que je devrais faire pour obtenir les preuves qui appuieraient chacune de mes croyances, je ne me crois pas capable de le faire pour toutes mes croyances. Je crois trop, trop de preuves sont requises (la plupart d'entre elles accessibles seulement après une longue formation spécialisée), l'intellect est trop petit et la vie, trop courte. Que dire, en tant qu'épistémologues, à propos de toutes ces croyances
Sermon Dolbeau 27 [introduction, traduction et annotation ; notes complémentaires]
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L’unité comme bien (Ser. Dolbeau 27, 5) [note complémentaire]
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D’Attila à Gims, un comparant qui voudrait frapper fort : le fléau
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Mobilier de Kerazan : mobilier français et/ou revendication d’identité locale?
International audienceMobilier de Kerazan: mobilier français et/ou revendication d'identité locale ? Le bout du monde n'existe pas. C'est pourtant en pays bigouden (Finistère), terre d'accueil de nombreux manoirs, que des créations témoignant d'une forte identité locale nous amènent à voyager. Cette expression artistique si aisément reconnaissable lorsque nous évoquons « l'art populaire bigouden », est néanmoins souvent perçue comme un folklore.Par l'étude de l'inventaire après décès du seigneur Drouallen et des scellés apposés en son manoir de Kerazan en 1708, les archives inédites de l'Institut de France nous conduiront à questionner le mobilier domestique qui pouvait équiper les campagnes bigoudènes au XVIIIe siècle. Nous en mesurerons ensuite l'évolution. A Kerazan, aucun particularisme local ne peut être attesté avant l'implantation d'une famille de politiciens et collectionneurs: les Astor, arrivés en 1860.Quelles fins devons-nous admettre? La présentation de ce mobilier local pouvait-elle jouer un rôle dépassant celui du simple décor traditionnel ou du seul attachement identitaire?Cas isolé ou inclus dans un mouvement revendiquant une appartenance locale? La collection "bretonne" de Kerazan pourrait trouver un prolongement de ses réflexions par l'émergence du mobilier moderne breton porté par le mouvement Seiz Breur dans les années 1925